Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Derrière cette trame historique, cette piqûre de rappel d’un moment clé pour l’Afrique où toutes les utopies étaient à l’œuvre et ouvraient tous les champs des possibles, on sent poindre chez Robert Guédiguian une once de mélancolie devant un rêve, le socialisme, stoppé net dans son élan.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Voici
par La Rédaction
Une tragédie lumineuse.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film à la fois beau, généreux, mais douloureux, interroge sur l’échec du socialisme.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Guédiguian raconte avec cœur le Mali des années 1960, le rêve socialiste, la jeunesse et la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Robert Guédiguian raconte avec brio et mélancolie la révolution et la liberté aux lendemains de l’indépendance du Mali en 1960.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Les facettes légères du récit (couleurs, musique, romantisme...) font ressortir le poids de l'Histoire.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un récit exalté et lucide, emporté par une mise en scène qui épouse le mouvement de son héros, ivre de jeunesse et d’absolu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Robert Guédiguian est un cinéaste du bien commun qui secoue nos égoïsmes forcenés. Robert Guédiguian est aussi un cinéaste politique qui nous oblige à une certaine conscience politique. Il n’y a qu’à voir Twist à Bamako , si loin, si proche : Robert Guédiguian parle du Mali mais de la France.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une tragédie attachante, singulière, à la fois naïve et actuelle, toujours à la limite de la démonstration politique et du cliché. Mais assumée comme telle au fil d'une histoire qui vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Un film grave sur une brève période de lumière et de légèreté : le début du rock’n’roll au Mali — on entend Boubacar Traoré, le Elvis local, en fond sonore — et d’un communisme africain généreux avant de se fossiliser très vite dans la dictature et la caricature, sans parler de l’islamisme intégriste qui sévit aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par V.M.L.N.
Alice Da Luz et Stéphane Bak emportent tout. Ils réinventent l'amour, le désir, redonnent à rêver.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste de « Marius et Jeannette » quitte provisoirement la France pour mettre en scène le Mali de 1962 et de jeunes révolutionnaires idéalistes. Un pari gagnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Touchante histoire d’amour et réflexion politique captivante, le nouveau Guédiguian vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
L’équation que forment ici la fête, l’amour et la politique confère au film tout son éclat chaleureux, qui fraie avec la nostalgie. Les grands thèmes qui le traversent sont connus d’avance (la beauté d’une utopie qui s’ébauche, la tragédie de sa mise en échec), mais n’ont rien de théoriques. Tout est corporel, consistant, sensuel, même, dans l’idéal tel que le filme Guédiguian.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une alliance scénaristique et formelle qui donne tout son prix à ce film qui examine l’histoire et le passé du Mali pour mieux mettre en scène des thématiques intemporelles et universelles.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Une love story superbement incarnée par Stéphane Bak et la magistrale Alicia Da Luz Gomes.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le didactisme des dialogues est parfois appuyé, mais en s’inspirant avec brio des images du photographe Malick Sidibé pour sa mise en scène, Guédiguian propose un bel hommage à cette jeunesse d’hier dont les aspirations font écho à celle d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un ton peu habituel chez le réalisateur, Robert Guédiguian met en scène le destin cruel de tout un pays, le Mali, qui, après avoir échappé au joug de la colonisation, s’enfonce dans la tyrannie de la dictature. Un récit historique édifiant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Bastien Gens
Drôle de film, non sans ambiguïté, mais qui se révèle assez passionnant dans la manière dont il interroge et reconfigure l’horizon du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Sur fond d’indépendance, de décolonisation et de socialisme africain, le 22e film de Robert Guédiguian, chromo démonstratif, souffre de trop d’application.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Murielle Joudet
Entre sensualité et didactisme, le cinéaste s'éloigne de Marseille, mais pas de la politique.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film brillant sur les idéaux déçus.
Positif
par Ariane Allard
Bien sûr, le parallèle entre l’histoire de ses jeunes amants et celui du Mali peut paraître naïf, voire un peu gauche et appuyé au départ. Reste que plus l’intrigue avance et plus elle sonne juste, comme boostée par la fraîcheur de ses interprètes (notamment Stéphane Bak et Alicia Da Luz) et la musique yé-yé qui enchantait, en 1962, les clubs et les nuits de Bamako.
Première
par Thierry Chèze
Cet humanisme qu’a chevillé au corps Guédiguian qui embrasse ce Mali (reconstitué au Sénégal pour cause de menace terroriste) et ses clubs de danse dans un parfait équilibre entre connaissance pointue de son sujet et sens du romanesque mélodramatique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Robert Guédiguian signe un film historique sur le Mali et ses premiers pas d’indépendance en 1962.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Comment éviter que la précision historique d’un scénario bien documenté ne stoppe l’élan dansé du twist, petit bout de lorgnette bien choisi qui déferle dans les clubs de Bamako en cette année 1962 et inquiète le gouvernement ? Qui a vu Marius et Jeannette ou La Villa sait déjà que la réponse gît dans la relation amoureuse. (...) Du collectif, chez Guédiguian, il restera toujours le couple.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Cette naïve démonstration de socialisme révolutionnaire pour les nuls finit par diluer un fil rouge romanesque qui avait pourtant du sens mais qui perd toute sa force.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film sympathique mais trop didactique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La main de Guédiguian est toujours un peu lourde quand il s’agit de peindre les bons et les méchants et ici la vitalité des corps et la fougue de la jeunesse se trouvent empêchées par cet effet de dénonciation didactique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
Derrière cette trame historique, cette piqûre de rappel d’un moment clé pour l’Afrique où toutes les utopies étaient à l’œuvre et ouvraient tous les champs des possibles, on sent poindre chez Robert Guédiguian une once de mélancolie devant un rêve, le socialisme, stoppé net dans son élan.
