Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
39 critiques presse
BIBA
par Mélanie Klein
Incontournable.
Bande à part
par Isabelle Danel
Pour son cinquième long-métrage comme réalisatrice, Maïwenn explore liens du sang et liens du cœur. Et livre un beau grand film sur la transmission. Un film entre drame et comédie, qui palpite.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Positif
par Nicolas Bauche
"ADN", son cinquième long métrage, [...] est, pour nous, son film le plus abouti à ce jour. Celui où elle passe avec le plus de fluidité de l’intime au collectif, en se plaçant au centre d’un film choral qui, de la France à l’Algérie, cristallise sa quête des origines.
20 Minutes
par Caroline Vié
Il n’empêche que Maïwenn impressionne par la diversité des sentiments que son histoire, à la fois sincère, intime, drôle par moments mais surtout extrêmement touchante, permet d’éprouver.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
[Une] œuvre intime, dans la lignée de "Pardonnez-moi", son premier long-métrage.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Étrangement attachant et remuant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Maïwenn filme ce monstre que peut devenir la famille, avec beaucoup de justesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Si l’on se reconnaît dans ce film débordant de vie, de rage et d’amour, c’est aussi parce que Maïwenn a l’art de rester dans le vrai, demandant à ses acteurs, à qui elle donne toute la place, d’amener sur le plateau moins un personnage que ce qu’ils sont dans la vie.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film sous haute tension, brillant et d'une grande humanité.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Maïwenn réussit là une troublante quête intime.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec cinq films au chapitre, tous différents, Maïwenn créé une complicité avec son public. Une confiance qui émane de son rapport aux acteurs et à leurs rôles.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Étienne Menu
Car comme ses précédents films, "ADN" est une merveille d’imperfection, de déséquilibre, une succession de grâce et de pathos, d’élans et de trébuchements - exactement comme la vraie vie, finalement.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
POUR : Un film libre et effervescent, parfaitement maîtrisé, où Maïwenn canalise sa rage, qui débouche sur un épilogue plein de paix, totalement bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Sur un scénario ténu, entourée de comédiens formidables, la réalisatrice parvient une fois de plus à nous émouvoir avec cette quête de soi qui oscille entre le rire et les larmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Au cœur de cette œuvre chorale puissante, il y a Neige, prénom en hommage au livre Nedjma, chef-d’œuvre du romancier Kateb Yacine. Maïwenn lui insuffle une énergie hors du commun, brute, excessive, magnifique.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’actrice et réalisatrice, servie par une très bonne troupe d’interprètes, poursuit l’écriture de son théâtre intime sur un ton plus subtil.
Le Parisien
par Catherine Balle
Autour d'une Maïwenn solaire, les autres acteurs sont impressionnants de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A la tête d'une distribution éblouissante, Maïwenn signe un cinquième long-métrage solaire et mélodieux, une réflexion bouleversante sur la quête des origines.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Pour sa cinquième réalisation, Maïwenn convoque ses thèmes de prédilection et livre une œuvre intime et sensible autour du deuil et de l’identité. Moins puissant que ses films précédents mais indéniablement émouvant, "ADN" est une jolie réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Un portrait de famille féroce teinté d’une vraie tendresse pour ce pays associé à ses bonheurs d’enfance.
Ouest France
par Claire Thévenoux
Un film fort.
Télérama
par Marie Sauvion
POUR : Les montagnes russes d’émotions, l’ADN du cinéma de Maïwenn, débouchent sur un horizon libérateur : on peut choisir où planter ses racines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Maïwenn en rajoute toujours dans l’effusion émotionnelle, elle dresse un portrait haut en couleur d’une famille, marquée par un décès, où se mêlent des tonalités tragiques, drôles et burlesques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
La chronique familiale de Maïwenn contient quelques-unes des plus belles fulgurances de son cinéma, mais finit par se perdre dans une sous-intrigue identitaire confuse et superficielle.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Fanny Ardant en mère toxique est jubilatoire. Et le personnage pétillant et drôle incarné par Louis Garrel apporte une légèreté comique. Mais en resserrant la focale sur Neige dans la seconde partie, Maïwenn perd l’effet de groupe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Ce qui fait la force de cette comédie existentielle portée par une héroïne (un peu trop) hystérique mais attachante, c’est en effet le tangage émotionnel bien mis en scène à l’image : entre scènes dramatiques qui mettent au bord des larmes [...] et moments d’une grande drôlerie [...].
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Sans doute le film le plus personnel d'une cinéaste et d'une femme libre.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Après une première partie réussie où les réunions familiales donnent lieu à des scènes riches en émotion, Maïwenn peine à dépeindre avec autant de justesse sa problématique personnelle.
Voici
par La Rédaction
Un film un peu bancal, mais sincère et touchant, entre gravité et légèreté.
