Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
"Un parfait inconnu" est le seul film décent qu’il était possible de faire sur Dylan, un film qui mesure l’énormité de son legs et s’interroge sur ce que ça doit faire à un gamin dans sa vingtaine d’avoir ce feu en lui, et au bout des doigts. Un très beau film sur la jeunesse, les pierres qui roulent, inconnues à elles-mêmes, et qui changent le monde au fur et à mesure que défile le bitume sous leurs pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Plus qu’un biopic traditionnel, Un parfait inconnu est un film sur la jeunesse, ses rêves et ses contradictions. Il rend très actuels la musique de Bob Dylan et son message. De quoi réunir aujourd’hui les générations.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Évacuant les conventions du genre sur le petit secret freudien tapi derrière toute célébrité, Mangold fait un choix de cinéaste en construisant obliquement son personnage via un réseau de regards tressé par son entourage.
La musique de Dylan, ses chansons et ses mots inondent le film, qui restitue avec une justesse saisissante, le processus créatif, la naissance et la construction d'un artiste surdoué, et son chemin pour affirmer sa propre singularité.
Vingt ans après Walk the Line, James Mangold explore avec brio la carrière d’un autre crooner américain légendaire, Bob Dylan. Le réalisateur replace la musique et surtout les prestations musicales au cœur de son biopic, porté par un Timothée Chalamet appliqué et inspiré.
Sans les drogues (c’est une production Disney) mais fidèle à l’énigme Dylan, ce sale type génial, ce troubadour fuyant. Chalamet, très convaincant, cherche moins à l’imiter qu’à en transmettre l’esprit. Tout comme Mangold évite toute psychologie, cette plaie des biopics qui plombait son « Walk The Line » sur Johnny Cash, pour incarner une époque et filmer la jeunesse d’un mystère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Reconstituant avec une minute maniaque tout le décor d'époque, cette épopée des prémices se narre sur le fond d'une histoire d'amour qui, entre Suze Rotolo et Joan Baez, témoigne des tiraillements d'un artiste pris entre ses velléités politiques et son désir de reconnaissance.
A travers les premiers pas de Bob Dylan vers la gloire, James Mangold réalise un très beau film sur la création artistique, le renouvellement et la trahison.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Après avoir consacré un film à Johnny Cash (Walk the Line), James Mangold se penche, avec une égale élégance - en dépit de quelques écueils inhérents aux conventions du biopic -, sur une autre figure de la musique populaire états-unienne, l'immense Bob Dylan.
Moins conventionnel que celui qu’il avait consacré à Johnny Cash dans « Walk the line » et moins audacieux que le « I’m not there » de Todd Haynes qui engageait six acteurs pour interpréter Dylan, ce « Parfait inconnu » se distingue par son habileté à ne pas chercher à cerner le mystère autour de la star.
Minutieux, pédago, Mangold mélange les anecdotes et privilégie les raccourcis historiques (les geeks dylanophiles tiqueront par endroits) pour raconter, pas tant Dylan lui-même, que l’effet que produit sa musique sur ceux qui l’écoutent et croisent sa route.
La critique complète est disponible sur le site Première
En auscultant la psychologie du jeune Bob Dylan au début de sa longue carrière, James Mangold dresse le portrait passionnant d’un artiste en construction. Avec « Un parfait inconnu », Timothée Chalamet endosse pleinement la légende et crève l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Dans la parfaite lignée de Walk the Line, ce biopic exaltant, poignant et bercé de titres enivrants permet à Timothée Chalamet de réaliser une performance artistique et vocale éblouissante.
En s’attaquant à la figure iconique de Dylan, James Mangold (déjà à l’origine du revivant’ Indiana Jones il y a deux ans) a placé la barre très haut. Et s’en sort avec les honneurs.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Les grands fans de Dylan risquent d’être déçus par ce traitement beaucoup trop classique d’une idole aussi complexe, et les amateurs de biopics Wikipédia seront peut-être, eux, frustrés par ce personnage mal-aimable. Reste un film aux multiples qualités cosmétiques qui bénéficie de la mise en scène toujours au poil de James Mangold et de l’interprétation impressionnante de Timothée Chalamet, Edward Norton et Monica Barbaro.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Pari risqué, relevé avec brio par la richesse de ses séquences musicales tournées en live et un Timothée Chalamet saisissant de vérité dans la peau de ce parfait inconnu appelé à devenir une icône de la musique folk contestataire.
