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Adelme d'Otrante
182 abonnés
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3,5
Publiée le 2 janvier 2023
Un détective au nom français, une île privée grecque, une partie de Cluedo en grandeur nature. Et au passage Rian Johnson se paie la tête des starlettes à cervelle de moineau, des influenceurs masculinistes et des gourous déconnectés de la tech. Une comédie policière efficace qui pourrait bien devenir une franchise annuelle pour le Netflix de Noël. Même si on a connu un Edward Norton beaucoup plus subtil dans son jeu.
Intrigue très limitée : nulle ; personnages exagérés à l'extrême : nuls ; dénouement ridicule et complètement invraisemblable : nul ; de très nombreuses références sans intérêt à la « culture de bas étages » états-uniennes : nulles.
Glass Onion, c’est tout de suite très inventif et assez génial. Benoit Blanc demeure ce génie mi Columbo, mi Sherlock Holmes, tout en décalage, qui use de « saperlipopette »… Si Glass Onion semble un tantinet moins feutré et cérébral que l’esprit du huis-clos absolu du premier opus, il se distingue par son aspect davantage glamour, mais toujours aussi élégant et jamais artificiel pour un sou. Le film ne tombe pas dans le piège du renouvellement de l’esthétisme, car il conserve les ficelles d’A couteaux tirés, tout en inscrivant sa singularité. Ce n’est pas A couteaux tirés 2, et c’est très bien ainsi.
Une suite qui est donc totalement à la hauteur, tant l’intrigue est multiple, prenante, mais accessible, haletante et cynique sur le pouvoir dégoulinant et ridicule de l’argent. Le style hyper décalé de Benoit Blanc, les vannes qui défilent et claquent, les boissons énergisantes alcoolisées à l’effigie de Jared Leto, le burlesque de répétition, foisonnent et rythment l’enquête rebondissante sur un mode déjanté et clairement jouissif. Le mise en scène est épique, spectaculaire et suit la frénésie de l’intrigue et des évènements. Les couleurs sont assez folles et totalement pétaradantes, les arrières plans multiples et dont la créativité est susceptible de nous donner la clé de l’énigme et sollicite nos sens en permanence. C’est du grand art.
C’est aussi toute la vanité et la vacuité de la superficialité des ultra riches qui en prend justement pour son argent, avec une galerie de personnages autant faussement iconiques que désespérément avides d’une stérile reconnaissance publique et financière. C’est l’avènement d’un empire fallacieux qui en fait, tombe en ruines, et un vernis qui une fois gratté à la truelle est d’une abyssale pauvreté intellectuelle.
Face à eux, avec Benoit Blanc, c’est la victoire de la modestie triomphante et de l’intelligence de chaque instant devant les multiples attaques syntaxiques et décervelées d’une ribambelle de cerveaux vides aux poches pleines…. Qui sont finalement les vrais perturbateurs ? Glass Onion n’est pas complétement cette fable anarchiste mais s’érige quand même en destructeur de l’artifice contemporain, et que ça fait du bien !!! C’est toute la verve de punk rock de Rian Johsnon qui s’exprime ici.
Glass Onion est un pur moment de jubilation, c’est diablement incisif, supérieurement intelligent et pleinement satirique. On se réjouit d’avance du troisième volet à venir, mais d’ores et déjà il convient de s’éclater avec tout d’abord A couteaux tirés pour ceux qui sont passés à côtés, puis Glass Onion, tous deux disponibles sur la plateforme noire au N rouge. Clairement idéal pour se divertir et réfléchir tout en même temps dans cette période de fêtes.
Ayant beaucoup aimé le premier volet, je me faisais une joie de regarder le deuxième... quelle déception ! Début très très long. Un décor trop fantaisiste or le cadre était propice à de magnifiques décors ( Grèce) inutile donc. L'intrigue mal ficelée, le jeu d'acteur de Daniel Craig "sauve" le film. La fin est grotesque ! Très déçue !