Critikat.com
par Josué Morel
Cette manière égocentrique et affectée de filmer peut agacer, d'autant que le cinéma de Maïwenn n'échappe pas à d'autres impasses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Bien que rempli de personnages à peu près tous détestables et incapables de la moindre concession, ADN réserve contre toute attente quelques séquences vraiment drôles à mettre en grande partie à l’actif de Louis Garrel, pièce rapportée s’efforçant de garder un minimum de recul devant ce grand déballage existentiel qui nous a laissé incrédule.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Sandra Onana
Ici, on a plutôt l’impression qu’un cheptel de personnages se prêtent péniblement aux exigences d’un cinéma psychologiste croyant rendre justice à la nature complexe et mélangée des émotions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Les dernières séquences « documentaires », tournées à l’iPhone et in situ, en plein soulèvement de la rue algérienne, ne disent ainsi absolument rien de l’Algérie d’aujourd’hui, et n’arrivent à témoigner que de la simple satisfaction de Maïwenn d’être là. Tant mieux pour elle, mais difficile alors de se sentir concerné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Connaître ses racines, choisir le pays de son grand-père, apprendre à ne plus avoir peur de sa mère, s’émanciper de son père, assumer d’être le fruit d’un brassage généalogique : le programme est ambitieux mais le résultat aussi ténu que répétitif. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Se confirme la méthode privilégiée de Maïwenn : laisser ouvert le robinet à pathos sans expliciter sa source, ne pas « construire » les personnages, jouer de l’écule psychologique sans s’emmerder à draguer ses bas-fonds, à élucider toute la corrida. On se jette des choses, on se jette tout court, et puis voilà.
L'Obs
par Nicolas Schaller
CONTRE : Que ce psychodrame artificiel, qu’on dirait improvisé au fil du tournage, soit en passe d’être adoubé par la critique, ajoute à la gêne… éthique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La cinéaste filme une crise familiale portée par des personnages trop stéréotypés et inaboutis pour émouvoir vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Dans "ADN" l’Algérie est recolonisée par un délire égocentrique. Dans" ADN" la réalité algérienne est biffée, réduite à une simple image d’Épinal, à un décor destiné à exalter de façon quasi-masturbatoire le narcissisme de son actrice/réalisatrice.
Télérama
par Mathilde Blottière
CONTRE : Devant un film aussi fasciné par son propre exhibitionnisme, inapte à transcender sa petite histoire, on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi Maïwenn a choisi de s’attaquer à la question des origines, qui devrait parler à tous.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
Incontournable.
Bande à part
Pour son cinquième long-métrage comme réalisatrice, Maïwenn explore liens du sang et liens du cœur. Et livre un beau grand film sur la transmission. Un film entre drame et comédie, qui palpite.
Positif
"ADN", son cinquième long métrage, [...] est, pour nous, son film le plus abouti à ce jour. Celui où elle passe avec le plus de fluidité de l’intime au collectif, en se plaçant au centre d’un film choral qui, de la France à l’Algérie, cristallise sa quête des origines.
20 Minutes
Il n’empêche que Maïwenn impressionne par la diversité des sentiments que son histoire, à la fois sincère, intime, drôle par moments mais surtout extrêmement touchante, permet d’éprouver.
CNews
[Une] œuvre intime, dans la lignée de "Pardonnez-moi", son premier long-métrage.
CinemaTeaser
Étrangement attachant et remuant.
Closer
Maïwenn filme ce monstre que peut devenir la famille, avec beaucoup de justesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si l’on se reconnaît dans ce film débordant de vie, de rage et d’amour, c’est aussi parce que Maïwenn a l’art de rester dans le vrai, demandant à ses acteurs, à qui elle donne toute la place, d’amener sur le plateau moins un personnage que ce qu’ils sont dans la vie.
Elle
Un film sous haute tension, brillant et d'une grande humanité.
Femme Actuelle
Maïwenn réussit là une troublante quête intime.
Franceinfo Culture
Avec cinq films au chapitre, tous différents, Maïwenn créé une complicité avec son public. Une confiance qui émane de son rapport aux acteurs et à leurs rôles.
GQ
Car comme ses précédents films, "ADN" est une merveille d’imperfection, de déséquilibre, une succession de grâce et de pathos, d’élans et de trébuchements - exactement comme la vraie vie, finalement.
L'Obs
POUR : Un film libre et effervescent, parfaitement maîtrisé, où Maïwenn canalise sa rage, qui débouche sur un épilogue plein de paix, totalement bouleversant.
La Croix
Sur un scénario ténu, entourée de comédiens formidables, la réalisatrice parvient une fois de plus à nous émouvoir avec cette quête de soi qui oscille entre le rire et les larmes.
Le Dauphiné Libéré
Au cœur de cette œuvre chorale puissante, il y a Neige, prénom en hommage au livre Nedjma, chef-d’œuvre du romancier Kateb Yacine. Maïwenn lui insuffle une énergie hors du commun, brute, excessive, magnifique.
Le Monde
L’actrice et réalisatrice, servie par une très bonne troupe d’interprètes, poursuit l’écriture de son théâtre intime sur un ton plus subtil.
