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    Petite Fleur
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    tixou0
    tixou0

    699 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2022
    Il était une fois... Deux fois, dix fois... Voilà une histoire fort peu cartésienne - cela tombe bien : son héros ("Josè") n'est pas quelque écrivain français, mais un dessinateur de BD argentin ! Où le "crime est farpait" (pour la touche gore à la Iglesias - surtout qu'il touche un "cher voisin", "Jean-Claude"). Sauf spoiler: qu'il se répète, chaque jeudi clermontois, la victime "ressuscitant", de semaine en semaine. L'affaire est donc fantasmatique, légendaire, cathartique, à prendre avec des pincettes psychanalytiques (d'autant que le personnage secondaire de "Bruno" y invite...), sur l'air de "Petite Fleur". Et même en "version couple" ("Josè/Lucie"), façon le "bonheur dans le crime" !
    Une ode à... la routine, en fait - décoiffante (au minimum), voire déconcertante. Saluons l'originalité de ton de ce premier film "français" (mais avec de nombreux dialogues en espagnol) de l'Argentin Santiago Mitre (avec l'Uruguayen Daniel Hendler alias "Josè", le Catalan Sergi Lopez en "Bruno", et les Français Vimala Pons/"Lucie" et Melvil Poupaud/"Jean-Claude" - ce dernier à l'étonnant look de danseur de tango...). La réalisation manque cependant de fluidité, et le scénario a tendance à patiner : dommage...
    Max O.
    Max O.

    21 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2022
    Petite fleur est une reflexion sur la routine et l’usure du couple sous forme de comédie noire.

    Avec son récit absurde et sa direction d’acteurs parfois proche de l’impro, le film est aussi libre qu’un film d’étudiants (et c'est tant mieux!). Pourtant les gags tombent à plat, et à l’arrivée, le messsage est plutôt confus.
    Nata Vedmed
    Nata Vedmed

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 juin 2022
    Assez médiocre.
    Ça glisse d'un retournement de cliché à un autre, et ça tourne en rond, ça s'accroche à des punchlines qui disparaissent aussi vite que l'instant qui les a vues paraître, et ça finit en rond pour arriver nulle part.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 juin 2022
    Ce film est un petit bijou. Il faut admettre d’être bousculé au début du film par des scènes de violence qui semblent gratuites. Puis, soudainement, tout s’éclaire et devient métaphorique, révélant un scénario d’une grande subtilité et d’un romantisme absolu. Nul meurtre ni réincarnation journalière en vérité, le personnage désagréable et suffisant joué par Mevil Poupaud n’étant autre que la matérialisation de l’inconscient de José, le héros du film. Au terme d’aventures conjugales multiples, notamment marquées par des séances de thérapie collective de Lucie, seule d’abord puis en couple avec José ensuite, avec un gourou/analyste interprété par Sergi Lopez, José va enfin pouvoir exorciser ses démons tout en finissant par démasquer la véritable personnalité du gourou qui est avant tout un escroc miné par sa passion pour la belle Lucie.

    Le scenario est inventif, très bien construit, finement mis en images. L’interprétation est remarquable, avec une mention spéciale pour la séduisante et volcanique Vimala Pons, au sommet de son art. A noter une apparition tout en autodérision de Hervé Vilard en artiste décalé, mélancolique et ringard, chantant dans une boîte de nuit clermontoise.

