Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Transfuge
par Serge Kaganski
Il en résulte un film d’une passionnante complexité, une quête historique, mémorielle, politique et intime qui est aussi et toujours en même temps un métafilm, un travail cinématographique qui secrète sa propre réflexion sur ses conditions de fabrication et le sens qu’elles portent.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ces astuces visuelles servent bien la tendre nostalgie de l'histoire.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
À la fois mélodramatique et ancré dans la réalité, le voyage captive d'autant plus qu'il finit par ramener les deux cinéastes dans leur ville d'origine avec leur héroïne fictive. Et dans ce trajet singulier, le regard, bien que chargé de drames et de défaites, est celui de la réconciliation heureuse d'une mère et de sa fille.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
La guerre du Liban n’a peut-être jamais été racontée avec autant de détails sensoriels.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Un désir ardent que Memory Box transmet magnifiquement.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Joana Hadjithomas et Khalil Joreige évoquent les traumatismes de la guerre civile au Liban. Ce film fiévreux et émouvant mérite d'être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Porté par quatre sensationnelles actrices, Memory Box est un chœur d’amour et de tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Diatkine
Si Joana Hadjthomas et Khalil Joreige ont choisi d’emprunter le chemin de la fiction, c’est pour mieux entrer frontalement dans le vif de ces vrais faux cahiers et images de jeunesse, en percer les énigmes, sans nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
En entremêlant deux récits et deux temporalités – les rapports entre Maia et sa fille de nos jours et le Liban des années 80 – Memory Box met en scène avec pudeur les relations entre deux héroïnes en quête d’identité et une période capitale de l’histoire du Liban.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Un beau film sur la transmission.
Positif
par Ariane Allard
Oscillant entre hier et aujourd’hui, secrets et souvenirs, Memory Box est un récit d’exil qui intrigue tel un puzzle et bouleverse tel un mélo.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une histoire de transmission exaltante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Des journaux intimes s’animent sous nos yeux pour raconter la guerre, le Liban, la fin de l’enfance. Troublant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Sophie Grassin
Amour avec un milicien, tubes de Blondie, plans du port avant qu’il n’ait été soufflé par l’explosion du 4 août 2020 rendent cette histoire d’une Antigone moderne à la fois très digne et sensuelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un joli film sur la transmission qui regorge d’inventions visuelles.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Khalil Joreige et Joana Hadjithomas tissent une histoire touchante entre le Liban et Montréal, entre hier et aujourd’hui, entre une fille et une mère. Les intentions trop visibles, les effets trop appuyés alourdissent cependant le film.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le film séduit par son inventivité photographique plus que par son récit.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un essai ludique et inventif, hélas adossé à une fiction pesante et maladroite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Très autobiographique, Memory box est un beau film sur la transmission, le droit et le devoir de mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Si ce Graal autoproclamé permet de superposer les portraits – nécessairement crachés – des deux héroïnes en faisant revivre passé et amours perdues, il est aussi, entre reconstitution fétichiste et flash-back fantasmé, l’occasion d’évoquer le Liban de la guerre civile, éden paradoxal que la famille a dû quitter sans réelle volonté de retour.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Memory Box finit par s’engluer dans un trop-plein d’images dont le foisonnement nourrit un certain sentiment d’épate.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Transfuge
Il en résulte un film d’une passionnante complexité, une quête historique, mémorielle, politique et intime qui est aussi et toujours en même temps un métafilm, un travail cinématographique qui secrète sa propre réflexion sur ses conditions de fabrication et le sens qu’elles portent.
Femme Actuelle
Ces astuces visuelles servent bien la tendre nostalgie de l'histoire.
Le Journal du Dimanche
À la fois mélodramatique et ancré dans la réalité, le voyage captive d'autant plus qu'il finit par ramener les deux cinéastes dans leur ville d'origine avec leur héroïne fictive. Et dans ce trajet singulier, le regard, bien que chargé de drames et de défaites, est celui de la réconciliation heureuse d'une mère et de sa fille.
Le Parisien
La guerre du Liban n’a peut-être jamais été racontée avec autant de détails sensoriels.
Le Point
Un désir ardent que Memory Box transmet magnifiquement.
Les Echos
Joana Hadjithomas et Khalil Joreige évoquent les traumatismes de la guerre civile au Liban. Ce film fiévreux et émouvant mérite d'être découvert.
Les Inrockuptibles
Porté par quatre sensationnelles actrices, Memory Box est un chœur d’amour et de tristesse.
Libération
Si Joana Hadjthomas et Khalil Joreige ont choisi d’emprunter le chemin de la fiction, c’est pour mieux entrer frontalement dans le vif de ces vrais faux cahiers et images de jeunesse, en percer les énigmes, sans nostalgie.
Marianne
En entremêlant deux récits et deux temporalités – les rapports entre Maia et sa fille de nos jours et le Liban des années 80 – Memory Box met en scène avec pudeur les relations entre deux héroïnes en quête d’identité et une période capitale de l’histoire du Liban.
Ouest France
Un beau film sur la transmission.
Positif
Oscillant entre hier et aujourd’hui, secrets et souvenirs, Memory Box est un récit d’exil qui intrigue tel un puzzle et bouleverse tel un mélo.
Télérama
Une histoire de transmission exaltante.
Bande à part
Des journaux intimes s’animent sous nos yeux pour raconter la guerre, le Liban, la fin de l’enfance. Troublant.
L'Obs
Amour avec un milicien, tubes de Blondie, plans du port avant qu’il n’ait été soufflé par l’explosion du 4 août 2020 rendent cette histoire d’une Antigone moderne à la fois très digne et sensuelle.
La Croix
Un joli film sur la transmission qui regorge d’inventions visuelles.
La Voix du Nord
Khalil Joreige et Joana Hadjithomas tissent une histoire touchante entre le Liban et Montréal, entre hier et aujourd’hui, entre une fille et une mère. Les intentions trop visibles, les effets trop appuyés alourdissent cependant le film.
Le Monde
Le film séduit par son inventivité photographique plus que par son récit.
Les Fiches du Cinéma
Un essai ludique et inventif, hélas adossé à une fiction pesante et maladroite.
Première
Très autobiographique, Memory box est un beau film sur la transmission, le droit et le devoir de mémoire.
Cahiers du Cinéma
Si ce Graal autoproclamé permet de superposer les portraits – nécessairement crachés – des deux héroïnes en faisant revivre passé et amours perdues, il est aussi, entre reconstitution fétichiste et flash-back fantasmé, l’occasion d’évoquer le Liban de la guerre civile, éden paradoxal que la famille a dû quitter sans réelle volonté de retour.
Critikat.com
Memory Box finit par s’engluer dans un trop-plein d’images dont le foisonnement nourrit un certain sentiment d’épate.