Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) Sweet Thing semble touché par la grâce emportant le spectateur dans un monde certes sombre, mais éclairé par la vitalité de graines de stars au talent exceptionnel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La découverte d'une famille d'artistes enthousiasmante.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
La « douce chose » du titre, tirée de la chanson de Van Morrison, c’est Lana Rockwell, 17 ans : dans ses beaux yeux métissés passent les espoirs de son âge et les trahisons du monde adulte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
En choisissant de faire tourner sa propre fille, qui porte littéralement le film sur ses épaules, Alexandre Rockwell a fait un choix audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film lumineux en dépit de la rudesse des situations.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un film familial et autofinancé, qui met en scène la fugue de trois jeunes métis aux États-Unis. Une pépite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Ses images argentiques en noir et blanc ponctuées de trouées colorées parviennent par moments à transcender le cliché pour atteindre une émotion plus intemporelle.
Le Parisien
par La Rédaction
Prototype du film indépendant américain, qui évoque des problèmes tels que les familles dysfonctionnelles et une dérive de certains enfants, « Sweet Thing » s’en sort bien malgré quelques longueurs, grâce notamment à une cinématographie dans un noir et blanc superbe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Malgré certaines facilités, ce drame trouve un bel équilibre entre légèreté et gravité grâce à la finesse de l’interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Derrière son apparente modestie, Sweet Thing détient quelque chose d’inestimable. C’est le dixième film de son auteur et pourtant il est habité par la même jeunesse qu’un premier film.
Première
par Thierry Chèze
Sweet thing a des allures de premier film par sa fougue adolescente. Celle qui fait croire qu’on raconte pour la première fois des histoires que tant d’autres ont traité. Et ce charme-là, doublé d’une BO où Van Morrison côtoie Billie Holiday et Arvo Pärt et du charisme insensé de Lana Rockwell suffisent à notre bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette fugue enfantine stylisée jusqu'à la joliesse n'est pas à la hauteur de la rudesse dont elle semble vouloir rendre compte.
Libération
par Camille Nevers
Alexandre Rockwell filme femme et enfants dans une esthétique poseuse arty peu compatible avec son sujet : la violence parentale. Déplaisant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
(...) Sweet Thing semble touché par la grâce emportant le spectateur dans un monde certes sombre, mais éclairé par la vitalité de graines de stars au talent exceptionnel.
CinemaTeaser
La découverte d'une famille d'artistes enthousiasmante.
L'Obs
La « douce chose » du titre, tirée de la chanson de Van Morrison, c’est Lana Rockwell, 17 ans : dans ses beaux yeux métissés passent les espoirs de son âge et les trahisons du monde adulte.
Le Figaro
En choisissant de faire tourner sa propre fille, qui porte littéralement le film sur ses épaules, Alexandre Rockwell a fait un choix audacieux.
Ouest France
Un film lumineux en dépit de la rudesse des situations.
Télérama
Un film familial et autofinancé, qui met en scène la fugue de trois jeunes métis aux États-Unis. Une pépite.
Cahiers du Cinéma
Ses images argentiques en noir et blanc ponctuées de trouées colorées parviennent par moments à transcender le cliché pour atteindre une émotion plus intemporelle.
Le Parisien
Prototype du film indépendant américain, qui évoque des problèmes tels que les familles dysfonctionnelles et une dérive de certains enfants, « Sweet Thing » s’en sort bien malgré quelques longueurs, grâce notamment à une cinématographie dans un noir et blanc superbe.
Les Fiches du Cinéma
Malgré certaines facilités, ce drame trouve un bel équilibre entre légèreté et gravité grâce à la finesse de l’interprétation.
Les Inrockuptibles
Derrière son apparente modestie, Sweet Thing détient quelque chose d’inestimable. C’est le dixième film de son auteur et pourtant il est habité par la même jeunesse qu’un premier film.
Première
Sweet thing a des allures de premier film par sa fougue adolescente. Celle qui fait croire qu’on raconte pour la première fois des histoires que tant d’autres ont traité. Et ce charme-là, doublé d’une BO où Van Morrison côtoie Billie Holiday et Arvo Pärt et du charisme insensé de Lana Rockwell suffisent à notre bonheur.
Le Monde
Cette fugue enfantine stylisée jusqu'à la joliesse n'est pas à la hauteur de la rudesse dont elle semble vouloir rendre compte.
Libération
Alexandre Rockwell filme femme et enfants dans une esthétique poseuse arty peu compatible avec son sujet : la violence parentale. Déplaisant.