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Votre avis sur Glass Onion : une histoire à couteaux tirés ?
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Placements de produits géant avec un budget illimité : encore une production ridiculeuselent pompeuse de Netflix. Suite de placements de produits à vomir (on croit même à de l’ironie mais non).
Redzing
Avec "Knives Out", sorti en salles en 2019, Rian Johnson réinventait élégamment le whodunit. Le joli succès critique et public du film a engendré une guerre des enchères pour sa (ses) suite(s). C'est finalement Netflix qui a remporté le gros lot, avec un chèque de 467 millions de dollars (!!!) pour garder les droits sur cette nouvelle franchise.
Rian Johnson repart donc avec un budget confortable pour cette suite... qui n'a en fait aucun lien scénaristique avec le premier volet, si ce n'est pas présence de Benoit Blanc. Le détective privé à l'accent du Sud est invité pour un week-end dans une île grecque, appartenant à un milliardaire excentrique. Evidemment, la murder party prévue par l'hôte va se transformer en enquête bien réelle !
Il serait criminel d'en révéler davantage sur l'intrigue, tant le film surprend en permanence... tout en gardant une trame très distincte du premier volet. Et oui, Rian Johnson a réussi à réinventer une deuxième fois le whodunit, grâce à un petit bijou d'écriture !
Le scénario est riche en surprises et en rebondissements, déjouant les clichés du genre et nous emmenant là où on ne l'avait pas vu venir. Qu'il s'agisse d'un portrait au vitriol de l'Amérique des riches parvenus modernes, ou une structure étonnante pour un polar.
Avec en prime des répliques fines. Et une mise en scène très élégante et fluide, jouant sur les détails et les mouvements de caméra amples. Comme le suggère le titre du film, les éléments importants sont souvent en évidence, il faut savoir où regarder/filmer ! Et puis des comédiens excellents.
En tête, Daniel Craig s'éclate dans ce rôle de détective qui parait largué, mais qui est surdoué quand il s'y met, et qui est toujours à bon fond. Mais les autres ne sont pas en reste. Janelle Monae, surprenante. Edward Norton qui manipule le contre-emploi comme un as. Dave Bautista et Kate Hudson qui s'amusent à jouer les andouilles... Il est clair à l'écran que toute cette bande a pris son pied !
Mais surtout, "Glass Onion" est un film monstrueusement drôle ! Les gags absurdes sont abondants, qu'il s'agisse d'effet de mise en scène spoiler: (des personnages qui se cachent en se baissant vers le hors champ de la caméra !)
, des caméos volontairement gratuits, des vannes/références complètement random spoiler: (Edward Norton grimé comme le Tom Cruise de "Magnolia" pour un flashback, un monologue qui fait furieusement penser à une défense de "Star Wars VIII" du même réalisateur...)
.
"Glass Onion" est donc un vrai plaisir à découvrir. Rian Johnson saura-t-il encore se renouveler pour le troisième ?
Rian Johnson repart donc avec un budget confortable pour cette suite... qui n'a en fait aucun lien scénaristique avec le premier volet, si ce n'est pas présence de Benoit Blanc. Le détective privé à l'accent du Sud est invité pour un week-end dans une île grecque, appartenant à un milliardaire excentrique. Evidemment, la murder party prévue par l'hôte va se transformer en enquête bien réelle !
Il serait criminel d'en révéler davantage sur l'intrigue, tant le film surprend en permanence... tout en gardant une trame très distincte du premier volet. Et oui, Rian Johnson a réussi à réinventer une deuxième fois le whodunit, grâce à un petit bijou d'écriture !
Le scénario est riche en surprises et en rebondissements, déjouant les clichés du genre et nous emmenant là où on ne l'avait pas vu venir. Qu'il s'agisse d'un portrait au vitriol de l'Amérique des riches parvenus modernes, ou une structure étonnante pour un polar.
Avec en prime des répliques fines. Et une mise en scène très élégante et fluide, jouant sur les détails et les mouvements de caméra amples. Comme le suggère le titre du film, les éléments importants sont souvent en évidence, il faut savoir où regarder/filmer ! Et puis des comédiens excellents.
En tête, Daniel Craig s'éclate dans ce rôle de détective qui parait largué, mais qui est surdoué quand il s'y met, et qui est toujours à bon fond. Mais les autres ne sont pas en reste. Janelle Monae, surprenante. Edward Norton qui manipule le contre-emploi comme un as. Dave Bautista et Kate Hudson qui s'amusent à jouer les andouilles... Il est clair à l'écran que toute cette bande a pris son pied !