Quand un biopic semble à ce point formaté et conformiste tout en se focalisant sur un individu aux antipodes, c’est signe qu’il y a un problème quelque part. En tout cas, Todd Haynes peut dormir tranquille : son "I’m Not There" n’a pas fini de faire référence en tant que percée subjective et composite de la vie et des paradoxes de Bob Dylan.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Le film convainc d'abord par sa manière de faire des scènes de concerts le théâtre de regards qui se croisent et s'entrecroisent. Mais la fascination flottante instaurée dans les premiers temps du récit se délite petit à petit à cause d’une fonctionnalisation relativement stérile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Closer
Timothée Chalamet est bluffant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Frêle et incandescent, Timothée Chalamet mérite un Oscar pour son rôle de l’inconnu rebelle devenu héros populaire américain.
Le Dauphiné Libéré
Timothée Chalamet est un sosie vocal absolument bluffant de Dylan, sa voix escarpée comme si elle était vieille de plusieurs siècles.
Le Parisien
C’est un Timothée Chalamet en état de grâce qui chante et joue de la guitare.
Libération
"Un parfait inconnu" est le seul film décent qu’il était possible de faire sur Dylan, un film qui mesure l’énormité de son legs et s’interroge sur ce que ça doit faire à un gamin dans sa vingtaine d’avoir ce feu en lui, et au bout des doigts. Un très beau film sur la jeunesse, les pierres qui roulent, inconnues à elles-mêmes, et qui changent le monde au fur et à mesure que défile le bitume sous leurs pas.
Ouest France
Plus qu’un biopic traditionnel, Un parfait inconnu est un film sur la jeunesse, ses rêves et ses contradictions. Il rend très actuels la musique de Bob Dylan et son message. De quoi réunir aujourd’hui les générations.
Rolling Stone
James Mangold a eu la sagesse de ne pas s’embarquer dans un biopic hollywoodien standard, et on l’en remercie.
Télé 2 semaines
Le film de James Mangold ravira autant les fans que les béotiens, notamment grâce à la performance habitée de Timothée Chalamet.
Télé Loisirs
Le film ravira autant les fans que les autres, grâce à la performance habitée de Timothée Chalamet.
20 Minutes
Un parfait inconnu se révèle de facture plus classique mais apprend de nombreuses choses sur la star aujourd’hui âgée de 83 ans.
Bande à part
Un film inégal dans son interprétation, mais très révélateur des frustrations contemporaines.
Cahiers du Cinéma
Évacuant les conventions du genre sur le petit secret freudien tapi derrière toute célébrité, Mangold fait un choix de cinéaste en construisant obliquement son personnage via un réseau de regards tressé par son entourage.
Franceinfo Culture
La musique de Dylan, ses chansons et ses mots inondent le film, qui restitue avec une justesse saisissante, le processus créatif, la naissance et la construction d'un artiste surdoué, et son chemin pour affirmer sa propre singularité.
Konbini
Vingt ans après Walk the Line, James Mangold explore avec brio la carrière d’un autre crooner américain légendaire, Bob Dylan. Le réalisateur replace la musique et surtout les prestations musicales au cœur de son biopic, porté par un Timothée Chalamet appliqué et inspiré.
L'Obs
Sans les drogues (c’est une production Disney) mais fidèle à l’énigme Dylan, ce sale type génial, ce troubadour fuyant. Chalamet, très convaincant, cherche moins à l’imiter qu’à en transmettre l’esprit. Tout comme Mangold évite toute psychologie, cette plaie des biopics qui plombait son « Walk The Line » sur Johnny Cash, pour incarner une époque et filmer la jeunesse d’un mystère.
La Croix
Jouant et chantant son rôle avec un rare mimétisme, Timothée Chalamet impressionne.
Le Figaro
James Mangold réussit à cerner la personnalité opaque du musicien tout en lui conservant son charme énigmatique.
Le Journal du Dimanche
Reconstituant avec une minute maniaque tout le décor d'époque, cette épopée des prémices se narre sur le fond d'une histoire d'amour qui, entre Suze Rotolo et Joan Baez, témoigne des tiraillements d'un artiste pris entre ses velléités politiques et son désir de reconnaissance.
