Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’attention sur les gestes rappelle celle qu'avait Robert Bresson, dans L’Argent (1982) notamment. La précision du cadre et du son les rapproche aussi, avec cette écriture où l’émotion émane des personnages et non de l’action.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Semée de défiance et d’affection, dessinée et rythmée avec tact au fil de regards et de silences, cette intrigue tout en délicatesse nous plonge dans le Paris quotidien d’une famille ordinaire dont la retenue, les rêves voilés et les regrets enfouis émeuvent et finissent par bouleverser.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé Loisirs
par Claire Picard
Une histoire d'amour magnifique entre un père et son fils, mise en scène avec pudeur.
Voici
par La Rédaction
Le premier long métrage de l'acteur Samir Guesmi, tout en ellipses et délicatesse, raconte le bouleversant chemin que font deux êtres dignes et pudiques pour se dire leur amour.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une œuvre pétrie d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Samir Guesmi passe à la mise en scène de long-métrage, et signe un portrait délicat et profond, au pays de la débrouille et de la résilience.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Poignant, saisissant, bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Hugo Mathias
Le regard, dans Ibrahim, est toujours filmé comme une action à part entière, un geste plus beau, plus révélateur et plus digne d’attention que tous les autres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ibrahim est l'histoire sensible d'un amour inconditionnel qui se cache et s'exprime avec des petits riens, et c'est très bien.
Elle
par Thomas Jean
Un premier film tout en délicatesse.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Samir Guesmi signe un premier long métrage délicat où il filme l’adolescence et un Paris populaire trop rarement exploré au cinéma…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le premier film de l’excellent acteur Samir Guesmi est une double réussite. D’abord parce que, dans le registre du réalisme social, ce qui aurait pu être un mélo devient une pudique évocation des rapports père-fils. Et parce qu’à travers cette histoire il montre la fracture entre deux générations d’immigrés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un premier film réussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste, sur fond de décors parisiens « ordinaires » remarquablement filmés, met en scène une petite merveille de sensibilité, Cette fiction pudique et épurée touche en plein cœur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Samir Guesmi signe un drame sensible, illuminé par son interprétation et celle du jeune Abdel Bendaher.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Que le film laisse une impression de raideur, qu’on sent liée au souci de retenir le geste et le jugement, ne désavoue pas la délicatesse qu’il renferme, notamment dans son attention et sa confiance en la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film en tant que réalisateur, le talentueux comédien raconte l’histoire bouleversante d’un père et d’un fils qui ne parviennent plus à communiquer. Une merveille.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une histoire d'amour pudique et délicate.
Positif
par Ariane Allard
"Ibrahim" n’est pas seulement une œuvre esthétiquement pensée [...] dans le seul but de révéler des émotions camouflées, empêchées, différées. C’est aussi un film profondément social, qui donne à voir les petites gens et le Paris populaire comme rarement dans le cinéma français.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec douceur, Samir Guesmi fait le tour de ce puits sans fonds qu’est la fragilité d’un adolescent et l’amour inconditionnel de son père.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un film pudique où, pleine de tendresse, une main sur une joue symbolise magnifiquement les relations père-fils.
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout en pudeur, servi par un merveilleux duo d’acteurs, un premier film bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un portrait sensible et bouleversant d’un père et son fils, au bord de basculer dans la délinquance. Enfin un film qui ne s’enferme pas dans les clichés sociaux et regarde l’adolescence avec la sincérité et la beauté qu’elle mérite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Ibrahim, film «beau sans sa chapka», cherche et trouve un monument parisien idéal, clandestin mais accessible, populaire mais élevé, monumental mais mince, proche du Génie, pour achever de construire ce qui, pour d’autres, est un point de départ: un point de vue.
La Croix
par Céline Rouden
Le film d’une grande sobriété, où Samir Guesmi endosse lui-même le rôle de ce père cabossé par la vie, est une magnifique histoire d’amour filial, pleine de pudeur et de délicatesse, dans lequel les regards et les gestes comptent plus que les mots.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On aime ainsi la manière dont Ibrahim, le film comme le personnage, bat le pavé parisien sur les pas de Gavroche et Antoine Doinel.
Le Parisien
par La Rédaction
« Ibrahim » est un drame bien écrit, très bien joué, sur un sujet forcément émouvant : le sacrifice d’un père pauvre pour son enfant. On regrette cependant que le film ne laisse pas au spectateur quelques moments d’espoir ou de légèreté dans ce récit prévisible et assez pesant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Pour sa première expérience de réalisateur, l’acteur dresse un portrait tout en demi-teintes d’un père et de son fils solitaires.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Multi primé à Angoulême en 2020, le premier long de Samir Guesmi ressemble à son auteur-acteur par sa force tranquille.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
L’attention sur les gestes rappelle celle qu'avait Robert Bresson, dans L’Argent (1982) notamment. La précision du cadre et du son les rapproche aussi, avec cette écriture où l’émotion émane des personnages et non de l’action.