Le Parisien
Autour d'une Maïwenn solaire, les autres acteurs sont impressionnants de vérité.
Les Echos
A la tête d'une distribution éblouissante, Maïwenn signe un cinquième long-métrage solaire et mélodieux, une réflexion bouleversante sur la quête des origines.
Les Fiches du Cinéma
Pour sa cinquième réalisation, Maïwenn convoque ses thèmes de prédilection et livre une œuvre intime et sensible autour du deuil et de l’identité. Moins puissant que ses films précédents mais indéniablement émouvant, "ADN" est une jolie réussite.
Marie Claire
Un portrait de famille féroce teinté d’une vraie tendresse pour ce pays associé à ses bonheurs d’enfance.
Ouest France
Un film fort.
Télérama
POUR : Les montagnes russes d’émotions, l’ADN du cinéma de Maïwenn, débouchent sur un horizon libérateur : on peut choisir où planter ses racines.
aVoir-aLire.com
Si Maïwenn en rajoute toujours dans l’effusion émotionnelle, elle dresse un portrait haut en couleur d’une famille, marquée par un décès, où se mêlent des tonalités tragiques, drôles et burlesques.
Ecran Large
La chronique familiale de Maïwenn contient quelques-unes des plus belles fulgurances de son cinéma, mais finit par se perdre dans une sous-intrigue identitaire confuse et superficielle.
Le Figaro
Fanny Ardant en mère toxique est jubilatoire. Et le personnage pétillant et drôle incarné par Louis Garrel apporte une légèreté comique. Mais en resserrant la focale sur Neige dans la seconde partie, Maïwenn perd l’effet de groupe.
Le Journal du Dimanche
Ce qui fait la force de cette comédie existentielle portée par une héroïne (un peu trop) hystérique mais attachante, c’est en effet le tangage émotionnel bien mis en scène à l’image : entre scènes dramatiques qui mettent au bord des larmes [...] et moments d’une grande drôlerie [...].
Télé 7 Jours
Sans doute le film le plus personnel d'une cinéaste et d'une femme libre.
Télé Loisirs
Après une première partie réussie où les réunions familiales donnent lieu à des scènes riches en émotion, Maïwenn peine à dépeindre avec autant de justesse sa problématique personnelle.
Voici
Un film un peu bancal, mais sincère et touchant, entre gravité et légèreté.
Critikat.com
Cette manière égocentrique et affectée de filmer peut agacer, d'autant que le cinéma de Maïwenn n'échappe pas à d'autres impasses.
La Voix du Nord
Bien que rempli de personnages à peu près tous détestables et incapables de la moindre concession, ADN réserve contre toute attente quelques séquences vraiment drôles à mettre en grande partie à l’actif de Louis Garrel, pièce rapportée s’efforçant de garder un minimum de recul devant ce grand déballage existentiel qui nous a laissé incrédule.
Libération
Ici, on a plutôt l’impression qu’un cheptel de personnages se prêtent péniblement aux exigences d’un cinéma psychologiste croyant rendre justice à la nature complexe et mélangée des émotions.
Première
Les dernières séquences « documentaires », tournées à l’iPhone et in situ, en plein soulèvement de la rue algérienne, ne disent ainsi absolument rien de l’Algérie d’aujourd’hui, et n’arrivent à témoigner que de la simple satisfaction de Maïwenn d’être là. Tant mieux pour elle, mais difficile alors de se sentir concerné.
Sud Ouest
Connaître ses racines, choisir le pays de son grand-père, apprendre à ne plus avoir peur de sa mère, s’émanciper de son père, assumer d’être le fruit d’un brassage généalogique : le programme est ambitieux mais le résultat aussi ténu que répétitif. Dommage.
Cahiers du Cinéma
Se confirme la méthode privilégiée de Maïwenn : laisser ouvert le robinet à pathos sans expliciter sa source, ne pas « construire » les personnages, jouer de l’écule psychologique sans s’emmerder à draguer ses bas-fonds, à élucider toute la corrida. On se jette des choses, on se jette tout court, et puis voilà.
L'Obs
CONTRE : Que ce psychodrame artificiel, qu’on dirait improvisé au fil du tournage, soit en passe d’être adoubé par la critique, ajoute à la gêne… éthique.
Les Inrockuptibles
La cinéaste filme une crise familiale portée par des personnages trop stéréotypés et inaboutis pour émouvoir vraiment.
Transfuge
Dans "ADN" l’Algérie est recolonisée par un délire égocentrique. Dans" ADN" la réalité algérienne est biffée, réduite à une simple image d’Épinal, à un décor destiné à exalter de façon quasi-masturbatoire le narcissisme de son actrice/réalisatrice.
Télérama
CONTRE : Devant un film aussi fasciné par son propre exhibitionnisme, inapte à transcender sa petite histoire, on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi Maïwenn a choisi de s’attaquer à la question des origines, qui devrait parler à tous.