Le Point
Bluffant !
Les Echos
A travers les premiers pas de Bob Dylan vers la gloire, James Mangold réalise un très beau film sur la création artistique, le renouvellement et la trahison.
Les Fiches du Cinéma
Après avoir consacré un film à Johnny Cash (Walk the Line), James Mangold se penche, avec une égale élégance - en dépit de quelques écueils inhérents aux conventions du biopic -, sur une autre figure de la musique populaire états-unienne, l'immense Bob Dylan.
Marianne
Bob Dylan revisité dans un (bon) biopic.
Nice-Matin
Moins conventionnel que celui qu’il avait consacré à Johnny Cash dans « Walk the line » et moins audacieux que le « I’m not there » de Todd Haynes qui engageait six acteurs pour interpréter Dylan, ce « Parfait inconnu » se distingue par son habileté à ne pas chercher à cerner le mystère autour de la star.
Première
Minutieux, pédago, Mangold mélange les anecdotes et privilégie les raccourcis historiques (les geeks dylanophiles tiqueront par endroits) pour raconter, pas tant Dylan lui-même, que l’effet que produit sa musique sur ceux qui l’écoutent et croisent sa route.
Public
Timothée Chalamet se glisse sans effort avec un naturel déconcertant dans la peau de celui qu'on surnomme le Rimbaud du rock.
Sud Ouest
En auscultant la psychologie du jeune Bob Dylan au début de sa longue carrière, James Mangold dresse le portrait passionnant d’un artiste en construction. Avec « Un parfait inconnu », Timothée Chalamet endosse pleinement la légende et crève l’écran.
Télé 7 Jours
Timothée Chalamet, qui interprète toutes ses chansons, fait renaître avec une fraîcheur désarmante le Dylan des débuts, provocateur et insaisissable.
Version Femina
Dans la parfaite lignée de Walk the Line, ce biopic exaltant, poignant et bercé de titres enivrants permet à Timothée Chalamet de réaliser une performance artistique et vocale éblouissante.
Diverto
En s’attaquant à la figure iconique de Dylan, James Mangold (déjà à l’origine du revivant’ Indiana Jones il y a deux ans) a placé la barre très haut. Et s’en sort avec les honneurs.
Ecran Large
Les grands fans de Dylan risquent d’être déçus par ce traitement beaucoup trop classique d’une idole aussi complexe, et les amateurs de biopics Wikipédia seront peut-être, eux, frustrés par ce personnage mal-aimable. Reste un film aux multiples qualités cosmétiques qui bénéficie de la mise en scène toujours au poil de James Mangold et de l’interprétation impressionnante de Timothée Chalamet, Edward Norton et Monica Barbaro.
La Tribune Dimanche
Pari risqué, relevé avec brio par la richesse de ses séquences musicales tournées en live et un Timothée Chalamet saisissant de vérité dans la peau de ce parfait inconnu appelé à devenir une icône de la musique folk contestataire.
La Voix du Nord
Bref, un biopic réussi, mais qui semble lui aussi se réfugier derrière des lunettes noires. Comme Bob Dylan.
Le Monde
Le biopic de James Mangold, bien ficelé, se concentre sur la période cruciale qui voit le musicien passer de la musique folk à l’électrique.
Les Inrockuptibles
On savoure avec une pointe persistante de culpabilité cette superproduction aussi jouissive que blasphématoire pour le mythe rimbaldien.
Télérama
Un biopic classique mais soigné et plaisant.
aVoir-aLire.com
Un biopic musical plaisant et élégant, qui évite les boursouflures inhérentes au genre, et confirme le savoir-faire de James Mangold.
Abus de Ciné
Quand un biopic semble à ce point formaté et conformiste tout en se focalisant sur un individu aux antipodes, c’est signe qu’il y a un problème quelque part. En tout cas, Todd Haynes peut dormir tranquille : son "I’m Not There" n’a pas fini de faire référence en tant que percée subjective et composite de la vie et des paradoxes de Bob Dylan.
Critikat.com
Le film convainc d'abord par sa manière de faire des scènes de concerts le théâtre de regards qui se croisent et s'entrecroisent. Mais la fascination flottante instaurée dans les premiers temps du récit se délite petit à petit à cause d’une fonctionnalisation relativement stérile.