Mais surtout, "Glass Onion" est un film monstrueusement drôle ! Les gags absurdes sont abondants, qu'il s'agisse d'effet de mise en scène spoiler: (des personnages qui se cachent en se baissant vers le hors champ de la caméra !)
, des caméos volontairement gratuits, des vannes/références complètement random spoiler: (Edward Norton grimé comme le Tom Cruise de "Magnolia" pour un flashback, un monologue qui fait furieusement penser à une défense de "Star Wars VIII" du même réalisateur...)
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"Glass Onion" est donc un vrai plaisir à découvrir. Rian Johnson saura-t-il encore se renouveler pour le troisième ?
stallonefan62
Après un 1er volet réussi, on retrouve une nouvelle fois Benoit Blanc interprété par l'excellent Daniel Craig dans une nouvelle enquête !! Une enquête qui tient en haleine jusqu'au final quelque peu décevant je trouve !! En ce qui concerne le rythme, le film aurait pu durer 30min de moins je pense !! L'ensemble reste néanmoins divertissant et bien interprété !!
Debile beaucoup de bla-bla-bla pour pas grand chose d inattendue. Dommage pour Daniel Graig trop de publicité autour de ce film dont le scénario est inexistant. Très étonné par les Avis de la presse....
ferdinand75
Beaucoup de verbiages, pour un scénario inexistant.. c'est mou, c'est inefficace, pas de punch, rien à voir avec le 1er Opus qui était très réussi.. On s'ennui beaucoup , des dialogues mal écrit , on en comprend rien. Les acteurs font ce qu'ils peuvent, pour sauver le film , mais cabotinent beaucoup ..
ned123
J'ai vu un film... jubilatoire... c'est simple, j'ai jubilé, jubilé, jubilé... C'est un Cluedo magnifique livré à notre sagacité... Laquelle est mise à rude épreuve... C'est simple, j'ai passé les 20 premières minutes à me demander ce que je faisais devant ce nanar des familles, et d'un coup, le turbo... ça accélère dans les virages, la ligne droite est à pleine puissance... Daniel Craig incarne l'irrésistible Benoit Blanc, le meilleur détective du monde... Et qu'est-ce qu'il est fort... Il m'épate, m'impressionne et me séduit... La narration est retors à souhait, on est embarqué dans une maxi enquête de high level... Et au bout d'un moment, toutes les pièces du puzzle se mettent en place, et on est subjugué... Du coup, on jubile... Les dialogues sont extra, les comédiens cabotinent, les énigmes apparaissent puis sont résolues et on reste sur le ... (J'ai cherché une rime en "u" et je n'ai pas trouvé ;)). Le film est drôle, très... Le spectateur est trompé éhontément... et tout le monde s'éclate à trouver le coupable... Mais je ne dirai rien, même si je suis très chatouilleux...
Cinememories
La surenchère de « À Couteaux Tirés » semble avoir fait son effet, notamment depuis « Looper » et ce mauvais pari intergalactique chez Disney. Pourtant, Rian Johnson retourne à ses amours, à base de cluedo et sa narration croisée, qui a le don de stimuler le premier mordu de polar. Proche du climat de son « arnaque presque parfaite », le cinéaste américain bute toutefois sur les règles de son propre jeu. Quand il décidait de ne pas nous montrer les indices dans le volet précédents, ici, il préfère les poser sous l’œil du spectateur, qui n’en a pas toujours besoin pour résoudre une énigme, assez simplette dans sa construction. Le whudonit d’Agatha Christie aura beau alimenter son imaginaire, fait de verre, d’un décor moderne et high-tech, sa lame est loin d’être aussi aiguisé qu’il n’y paraît.
