Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
La famille comme prison d’amour : après Home et L’Enfant d’en haut, Ursula Meier filme à l’os, touche du doigt les chagrins indicibles et nous vrille le cœur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un grand film.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Valeria Bruni Tedeschi prête à ce portrait de mère sa personnalité impulsive débordante, sa sensibilité excessive unique, sa folie douce singulière, ses éclats loufoques attachants. Son personnage, dans La Ligne , la pare d’une belle et lumineuse tristesse.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film formidable sur le dysfonctionnement familial.
L'Obs
par Sophie Grassin
La cinéaste joue sur les registres, fait disparaître Margaret au profit de Marion, qui, contaminée par la dinguerie générale prend, en quelque sorte, sa place. Elle sait diriger ses comédiennes. Qu’éprouver sinon du respect pour sa manière de creuser un sillon têtu, de dessiner un cadre très précis et d’y jeter de l’imprévu ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une tragicomédie irrésistible.
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Si le film ne vaut pas tellement pour sa finesse psychologique, il est intéressant par sa détermination à vouloir figurer les rapports de force entre une mère et une fille empêtrées dans un arrachement mutuel qui ne veut pas se faire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
« La Ligne » est magnifiquement mis en scène, scénarisé et interprété. Famille, je vous hais, je vous aime, je vous quitte, je vous retrouve, je vous pleure, je vous fête, je vous embrasse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Portrait de famille saisissant et surprenant, La Ligne démontre une fois de plus les qualités de dramaturge d’Ursula Meier, et révèle Stéphanie Blanchoud.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Jacqueline Nacache
La Ligne est un film complexe et dur, plus difficile à aimer sans doute que Home et L’Enfant d’en haut, mais il confirme la place remarquable qu’occupe désormais Ursula Meier dans le cinéma contemporain.
Télé 2 semaines
par S.O.
Après une scène d'ouverture d'une violence sidérante, le film adopte un ton tragicomique très original, que le jeu outrancier de Valeria Bruni Tedeschi, en mère culpabilisante, fait parfois basculer du côté du grotesque.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un travail appliqué d'une élève douée qui peine néanmoins à susciter un réel attachement à se personnages singuliers.
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice franco-suisse Ursula Meier orchestre un face-à-face intense et éprouvant autour d’une ligne aussi invisible qu’infranchissable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
S’il reste un brin théorique dans sa manière d’appréhender le déchaînement et la contrainte des corps, [le film] est surtout et avant toute chose un beau portrait de groupe au féminin.
Marie Claire
par Emily Barnett
Frappant visuellement, ce film sur une famille de femmes dysfonctionnelle nous perd parfois.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par La Rédaction
Ursula Meier (L’Enfant d’en haut) propose un audacieux portrait de jeune femme violente dans une relation d’amour-haine avec sa famille. Sa réussite doit beaucoup à son interprète principale et co-scénariste Stéphanie Blanchoud.
Première
par Thierry Chèze
Et pour jouer cette tension et cette violence- là, sans tomber dans le surjeu il faut des comédiens de haut vol. A l’instar de ses partenaires (Valeria Bruni- Tedeschi, India Hair…), Stéphanie Blanchoud en est une. Sa composition nous hante longtemps après être sorti de la salle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
L’ouverture magistrale de ce film le confirme, opposant une fille enragée à sa mère, qu’on a envie de plaindre mais qui se révélera assez « enrageante ». Puis la police s’en mêle et déclare le rapprochement des querelleuses interdit ! Ce choix de scénario se révèle discutable (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Le motif de la crise (de nerfs, de larmes, de rage), fugué à l’envi, rassemble ce petit monde à l’horizon de la névrose, voire de l’hystérie, problématiquement associée à la transmission féminine. À force d’accrocs et de désaccords, l’émotion est réduite à son extériorisation grinçante, en une partition de crissements.
Critikat.com
par Luca Mongai
Le film paraît étrangement atone, quand bien même il brasse différents registres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
À la fois conceptuel et puissamment incarné par quatre comédiennes intenses dont une enfant, ce nouvel opus d'Ursula Meier surprend de bout en bout sans convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Péron
La Ligne se choisit une étrange juxtaposition de registres qui ne paraissent jamais vraiment pensés ou articulés, produisant sur la durée du récit un sentiment de discordance qu’on ne parvient pas tout à fait à trouver même intéressant ou séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
La famille comme prison d’amour : après Home et L’Enfant d’en haut, Ursula Meier filme à l’os, touche du doigt les chagrins indicibles et nous vrille le cœur.
