Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Grand film sur l'acceptation de l'autre et sur la quête identitaire, « Le Temps d'aimer » relève haut la main ses ambitieux paris. Un somptueux mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
La réalisatrice Katell Quillévéré signe un drame romanesque somptueux qui rappelle l’univers du maître hollywoodien Douglas Sirk.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Katell Quillévéré déploie une trame ambitieuse restituant la puissance du temps et ses chamboulements intimes.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste forment un duo magnifique, tendre et émouvant.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un grand mélo comme on les aime, subtil, bouleversant, qui considère avec noblesse les fragilités humaines. Un récit à la Stefan Zweig.
Télérama
par Louis Guichard
Une originale et passionnante réflexion sur le couple.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Les deux comédiens au meilleur de leur talent portent cette belle histoire d’amour qui s’appuie sur leurs performances. Le Temps d’aimer est aussi celui d’aller voir ce film délicat en salle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste forment un duo d’acteurs convaincants, chacun étant totalement habité par son rôle aux sentiments ambivalents. La mise en scène est soignée et le propos d’une grande modernité.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par J.-P G.
Une histoire d'amour particulière, forte, filmée avec sincérité et bienveillance.
Elle
par Françoise Delbecq
En dépit d'une mise en scène plutôt sage, ce film se révèle une passionnante réflexion sur le couple (...).
Femme Actuelle
par La Rédaction
Katell Quillévéré montre joliment la formation de ce terrain d'entente, et l'esprit de l'époque, qui pose bien la crédibilité du couple central.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Dans une mise en scène parfaitement orchestrée, avec une caméra souvent en mouvement, qui suit les personnages de très près, la réalisatrice offre un film d'une grande intensité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Etienne Sorin
En s’inspirant d’un secret de famille soigneusement tu par sa grand-mère, Katell Quillévéré met en scène une grande histoire d’amour où le tragique le dispute au romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Accompagnée par un duo d'acteurs formidables, Katell Quillévéré interroge le couple avec beaucoup de délicatesse et signe un récit poignant.
Le Parisien
par La Rédaction
Romanesque, intense, cette histoire compte quelques scènes déchirantes. Face à une Anaïs Demoustier impeccable, Vincent Lacoste étonne en homme handicapé par la polio, timide et tourmenté, et convainc une fois de plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Les personnages de ce film inégal mais bouleversant sont de grand·es blessé·es, des éclopé·es aux cœurs amochés, marqué·es par des stigmates et regardé·es comme d’émouvantes raretés. Des marginaux et marginales qui, le temps d’un film, auront un peu guéri.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un beau mélo aux accents intimes.
Paris Match
par Léa Bitton
"Le Temps d'aimer" est d'une modernité déconcertante, invite à une réflexion sur le couple et livre une approche rassurante de l'amour.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce mélodrame, à bonne distance du pathos, est d’une modernité vivifiante, renforcée par celles d’Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste qui, transfigurés par leurs rôles, n’ont jamais été aussi bons.
Télé Loisirs
par Olivier Rajchman
Drame historique et familial, lyrique et intime, le film de Katell Quillévéré bouleverse par sa mise en scène sensible, par ce qu'il soulève (la culpabilisation liée à l'homosexualité) et par le jeu intense du duo Demoustier-Lacoste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les liens défaits et refaits de ces héros abîmés portent une jolie idée de consolation, de réparation, de reconstruction, même si parfois gâchée par les clichés - l’amant est un homme noir viril, bête de sexe…
L'Obs
par Sophie Grassin
Les acteurs, beau couple de cinéma, ne déméritent en rien mais la fresque peine à emporter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Dans la filmographie de Katell Quillévéré, peut-être qu’on ne placera pas Le Temps d’aimer aussi haut que Réparer les vivants ou la série Le Monde de demain, sur l’émergence du hip-hop en France, Grand Prix à Séries Mania Lille 2022. Ce nouveau film confirme néanmoins la place de la réalisatrice dans le paysage français (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avant la lumière, dans Le Temps d’aimer, long-métrage plein de la bienveillance et humanité de Katell Quillévéré, tout commence par des images d’archives de l’épuration : la violence punitive contre les « poules à boche ». L’amour peut-il réparer les survivants de ces ténèbres ?
Le Monde
par M. Dl.
Alors que l’on craint une approche purement illustrative, le mélodrame se révèle plus retors. Certes, il y a les fétiches de l’après-guerre : le dancing de Châteauroux, les GI, les chewing-gums… Mais le film fait passer en sous-main des questions plus modernes qui exacerbent sa dimension réflexive (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Emma Poesy
Le scénario, largement inspiré de l’histoire familiale de la réalisatrice, offre de beaux rôles à ses interprètes (Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste, en grande forme) et prend une photographie très sincère de la France d’après-guerre.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le film est plutôt sincère et attachant, l’académisme de la mise en scène et l’écriture plutôt prévisible nuisent à la qualité du récit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Intolérance, misogynie, homophobie, poids du regard social et amour plus fort que tout (ou presque), sur fond de petite musique commémorative rappelant que le présent n’en a pas fini avec ces fléaux : rien ne manque à ce catalogue (télé)filmé des paradoxes de la raison et de la passion.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Inégal, le film vaut toutefois pour la prestation de Vincent Lacoste, qui permet de circonscrire l'intérêt mais aussi les angles morts de son jeu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Malgré la belle présence d’Anaïs Demoustier et de Vincent Lacoste, le film de Katell Quillévéré, construit comme un hommage aux mélos hollywoodiens des années 1950, se perd dans une surcharge artistique et scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
Grand film sur l'acceptation de l'autre et sur la quête identitaire, « Le Temps d'aimer » relève haut la main ses ambitieux paris. Un somptueux mélodrame.