Avant que Johnson ne prenne Daniel Craig sous son aile, ce dernier a déjà pu se prêter au jeu du décalage comique dans « Logan Lucky », un taulard qui n’avait pas droit à du véritable sel pour accompagner ses gourmandises. Il n’est donc pas étonnant de le retrouver, une seconde fois, l’ex-James Bond dans le costume du détective Benoît Blanc, encore plus délicieux que précédemment. Il sera rapidement mis à contribution, évoluant aux côtés d’une femme (Janelle Monáe), laissée-pour-compte et reniée par le groupe à qui elle a donné naissance. Plus que cela, le mystère est au détour d’une double identité, d’une double manipulation, où l’hôte d’une murder party et ses convives constituent de potentiels suspects. En virée sur une île grecque, isolé de tout, mais servi par une débauche technologique et de célébrités qui fait tout pour détourner l’attention, le groupe va rapidement passer du jeu au drame, lorsque l’un d’entre eux restera sur le carreau.
Influenceurs et autres politiciens, la fortune est une anomalie pour Blanc, qui atterrit par erreur dans ce cocon névrosé d’une classe aisée et qui se ridiculise elle-même. On l’aura déjà vu cette année avec les récents « Don’t Look Up », « Sans Filtre » ou encore « Le Menu », déliant la langue de cette bourgeoisie au sommet du pouvoir, simplement plus amplifier sa chute. Il en va de même dans cette nouvelle enquête, doublée d’une satire séduisante, mais qui peine à créer des interactions avec le détective et son esprit, loin d’être farouches. En mettant les deux pieds dans l’humour cynique, le cinéaste frôle souvent l’excès, qui ne se dilue pas parfaitement sur le ton dramatique de l’intrigue. Sa proximité avec la période pandémique en témoigne, mais sa fonction ne fait que dater ses propos au lieu de les sublimer. La mise en scène joue davantage sur des ressorts scénaristiques, qui justifieront les mobiles au dénouement, sans que le débat ne soit réellement pertinent ou amusant.
S’il ne faut pas y voir du Beatles dans le titre, on peut néanmoins retenir les paroles, qui nous invitent à regarder au-delà des reflets et à en éplucher les distractions. « Glass Onion : une histoire à couteaux tirés » (A Knives Out Mystery) espère ardemment bluffer par sa lucidité, mais la vivacité du spectateur peut l’emporter sur un divertissement qui convoque ce dernier à observer et à déduire. Et quand bien même, la plus grande partie de la vérité réside en hors champs, dans un flashback, il n’y a pas de raison de se laisser assommer, car le rythme reste maîtrisé et nous accompagne dans une démarche très didactique. Cette mécanique aura beau être répétitive et identifiable, elle continue de sonner creux dans les mains d’un auteur beaucoup trop sûr des couches qui embaument l’extravagance de la comédie policière.
Avant que Johnson ne prenne Daniel Craig sous son aile, ce dernier a déjà pu se prêter au jeu du décalage comique dans « Logan Lucky », un taulard qui n’avait pas droit à du véritable sel pour accompagner ses gourmandises. Il n’est donc pas étonnant de le retrouver, une seconde fois, l’ex-James Bond dans le costume du détective Benoît Blanc, encore plus délicieux que précédemment. Il sera rapidement mis à contribution, évoluant aux côtés d’une femme (Janelle Monáe), laissée-pour-compte et reniée par le groupe à qui elle a donné naissance. Plus que cela, le mystère est au détour d’une double identité, d’une double manipulation, où l’hôte d’une murder party et ses convives constituent de potentiels suspects. En virée sur une île grecque, isolé de tout, mais servi par une débauche technologique et de célébrités qui fait tout pour détourner l’attention, le groupe va rapidement passer du jeu au drame, lorsque l’un d’entre eux restera sur le carreau.
Influenceurs et autres politiciens, la fortune est une anomalie pour Blanc, qui atterrit par erreur dans ce cocon névrosé d’une classe aisée et qui se ridiculise elle-même. On l’aura déjà vu cette année avec les récents « Don’t Look Up », « Sans Filtre » ou encore « Le Menu », déliant la langue de cette bourgeoisie au sommet du pouvoir, simplement plus amplifier sa chute. Il en va de même dans cette nouvelle enquête, doublée d’une satire séduisante, mais qui peine à créer des interactions avec le détective et son esprit, loin d’être farouches. En mettant les deux pieds dans l’humour cynique, le cinéaste frôle souvent l’excès, qui ne se dilue pas parfaitement sur le ton dramatique de l’intrigue. Sa proximité avec la période pandémique en témoigne, mais sa fonction ne fait que dater ses propos au lieu de les sublimer. La mise en scène joue davantage sur des ressorts scénaristiques, qui justifieront les mobiles au dénouement, sans que le débat ne soit réellement pertinent ou amusant.