Sud Ouest
Un grand film.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Valeria Bruni Tedeschi prête à ce portrait de mère sa personnalité impulsive débordante, sa sensibilité excessive unique, sa folie douce singulière, ses éclats loufoques attachants. Son personnage, dans La Ligne , la pare d’une belle et lumineuse tristesse.
Elle
Un film formidable sur le dysfonctionnement familial.
L'Obs
La cinéaste joue sur les registres, fait disparaître Margaret au profit de Marion, qui, contaminée par la dinguerie générale prend, en quelque sorte, sa place. Elle sait diriger ses comédiennes. Qu’éprouver sinon du respect pour sa manière de creuser un sillon têtu, de dessiner un cadre très précis et d’y jeter de l’imprévu ?
Le Dauphiné Libéré
Une tragicomédie irrésistible.
Le Monde
Si le film ne vaut pas tellement pour sa finesse psychologique, il est intéressant par sa détermination à vouloir figurer les rapports de force entre une mère et une fille empêtrées dans un arrachement mutuel qui ne veut pas se faire.
Le Parisien
« La Ligne » est magnifiquement mis en scène, scénarisé et interprété. Famille, je vous hais, je vous aime, je vous quitte, je vous retrouve, je vous pleure, je vous fête, je vous embrasse.
Les Fiches du Cinéma
Portrait de famille saisissant et surprenant, La Ligne démontre une fois de plus les qualités de dramaturge d’Ursula Meier, et révèle Stéphanie Blanchoud.
Positif
La Ligne est un film complexe et dur, plus difficile à aimer sans doute que Home et L’Enfant d’en haut, mais il confirme la place remarquable qu’occupe désormais Ursula Meier dans le cinéma contemporain.
Télé 2 semaines
Après une scène d'ouverture d'une violence sidérante, le film adopte un ton tragicomique très original, que le jeu outrancier de Valeria Bruni Tedeschi, en mère culpabilisante, fait parfois basculer du côté du grotesque.
L'Humanité
Un travail appliqué d'une élève douée qui peine néanmoins à susciter un réel attachement à se personnages singuliers.
La Croix
La réalisatrice franco-suisse Ursula Meier orchestre un face-à-face intense et éprouvant autour d’une ligne aussi invisible qu’infranchissable.
La Septième Obsession
S’il reste un brin théorique dans sa manière d’appréhender le déchaînement et la contrainte des corps, [le film] est surtout et avant toute chose un beau portrait de groupe au féminin.
Marie Claire
Frappant visuellement, ce film sur une famille de femmes dysfonctionnelle nous perd parfois.
Ouest France
Ursula Meier (L’Enfant d’en haut) propose un audacieux portrait de jeune femme violente dans une relation d’amour-haine avec sa famille. Sa réussite doit beaucoup à son interprète principale et co-scénariste Stéphanie Blanchoud.
Première
Et pour jouer cette tension et cette violence- là, sans tomber dans le surjeu il faut des comédiens de haut vol. A l’instar de ses partenaires (Valeria Bruni- Tedeschi, India Hair…), Stéphanie Blanchoud en est une. Sa composition nous hante longtemps après être sorti de la salle.
Télérama
L’ouverture magistrale de ce film le confirme, opposant une fille enragée à sa mère, qu’on a envie de plaindre mais qui se révélera assez « enrageante ». Puis la police s’en mêle et déclare le rapprochement des querelleuses interdit ! Ce choix de scénario se révèle discutable (...).
Cahiers du Cinéma
Le motif de la crise (de nerfs, de larmes, de rage), fugué à l’envi, rassemble ce petit monde à l’horizon de la névrose, voire de l’hystérie, problématiquement associée à la transmission féminine. À force d’accrocs et de désaccords, l’émotion est réduite à son extériorisation grinçante, en une partition de crissements.
Critikat.com
Le film paraît étrangement atone, quand bien même il brasse différents registres.
Le Journal du Dimanche
À la fois conceptuel et puissamment incarné par quatre comédiennes intenses dont une enfant, ce nouvel opus d'Ursula Meier surprend de bout en bout sans convaincre.
Libération
La Ligne se choisit une étrange juxtaposition de registres qui ne paraissent jamais vraiment pensés ou articulés, produisant sur la durée du récit un sentiment de discordance qu’on ne parvient pas tout à fait à trouver même intéressant ou séduisant.