Marianne
La réalisatrice Katell Quillévéré signe un drame romanesque somptueux qui rappelle l’univers du maître hollywoodien Douglas Sirk.
Marie Claire
Katell Quillévéré déploie une trame ambitieuse restituant la puissance du temps et ses chamboulements intimes.
Public
Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste forment un duo magnifique, tendre et émouvant.
Sud Ouest
Un grand mélo comme on les aime, subtil, bouleversant, qui considère avec noblesse les fragilités humaines. Un récit à la Stefan Zweig.
Télérama
Une originale et passionnante réflexion sur le couple.
20 Minutes
Les deux comédiens au meilleur de leur talent portent cette belle histoire d’amour qui s’appuie sur leurs performances. Le Temps d’aimer est aussi celui d’aller voir ce film délicat en salle.
CNews
Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste forment un duo d’acteurs convaincants, chacun étant totalement habité par son rôle aux sentiments ambivalents. La mise en scène est soignée et le propos d’une grande modernité.
Closer
Une histoire d'amour particulière, forte, filmée avec sincérité et bienveillance.
Elle
En dépit d'une mise en scène plutôt sage, ce film se révèle une passionnante réflexion sur le couple (...).
Femme Actuelle
Katell Quillévéré montre joliment la formation de ce terrain d'entente, et l'esprit de l'époque, qui pose bien la crédibilité du couple central.
Franceinfo Culture
Dans une mise en scène parfaitement orchestrée, avec une caméra souvent en mouvement, qui suit les personnages de très près, la réalisatrice offre un film d'une grande intensité.
Le Figaro
En s’inspirant d’un secret de famille soigneusement tu par sa grand-mère, Katell Quillévéré met en scène une grande histoire d’amour où le tragique le dispute au romanesque.
Le Journal du Dimanche
Accompagnée par un duo d'acteurs formidables, Katell Quillévéré interroge le couple avec beaucoup de délicatesse et signe un récit poignant.
Le Parisien
Romanesque, intense, cette histoire compte quelques scènes déchirantes. Face à une Anaïs Demoustier impeccable, Vincent Lacoste étonne en homme handicapé par la polio, timide et tourmenté, et convainc une fois de plus.
Les Inrockuptibles
Les personnages de ce film inégal mais bouleversant sont de grand·es blessé·es, des éclopé·es aux cœurs amochés, marqué·es par des stigmates et regardé·es comme d’émouvantes raretés. Des marginaux et marginales qui, le temps d’un film, auront un peu guéri.
Ouest France
Un beau mélo aux accents intimes.
Paris Match
"Le Temps d'aimer" est d'une modernité déconcertante, invite à une réflexion sur le couple et livre une approche rassurante de l'amour.
Télé 7 Jours
Ce mélodrame, à bonne distance du pathos, est d’une modernité vivifiante, renforcée par celles d’Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste qui, transfigurés par leurs rôles, n’ont jamais été aussi bons.
Télé Loisirs
Drame historique et familial, lyrique et intime, le film de Katell Quillévéré bouleverse par sa mise en scène sensible, par ce qu'il soulève (la culpabilisation liée à l'homosexualité) et par le jeu intense du duo Demoustier-Lacoste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les liens défaits et refaits de ces héros abîmés portent une jolie idée de consolation, de réparation, de reconstruction, même si parfois gâchée par les clichés - l’amant est un homme noir viril, bête de sexe…
L'Obs
Les acteurs, beau couple de cinéma, ne déméritent en rien mais la fresque peine à emporter.
La Voix du Nord
Dans la filmographie de Katell Quillévéré, peut-être qu’on ne placera pas Le Temps d’aimer aussi haut que Réparer les vivants ou la série Le Monde de demain, sur l’émergence du hip-hop en France, Grand Prix à Séries Mania Lille 2022. Ce nouveau film confirme néanmoins la place de la réalisatrice dans le paysage français (...).
Le Dauphiné Libéré
Avant la lumière, dans Le Temps d’aimer, long-métrage plein de la bienveillance et humanité de Katell Quillévéré, tout commence par des images d’archives de l’épuration : la violence punitive contre les « poules à boche ». L’amour peut-il réparer les survivants de ces ténèbres ?
Le Monde
Alors que l’on craint une approche purement illustrative, le mélodrame se révèle plus retors. Certes, il y a les fétiches de l’après-guerre : le dancing de Châteauroux, les GI, les chewing-gums… Mais le film fait passer en sous-main des questions plus modernes qui exacerbent sa dimension réflexive (...).
Première
Le scénario, largement inspiré de l’histoire familiale de la réalisatrice, offre de beaux rôles à ses interprètes (Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste, en grande forme) et prend une photographie très sincère de la France d’après-guerre.
aVoir-aLire.com
Si le film est plutôt sincère et attachant, l’académisme de la mise en scène et l’écriture plutôt prévisible nuisent à la qualité du récit.
Cahiers du Cinéma
Intolérance, misogynie, homophobie, poids du regard social et amour plus fort que tout (ou presque), sur fond de petite musique commémorative rappelant que le présent n’en a pas fini avec ces fléaux : rien ne manque à ce catalogue (télé)filmé des paradoxes de la raison et de la passion.
Critikat.com
Inégal, le film vaut toutefois pour la prestation de Vincent Lacoste, qui permet de circonscrire l'intérêt mais aussi les angles morts de son jeu.
La Croix
Malgré la belle présence d’Anaïs Demoustier et de Vincent Lacoste, le film de Katell Quillévéré, construit comme un hommage aux mélos hollywoodiens des années 1950, se perd dans une surcharge artistique et scénaristique.