S’il ne faut pas y voir du Beatles dans le titre, on peut néanmoins retenir les paroles, qui nous invitent à regarder au-delà des reflets et à en éplucher les distractions. « Glass Onion : une histoire à couteaux tirés » (A Knives Out Mystery) espère ardemment bluffer par sa lucidité, mais la vivacité du spectateur peut l’emporter sur un divertissement qui convoque ce dernier à observer et à déduire. Et quand bien même, la plus grande partie de la vérité réside en hors champs, dans un flashback, il n’y a pas de raison de se laisser assommer, car le rythme reste maîtrisé et nous accompagne dans une démarche très didactique. Cette mécanique aura beau être répétitive et identifiable, elle continue de sonner creux dans les mains d’un auteur beaucoup trop sûr des couches qui embaument l’extravagance de la comédie policière.
Magnifique réalisation et mise en scène.
De superbes décors. Mais je suis très déçu de la fin et de la résolution de l'enquête.
Trop simple et trop envisageable.
De superbes décors. Mais je suis très déçu de la fin et de la résolution de l'enquête.
Trop simple et trop envisageable.
4/5 Très bien. Le film ne cesse de nous surprendre, il y a bien un détail qui se voit et qui donne un gros indice mais la première heure passe à une vitesse folle puis on va de rebondissement en rebondissement dans cette suite aux circonstances originales. Le casting est excellent également et la double lecture de chaque scène réussie. Très bien.
A la hauteur de son précédent long métrage, Glass Onion est d'une recherche intellectuelle puissante qui met en valeur un casting d'exception.
Rian Johnson et Daniel Craig remettent le couvert et font revenir le détective Benoît Blanc pour ce second whodunit qui pousse plus loin son côté excentrique, mais déroule un récit plus téléphoné et moins surprenant.
Une suite proposant quelques trouvailles narratives sympathiques, mais coincées entre une mise en place qui s'étire et une résolution qui déçoit un peu.
Une seconde enquête en deçà de la première, plus maîtrisée et moins poussive.
Reste toujours le flegme de Daniel Craig, impeccable.
Une suite proposant quelques trouvailles narratives sympathiques, mais coincées entre une mise en place qui s'étire et une résolution qui déçoit un peu.
Une seconde enquête en deçà de la première, plus maîtrisée et moins poussive.
Reste toujours le flegme de Daniel Craig, impeccable.
Fêtons le cinéma
Glass Onion tente désespérément, deux heures vingt minutes durant, de cacher la clef de son intrigue – au demeurant tirée par les cheveux – sous des couches de vernis brillants aptes à distraire un public gavé, sous des strates narratives riches en digressions et en analepses, sous un verbiage incessant que dynamise un Daniel Craig étonnant, plus excentrique encore que dans le premier opus. L’acteur britannique, et son personnage de Benoît Blanc, constituent alors l’unique attraction d’une production sérielle dépourvue de mise en scène, élaborée pour la plateforme Netflix selon son cahier-décharge : le détective passe son temps à fanfaronner vêtu de tenues improbables, telle cette combinaison blanche rayée de bleu ; il se plaît à casser son image de dur à cuire bondien, jusqu’à jouer la carte de l’homosexualité en compagnie de Hugh Grant.
Pour le reste, ni la construction outrageusement labyrinthique du scénario ni les différents protagonistes ne suscitent un quelconque intérêt. L’audace et la maîtrise du volet original manquent à l’appel.
Pour le reste, ni la construction outrageusement labyrinthique du scénario ni les différents protagonistes ne suscitent un quelconque intérêt. L’audace et la maîtrise du volet original manquent à l’appel.
Glass Onion m'a bien plus irrité que le 1er (dont le revisionnage m'a déplu sur pas mal d'aspect). Non pas que c'est mauvais. Cela reste agréable à regarder, avec plein de surprise, dont un Ed Norton hilarant (mais comme le reste, a l'excès).
Une tonalité bien plus grotesque que le 1er volet.
Et des perso encore plus antipathique. Daniel Craig plus caricatural que le un (cela dit, il m'a amusé). Reste Janelle Monáe, comme de Armas, c'est le coeur du film. Vraiment excellente.
Un Cluedo spécial (foutage de tronche) riche.
En revanche, la photo est sublime.
Une tonalité bien plus grotesque que le 1er volet.
