Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Transfuge
par Serge Kaganski
Avec Les Racines du monde, Byambasuren Davaa signe une superbe fable sur les ravages de la mondialisation industrielle.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si les images sont belles, pas trace de pittoresque dans cette fiction qui emprunte au naturalisme pour distiller son message. En juxtaposant le labeur ancestral des paysans à celui, épuisant, des ouvriers, le cinéaste dénonce la précarité des premiers et l’exploitation des seconds.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une belle et poignante élégie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Geneix
Les pouvoirs d’un refrain, d’une fable ou d’un film sont nécessairement limités. Mais la réalisatrice alimente cette histoire collective, qui s’adresse à un public familial, d’une vraie attention pour la psychologie enfantine et de beaux réflexes documentaires.
Télérama
par Samuel Douhaire
Petite-fille de bergers traditionnels, la réalisatrice, révélée par L’Histoire du chameau qui pleure, trouve les images justes (et superbes) pour décrire les ravages faits à la steppe de ses ancêtres. Mais sans tomber dans le passéisme (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un cinéma rare, sorti de Mongolie, où l’enfance est mise à l’honneur et s’érige en symbole d’une communauté nomade, dont la modernité voudrait arracher les terres. Splendide.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le film embrasse l'infiniment petit et l'infiniment grand, allie sensibilité et beauté, crée des variations aux subtiles nuances.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Fable écologique, « Les Racines du monde » nous transportent dans les steppes de Mongolie. Un grand voyage de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Le film décrit avec justesse le quotidien d’une famille jonglant entre respect des traditions et désir de modernité, le tout – encore comme dans Le Chien jaune de Mongolie – à hauteur d’enfant, sans que ce soit mièvre ou scolaire. Une jolie réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le point de vue quasi anthropologique sur le mode de vie traditionnel du peuple nomade est saisissant, le travail du chef opérateur aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Transfuge
Avec Les Racines du monde, Byambasuren Davaa signe une superbe fable sur les ravages de la mondialisation industrielle.
L'Obs
Si les images sont belles, pas trace de pittoresque dans cette fiction qui emprunte au naturalisme pour distiller son message. En juxtaposant le labeur ancestral des paysans à celui, épuisant, des ouvriers, le cinéaste dénonce la précarité des premiers et l’exploitation des seconds.
Les Fiches du Cinéma
Une belle et poignante élégie.
Positif
Les pouvoirs d’un refrain, d’une fable ou d’un film sont nécessairement limités. Mais la réalisatrice alimente cette histoire collective, qui s’adresse à un public familial, d’une vraie attention pour la psychologie enfantine et de beaux réflexes documentaires.
Télérama
Petite-fille de bergers traditionnels, la réalisatrice, révélée par L’Histoire du chameau qui pleure, trouve les images justes (et superbes) pour décrire les ravages faits à la steppe de ses ancêtres. Mais sans tomber dans le passéisme (...).
aVoir-aLire.com
Un cinéma rare, sorti de Mongolie, où l’enfance est mise à l’honneur et s’érige en symbole d’une communauté nomade, dont la modernité voudrait arracher les terres. Splendide.
Le Monde
Le film embrasse l'infiniment petit et l'infiniment grand, allie sensibilité et beauté, crée des variations aux subtiles nuances.
Les Echos
Fable écologique, « Les Racines du monde » nous transportent dans les steppes de Mongolie. Un grand voyage de cinéma.
Première
Le film décrit avec justesse le quotidien d’une famille jonglant entre respect des traditions et désir de modernité, le tout – encore comme dans Le Chien jaune de Mongolie – à hauteur d’enfant, sans que ce soit mièvre ou scolaire. Une jolie réussite.
Le Journal du Dimanche
Le point de vue quasi anthropologique sur le mode de vie traditionnel du peuple nomade est saisissant, le travail du chef opérateur aussi.