Cette seconde enquête du détective perturbé Benoît Blanc est à mille lieues de mes attentes. Là où l’excellent "Knives out" faisait dans la dentelle et la finesse, "Glass Onion" n’est que lourdeur, facilité, cabotinage et placement(s) de produits. L’intrigue est une insulte à l’intelligence du spectateur et l’on devine aisément qui est le coupable. Pour autant, le film se regarde curieusement sans déplaisir, sans doute grâce au duo formé par Daniel Craig et Edward Norton, les autres acteurs n’exprimant quasiment rien. Le final, se voulant original, n’a ni queue ni tête… Tout n'est pas à jeter ici, mais Benoît Blanc mérite mieux s'il veut inscrire son personnage dans la légende des enquêteurs de génie.
Après l'excellent À Couteaux Tirés, Rian Johnson transforme l'essai des enquêtes de Benoit Blanc avec Glass Onion. Avec son intrigue à différentes couches, Glass Onion garde le spectateur en haleine tout en proposant un festival de comédie et de répliques savoureuses par un casting de grande classe dans un décor surréaliste des plus évocateurs. Un véritable bijou du genre. Critique vidéo : https://youtu.be/ZEZOFG_-X68
Casting, quatre étoiles, intrigue un peu tiré par les cheveux, mais plaisante… Par contre un final décevant entre destruction puéril, vengeance et retournement de situation pour sauver la morale.
Ce film est rempli de facilités scénaristique qui viennent détruire la suspension consentie d'incrédulité du spectateur. Les personnages sont tous antipathiques du début à la fin. La scène finale d'une bétise ahurissante à la morale très douteuse. Rien à voir avec le précédent film
Le premier était vraiment top : divertissant, une super atmosphère , de bons acteurs, et une très bonne intrigue.
Le 2eme, se contente d'une intrigue, moyenne, des comédiens qui surjouent, aucune atmosphère, bref un film qui reste divertissant, mais pas à la hauteur du précédent.
Il faut dire que l'inclusion, à outrance, comme beaucoup de films et séries depuis quelques années, rend le film quelque peux "fade"... Comme il faut "de tout pour tout le monde" il n'y a pas assez de temps pour développer l'intrigue et les personnages, c'est terriblement plat. cette façon de faire, nous fait deviner très vite le/la "mechante" et le/la "gentil", et c'est quand même dommage de deviner l'intrigue, a cause de notre époque.
Daniel Craig, est vraiment un acteur exceptionnel, et heureusement, car son rôle, c'est malheureusement tourné vers la caricature... Heureusement que lui n'a pas un acting caricaturale, il s'en tire à merveille, grâce à son talent, mais il faut quand même dire que son rôle est beaucoup moin intéressant que dans le 1er volet...
Les autres acteurs sont également dans la caricatures (et c'est moin subtil que dans le 1er) , voir dans le burlesques, bref on s'attache à personne, pas même au heros/héroïne de l'intrigue.
on en viens à pas être vraiment intéressé par l'intrigue, et peu importe ce qui arrive, on s'en fou un peu. et que dire de la fin, qui n'a aucun sens....
vraiment déçu comparé au premier volet qui était une masterclass la première était un peu longue mais l'histoire prenait du rythme puis vint la deuxième partie et la tout est parti en miette les flash back qui s'eternise les rebondissement c'est du baclé ça manquait d'intensité a cause des tropes utilsé et quand arrive le dénouement c'est l'abberation si vous avez surkiffé le premier eviter celui la
Par rapport au premier, une vraie bavure. L'intrigue et son dénouement tombent complètement à plat. On attend un twist qui n'arrive jamais. Les personnages sont d'une vacuité impressionnante. Norton cabotine à souhait. Bref, vu par curiosité eu égard au premier, et j'en resterai là.
Vu Glass Onion Suite vraiment nul . Histoire et acteurs aux fraises une Fin vraiment hors sujet ou J'avais tout capter. Film prétentieux et sans intérêt en plus c'est long. 1h30 aurait suffit tellement c'est poussif passer votre chemin
Ce film mérite amplement sa place sur les grands écrans pour que tout le monde puissent le voir, il ya du suspens, de l'intrigue, couronné d'un humour noir très bien dosé qui définit bien le style des personnages, les acteurs son tous excellents dans leur rôle, j'ai adoré c'est devenu un de mes films à énigmes préféré ❤️❤️