Et des perso encore plus antipathique. Daniel Craig plus caricatural que le un (cela dit, il m'a amusé). Reste Janelle Monáe, comme de Armas, c'est le coeur du film. Vraiment excellente.
Un Cluedo spécial (foutage de tronche) riche.
En revanche, la photo est sublime.
A couteaux tirés 2...
Suite au premier film qui était pour hyper très réussi s'expliquant par un sur jeu volontaire de la part des acteurs afin de singer l'aristocratie mais aussi une histoire qui au final se voulait simple tout en proposant de nombreux renversement de situations avec un rythme assez effréné, autant dire que j'attendais le 2 non pas avec impatience mais avec une volonté de retrouver cet esthétisme, ce petite grain de folie, ce savoureux mélange entre un Cluedo et un Agatha Christie qui allé mettre sur le bord de la route la nouvelle version d'hercule Poirot mené par Kenneth Branagh.
Alors que vaut cette suite ?
Dans l'ensemble nous sommes de nouveau face à un film bien monté avec du rythme où les 2h20 passent assez vite puisque nous sommes pris au jeu du chat et de la souris. Les acteurs sont toujours dans une forme de sur jeu constant mais la sauce n'a pas réussi à prendre s'expliquant par des décors et surtout des coutumes qui ridiculisent plus les personnages qu'autre chose. Notre cher détective M. Leblanc incarné par Daniel Craig, ou encore davys incarné par Dave Bautista sont des exemples de faignantise où un réel contraste va apparaître en leur tentative de sur jeu et le personnages qu'ils incarnent. De plus, l'histoire et notamment l'intrigue sont hélas prévisible a 100% même si le film a tenté de creer un retournement de situation dans la seconde partie de film mais la béchamel ne prend pas. C'est vraiment dommage car la première partie nous dépeint un univers haut en couleur, moderne avec une île qui aurait pu être le théâtre d'un grand escape game mais on se cantonne a 10m carré dans une maison, alors que la végétation aurait pu être une tentative de rentrer dans d'autres décors, d'autres intrigues mais non. On reste dans 4 salles a tout péter. Bref un film qui aurait pu être resplendissant mais qui n'arrive pas à se réinventer. Seul le rythme du film sauve de la noyade...
Suite au premier film qui était pour hyper très réussi s'expliquant par un sur jeu volontaire de la part des acteurs afin de singer l'aristocratie mais aussi une histoire qui au final se voulait simple tout en proposant de nombreux renversement de situations avec un rythme assez effréné, autant dire que j'attendais le 2 non pas avec impatience mais avec une volonté de retrouver cet esthétisme, ce petite grain de folie, ce savoureux mélange entre un Cluedo et un Agatha Christie qui allé mettre sur le bord de la route la nouvelle version d'hercule Poirot mené par Kenneth Branagh.
Alors que vaut cette suite ?
Dans l'ensemble nous sommes de nouveau face à un film bien monté avec du rythme où les 2h20 passent assez vite puisque nous sommes pris au jeu du chat et de la souris. Les acteurs sont toujours dans une forme de sur jeu constant mais la sauce n'a pas réussi à prendre s'expliquant par des décors et surtout des coutumes qui ridiculisent plus les personnages qu'autre chose. Notre cher détective M. Leblanc incarné par Daniel Craig, ou encore davys incarné par Dave Bautista sont des exemples de faignantise où un réel contraste va apparaître en leur tentative de sur jeu et le personnages qu'ils incarnent. De plus, l'histoire et notamment l'intrigue sont hélas prévisible a 100% même si le film a tenté de creer un retournement de situation dans la seconde partie de film mais la béchamel ne prend pas. C'est vraiment dommage car la première partie nous dépeint un univers haut en couleur, moderne avec une île qui aurait pu être le théâtre d'un grand escape game mais on se cantonne a 10m carré dans une maison, alors que la végétation aurait pu être une tentative de rentrer dans d'autres décors, d'autres intrigues mais non. On reste dans 4 salles a tout péter. Bref un film qui aurait pu être resplendissant mais qui n'arrive pas à se réinventer. Seul le rythme du film sauve de la noyade...
Si le debut laisse prometteur, la fin est du roue libre , c'est meme plus une enquete mais une vengeance...Rien a voir avec un vrai polar qu'etait le premier film ou la strategie et l'intelligence regnaient...
Et film trop long...
Et film trop long...
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