Le Journal du Dimanche
Semée de défiance et d’affection, dessinée et rythmée avec tact au fil de regards et de silences, cette intrigue tout en délicatesse nous plonge dans le Paris quotidien d’une famille ordinaire dont la retenue, les rêves voilés et les regrets enfouis émeuvent et finissent par bouleverser.
Télé Loisirs
Une histoire d'amour magnifique entre un père et son fils, mise en scène avec pudeur.
Voici
Le premier long métrage de l'acteur Samir Guesmi, tout en ellipses et délicatesse, raconte le bouleversant chemin que font deux êtres dignes et pudiques pour se dire leur amour.
20 Minutes
Une œuvre pétrie d’humanité.
Bande à part
Samir Guesmi passe à la mise en scène de long-métrage, et signe un portrait délicat et profond, au pays de la débrouille et de la résilience.
CNews
Poignant, saisissant, bouleversant.
Critikat.com
Le regard, dans Ibrahim, est toujours filmé comme une action à part entière, un geste plus beau, plus révélateur et plus digne d’attention que tous les autres.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ibrahim est l'histoire sensible d'un amour inconditionnel qui se cache et s'exprime avec des petits riens, et c'est très bien.
Elle
Un premier film tout en délicatesse.
L'Humanité
Samir Guesmi signe un premier long métrage délicat où il filme l’adolescence et un Paris populaire trop rarement exploré au cinéma…
L'Obs
Le premier film de l’excellent acteur Samir Guesmi est une double réussite. D’abord parce que, dans le registre du réalisme social, ce qui aurait pu être un mélo devient une pudique évocation des rapports père-fils. Et parce qu’à travers cette histoire il montre la fracture entre deux générations d’immigrés.
Le Figaro
Un premier film réussi.
Les Echos
Le cinéaste, sur fond de décors parisiens « ordinaires » remarquablement filmés, met en scène une petite merveille de sensibilité, Cette fiction pudique et épurée touche en plein cœur.
Les Fiches du Cinéma
Samir Guesmi signe un drame sensible, illuminé par son interprétation et celle du jeune Abdel Bendaher.
Libération
Que le film laisse une impression de raideur, qu’on sent liée au souci de retenir le geste et le jugement, ne désavoue pas la délicatesse qu’il renferme, notamment dans son attention et sa confiance en la jeunesse.
Marianne
Dans son premier film en tant que réalisateur, le talentueux comédien raconte l’histoire bouleversante d’un père et d’un fils qui ne parviennent plus à communiquer. Une merveille.
Ouest France
Une histoire d'amour pudique et délicate.
Positif
"Ibrahim" n’est pas seulement une œuvre esthétiquement pensée [...] dans le seul but de révéler des émotions camouflées, empêchées, différées. C’est aussi un film profondément social, qui donne à voir les petites gens et le Paris populaire comme rarement dans le cinéma français.
Sud Ouest
Avec douceur, Samir Guesmi fait le tour de ce puits sans fonds qu’est la fragilité d’un adolescent et l’amour inconditionnel de son père.
Télé 7 Jours
Un film pudique où, pleine de tendresse, une main sur une joue symbolise magnifiquement les relations père-fils.
Télérama
Tout en pudeur, servi par un merveilleux duo d’acteurs, un premier film bouleversant.
aVoir-aLire.com
Un portrait sensible et bouleversant d’un père et son fils, au bord de basculer dans la délinquance. Enfin un film qui ne s’enferme pas dans les clichés sociaux et regarde l’adolescence avec la sincérité et la beauté qu’elle mérite.
Cahiers du Cinéma
Ibrahim, film «beau sans sa chapka», cherche et trouve un monument parisien idéal, clandestin mais accessible, populaire mais élevé, monumental mais mince, proche du Génie, pour achever de construire ce qui, pour d’autres, est un point de départ: un point de vue.
La Croix
Le film d’une grande sobriété, où Samir Guesmi endosse lui-même le rôle de ce père cabossé par la vie, est une magnifique histoire d’amour filial, pleine de pudeur et de délicatesse, dans lequel les regards et les gestes comptent plus que les mots.
Le Monde
On aime ainsi la manière dont Ibrahim, le film comme le personnage, bat le pavé parisien sur les pas de Gavroche et Antoine Doinel.
Le Parisien
« Ibrahim » est un drame bien écrit, très bien joué, sur un sujet forcément émouvant : le sacrifice d’un père pauvre pour son enfant. On regrette cependant que le film ne laisse pas au spectateur quelques moments d’espoir ou de légèreté dans ce récit prévisible et assez pesant.
Les Inrockuptibles
Pour sa première expérience de réalisateur, l’acteur dresse un portrait tout en demi-teintes d’un père et de son fils solitaires.
Première
Multi primé à Angoulême en 2020, le premier long de Samir Guesmi ressemble à son auteur-acteur par sa force tranquille.