    Pour finir, ne faîtes surtout pas confiance à cet affreux Jean-Claude/Melvil Poupaud dans sa recommandation du Chateaugay. S’il s’agit d’un cru de la plus vieille vigne de France, du côté de St Pourcain sur Sioule, il se révèle à la dégustation comme l’un des pires tord-boyau qu’il est possible de boire dans notre beau pays. Rien que pour cela, la fin tragique qui est celle de ce personnage me semble entièrement méritée !
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2022
    Le film débute avec une voix Off venue d'outre-tombe dans ce qui est annoncé comme une comédie noire et déjantée. Le début est bien laborieux, de longues minutes autour d'un bébé et des parents inintéressants aux habitudes intimes dont on se fout royalement. Il faut attendre l'arrivée du voisin pour qu'enfin l'histoire prenne un peu d'ampleur. Clairement pourtant cette partie familiale est peu passionnante, on s'en moque même car trop sérieuse, trop premier degré alors qu'on veut savourer le délire grinçant et décalé qui nous est promis. Le premier meurtre est prometteur, soudain et absurde même si on ne comprend pas le côté neutre et indifférent du meurtrier. Bémol puisque justement ça aurait été judicieux de mettre face à face un meurtrier à l'insu de son plein gré face à un voisin bobo snob et détaché. Au fil du temps le soucis réside dans deux points, essentiels au vu du film, le rythme pas très folichon, et l'absence d'un gore plus assumé dans le délire. Heureusement, outre les meurtres d'autres scènes restent réussies comme le dîner à la confession onanique ou le dîner de groupe psy. En conclusion, Santiago Mitre signe une comédie qui a du potentiel, des idées à foison mais qui reste trop sage, sans audace et qui nous laisse sur notre faim.
    Site : Selenie
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 361 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2022
    L’affiche jaune annonce un thriller grinçant et décalé et le scénario laisse penser que Melvil Poupaud va se faire descendre par ses voisins dans toutes les postures. Si c’est plus ou moins vrai, “Petite fleur” s’avère surtout une comédie mollassonne qui hésite à jouer au boucher dans le second degré et qui marche plutôt sur des œufs pour se prétendre audacieux sans froisser personne. On a d’ailleurs franchement du mal à lire toutes ces critiques de professionnels scandant l’hilarité du film. L’ont-ils réellement vu ?
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    342 abonnés 646 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2022
    Petite fleur est un film qui s’apprécie comme une cure psychanalytique et rend hommage à l’excentricité et à la flamboyance du cinéma latin.
    José est un auteur de BD en panne d’inspiration qui semble avoir accepté sans conviction un emploi alimentaire dans une ville « ennuyeuse à en mourir », j’ai nommé Clermont-Ferrand
    L’arrivée de son premier enfant provoque dans son couple des rebondissements inédits liés à la prise de conscience de la finitude des êtres et des dangers de la routine qui s’installe. Chez José, elle est signe d’une remise en question et d’une recherche d’inspiration symbolisées par Jean-Claude un voisin imaginaire, sorte de rendez-vous d’analyse hebdomadaire qui se conclut toujours par la « mort symbolique » de celui-ci.
    Sur cet argument un peu fantasque, le film ne se fracasse pas à l’épreuve de l’écran.
    Une image soignée par un chef opérateur inspiré, des acteurs en état de grâce, et surtout un Melvil Poupaud au fait de sa carrière, toute en beauté intérieure et extérieure et qui, tel un félin, fait onduler l’histoire au son du Jazz.
    Un film assurément poétique et romantique – malgré les mises à mort à répétition – à l’image du thème de « Petite Fleur » ( tube de Sidney Bechet), une fleur qui symbolise la poésie, la tendresse et la béatitude de ce bas monde.

    retrouvez mes critique sur www.mondocine.net et mon instagram https://www.instagram.com/best_world_cinema_movies/
    Sabine
    Sabine

    9 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2022
    Etre moi, c'est vivre des moments comme celui-là : je m'explique... J'étais partie pour revoir "My Own Private Idaho" (programmé dans le cadre de "UGC Culte"). Et... Je me suis trompée de salle. Je ne l'ai compris que quand j'ai vu Melvil Poupaud débarqué devant moi. Je n'ai pas osé me lever et partir sous son nez (j'étais au premier rang, comme toujours)... J'ai donc vu "Petite Fleur" en avant-première... La bande annonce ne m'avait pas donné envie de voir le film et finalement cet "acte manqué" m'aura permis de ne pas passer à côté. Mais je regrette toutefois de ne pas avoir revu en salle "My Own Private Idaho". J'espère que l'occasion se représentera ! Concernant "Petite Fleur" c'est un film intriguant, plein d'humour, de poésie macabre et d'amour, qui donne à réfléchir sur beaucoup de choses, dont l'inconscient (!) et nous emporte dans une histoire qui bizarrement m'a rappelé Garcia Marquez et Boris Vian en même temps. De nouveau Clermont-Ferrand, beaucoup moins charmant que dans "Ma nuit chez Maud" et c'est dommage (je trouve l'Auvergne tellement belle !). J'ai passé un très bon moment. J'ai beaucoup aimé tous les personnages avec un coup de coeur une fois de plus pour celui interprété par Sergi Lopez. Mon premier film de Siantiago Mitre. Encore un univers à découvrir... Je déconseille toutefois le film aux personnes qui détestent Sydney Bechett (mais y en a-t-il ?).
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    376 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 avril 2022
    Ce film tourné à Clermont-Ferrand raconte l’histoire plutôt bizarre et carrément déroutante d’un jeune couple avec quelques scènes « gore ». Un psychiatre un peu spécial vient se greffer dans ce film sans apporter grand-chose dans le déroulement du scénario. Personnellement, je n’ai pas trouvé un grand intérêt dans ce film qui reste finalement assez moyen.

    Bernard CORIC
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