Voici
Une tragédie lumineuse.
20 Minutes
Ce film à la fois beau, généreux, mais douloureux, interroge sur l’échec du socialisme.
Bande à part
Guédiguian raconte avec cœur le Mali des années 1960, le rêve socialiste, la jeunesse et la liberté.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Robert Guédiguian raconte avec brio et mélancolie la révolution et la liberté aux lendemains de l’indépendance du Mali en 1960.
Femme Actuelle
Les facettes légères du récit (couleurs, musique, romantisme...) font ressortir le poids de l'Histoire.
L'Obs
Un récit exalté et lucide, emporté par une mise en scène qui épouse le mouvement de son héros, ivre de jeunesse et d’absolu.
Le Dauphiné Libéré
Robert Guédiguian est un cinéaste du bien commun qui secoue nos égoïsmes forcenés. Robert Guédiguian est aussi un cinéaste politique qui nous oblige à une certaine conscience politique. Il n’y a qu’à voir Twist à Bamako , si loin, si proche : Robert Guédiguian parle du Mali mais de la France.
Le Journal du Dimanche
Une tragédie attachante, singulière, à la fois naïve et actuelle, toujours à la limite de la démonstration politique et du cliché. Mais assumée comme telle au fil d'une histoire qui vaut le détour.
Le Parisien
Un film grave sur une brève période de lumière et de légèreté : le début du rock’n’roll au Mali — on entend Boubacar Traoré, le Elvis local, en fond sonore — et d’un communisme africain généreux avant de se fossiliser très vite dans la dictature et la caricature, sans parler de l’islamisme intégriste qui sévit aujourd’hui.
Le Point
Alice Da Luz et Stéphane Bak emportent tout. Ils réinventent l'amour, le désir, redonnent à rêver.
Les Echos
Le cinéaste de « Marius et Jeannette » quitte provisoirement la France pour mettre en scène le Mali de 1962 et de jeunes révolutionnaires idéalistes. Un pari gagnant.
Les Fiches du Cinéma
Touchante histoire d’amour et réflexion politique captivante, le nouveau Guédiguian vaut le détour.
Libération
L’équation que forment ici la fête, l’amour et la politique confère au film tout son éclat chaleureux, qui fraie avec la nostalgie. Les grands thèmes qui le traversent sont connus d’avance (la beauté d’une utopie qui s’ébauche, la tragédie de sa mise en échec), mais n’ont rien de théoriques. Tout est corporel, consistant, sensuel, même, dans l’idéal tel que le filme Guédiguian.
Marianne
Une alliance scénaristique et formelle qui donne tout son prix à ce film qui examine l’histoire et le passé du Mali pour mieux mettre en scène des thématiques intemporelles et universelles.
Ouest France
Une love story superbement incarnée par Stéphane Bak et la magistrale Alicia Da Luz Gomes.
Télérama
Le didactisme des dialogues est parfois appuyé, mais en s’inspirant avec brio des images du photographe Malick Sidibé pour sa mise en scène, Guédiguian propose un bel hommage à cette jeunesse d’hier dont les aspirations font écho à celle d’aujourd’hui.
aVoir-aLire.com
Dans un ton peu habituel chez le réalisateur, Robert Guédiguian met en scène le destin cruel de tout un pays, le Mali, qui, après avoir échappé au joug de la colonisation, s’enfonce dans la tyrannie de la dictature. Un récit historique édifiant.
Critikat.com
Drôle de film, non sans ambiguïté, mais qui se révèle assez passionnant dans la manière dont il interroge et reconfigure l’horizon du cinéaste.
La Croix
Sur fond d’indépendance, de décolonisation et de socialisme africain, le 22e film de Robert Guédiguian, chromo démonstratif, souffre de trop d’application.
Le Monde
Entre sensualité et didactisme, le cinéaste s'éloigne de Marseille, mais pas de la politique.
Paris Match
Un film brillant sur les idéaux déçus.
Positif
Bien sûr, le parallèle entre l’histoire de ses jeunes amants et celui du Mali peut paraître naïf, voire un peu gauche et appuyé au départ. Reste que plus l’intrigue avance et plus elle sonne juste, comme boostée par la fraîcheur de ses interprètes (notamment Stéphane Bak et Alicia Da Luz) et la musique yé-yé qui enchantait, en 1962, les clubs et les nuits de Bamako.
Première
Cet humanisme qu’a chevillé au corps Guédiguian qui embrasse ce Mali (reconstitué au Sénégal pour cause de menace terroriste) et ses clubs de danse dans un parfait équilibre entre connaissance pointue de son sujet et sens du romanesque mélodramatique.
Sud Ouest
Robert Guédiguian signe un film historique sur le Mali et ses premiers pas d’indépendance en 1962.
Cahiers du Cinéma
Comment éviter que la précision historique d’un scénario bien documenté ne stoppe l’élan dansé du twist, petit bout de lorgnette bien choisi qui déferle dans les clubs de Bamako en cette année 1962 et inquiète le gouvernement ? Qui a vu Marius et Jeannette ou La Villa sait déjà que la réponse gît dans la relation amoureuse. (...) Du collectif, chez Guédiguian, il restera toujours le couple.
La Voix du Nord
Cette naïve démonstration de socialisme révolutionnaire pour les nuls finit par diluer un fil rouge romanesque qui avait pourtant du sens mais qui perd toute sa force.
Le Figaro
Un film sympathique mais trop didactique.
Les Inrockuptibles
La main de Guédiguian est toujours un peu lourde quand il s’agit de peindre les bons et les méchants et ici la vitalité des corps et la fougue de la jeunesse se trouvent empêchées par cet effet de dénonciation didactique.