Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Nourri d’entretiens avec Garfein, d’images d’archive et de témoignages, le tout accompagné d’une voix off (William Dafoe) à la première personne racontant ce qui n’a pas été dit face caméra, ce documentaire séduit aussi bien dans la forme, étonnante et belle, que sur le fond, passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Tessa Louise-Salomé, qui maîtrise formidablement son sujet, a choisi de narrer cet incroyable destin de façon non chronologique, ce qui peut s’avérer troublant par moments. Mais elle a l’immense mérite de nous faire découvrir, grâce à ce documentaire fourmillant d’images fortes et de témoignages éloquents, un cinéaste extraordinaire (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Filmé de manière élégante, entremêlant le témoignage de Jack Garfein et ceux de ses proches avec des images d’archives et un commentaire sur sa vie, T. Louise-Salomé dresse un portrait passionnant de cette figure de l’Actors Studio, survivant de la Shoah.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par F. F.
Garfein se raconte devant la caméra de Tessa Louise-Salomé, qui capte des moments précieux (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Un parti pris audacieux, parfois un peu confus, mais d’une beauté visuelle et sonore envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par J. Ma.
Ce destin peu commun n’avait, pour cette raison même, guère besoin du dispositif alambiqué (voix off à la première personne dite par William Dafoe, pièces enfumées masquant le manque de matière filmique, images non significatives de Garfein en son grand âge…) dont s’entoure ce documentaire pour l’évoquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
Entre le trauma de la déportation et les épreuves de la vie d’artiste à New York puis Hollywood, la réalisatrice ouvre des pistes de réflexion intéressantes. Mais elle raconte mal cette histoire qui s’est terminée en 2019 : illustrée par trop d’images fourre-tout, elle reste ici puzzle incomplet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
Nourri d’entretiens avec Garfein, d’images d’archive et de témoignages, le tout accompagné d’une voix off (William Dafoe) à la première personne racontant ce qui n’a pas été dit face caméra, ce documentaire séduit aussi bien dans la forme, étonnante et belle, que sur le fond, passionnant.
Le Parisien
Tessa Louise-Salomé, qui maîtrise formidablement son sujet, a choisi de narrer cet incroyable destin de façon non chronologique, ce qui peut s’avérer troublant par moments. Mais elle a l’immense mérite de nous faire découvrir, grâce à ce documentaire fourmillant d’images fortes et de témoignages éloquents, un cinéaste extraordinaire (...).
Les Fiches du Cinéma
Filmé de manière élégante, entremêlant le témoignage de Jack Garfein et ceux de ses proches avec des images d’archives et un commentaire sur sa vie, T. Louise-Salomé dresse un portrait passionnant de cette figure de l’Actors Studio, survivant de la Shoah.
L'Obs
Garfein se raconte devant la caméra de Tessa Louise-Salomé, qui capte des moments précieux (...).
Première
Un parti pris audacieux, parfois un peu confus, mais d’une beauté visuelle et sonore envoûtante.
Le Monde
Ce destin peu commun n’avait, pour cette raison même, guère besoin du dispositif alambiqué (voix off à la première personne dite par William Dafoe, pièces enfumées masquant le manque de matière filmique, images non significatives de Garfein en son grand âge…) dont s’entoure ce documentaire pour l’évoquer.
Télérama
Entre le trauma de la déportation et les épreuves de la vie d’artiste à New York puis Hollywood, la réalisatrice ouvre des pistes de réflexion intéressantes. Mais elle raconte mal cette histoire qui s’est terminée en 2019 : illustrée par trop d’images fourre-tout, elle reste ici puzzle incomplet.