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    A l’ombre des filles
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    Janinr38
    Janinr38

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2022
    Un film subtile, sans mièvrerie, porté par de superbes actrices et un très grand acteur. Agnès Jaoui à son sommet.
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    67 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 avril 2022
    Ah ! Les prisonniers, ce sont eux qui vous sauvent ! Bon, histoire ou thème déjà vus avec une morale possiblement douteuse (inversion des rôles, ne surtout pas savoir ce qu'ils/elles ont fait, etc, etc). Sinon, distribution de premier ordre, avec, en tête de file, Lutz qui est, à mon sens l'un des rares acteurs à tenir la dragée haute à des pointures comme Magimel, Kateb ou Gourmet. Allez, j'attends les confrontations !
    isa M.
    isa M.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2022
    Ne passez pas à côté de ce film ! Dans la lignée de ce réalisateur profond. Je trouve qu'il mérite bien plus d'étoiles qu'il n'en a à date...

    Allez le voir si vous êtes dans une relation d'aide (que vous soyez l'aidé ou l'aidant)
    Allez le voir si vous êtes en burn out (ou presque ;))
    Allez le voir si vous vous posez des questions sur le sens de la Vie et de la relation à l'autre, aux autres
    (famille... amis...)

    Et allez le voir pour les acteurs magnifiques (tous ceux de ce film sont incontournables et habités), ces héros de nos temps modernes : je dirai un petit mot particulier pour certains d'entre eux :
    Alex Lutz, magique multi talentueux, que j'apprécie de plus en plus. Un véritable acteur, dans tout ce que ça a de hautement respectable.
    J'ai eu la chance d'assister à une de ses avant premières. Dans un premier temps un peu déçue (j'aurais préféré une "après première ; avec débat... surtout pour un film de ce type").
    Mais j'avais tort.....
    Son introduction servait le film. Car il en rejoignait le fond.
    Il y a évoqué son métier d'acteur, les doutes qui avaient pu l'effleurer , sur le sens de "jouer par temps de crise". Il a également évoqué quelque chose que j'ai trouvé très intéressant... sur le processus
    de "l'habit qui fait le moine... ". Ce processus magique... (au centre du métier d'acteur bien sûr... mais qui nous parle aussi
    à nous... non acteurs) ; initié par notre cerveau... qui permet de rentrer dans un "Personnage"... Et permet de "faire" des
    choses que notre "moi" habituel ne nous permettrait pas.

    Ce qui m'est venu après ce film, c'est que cette expérience prouve que "Jouer"... c'est vital. Pour soi éventuellement... mais aussi et surtout pour
    les autres, pour le message qu'on fait passer, pour le bien être qu'on génère.

    Veerle Baetens : Quelle heureuse surprise de retrouver cette actrice incroyable du film non moins incroyable ; Alabama Monroe
    Agnès Jaoui : Quelle force : chapeau bas
    Et toutes : Marie Berto, Hafzia Herzi, Anna Najder, Emmanuelle Bonmariage...; impossible d'en enlever une ; elles sont toutes indispensables et marquante. De vérité. Elles rentrent dans notre coeur.
    Merci pour ça

    Et je le redis : allez voir ce film
    Laurent A.
    Laurent A.

    32 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2022
    Avec ce film on pense à d'autres films comme le très récent "Un triomphe" (2021) d'Emmanuel Courcol avec Kad Merad, mais là pas de triomphe : filmer un atelier d'activité artistique pour personnes en milieu carcéral ou rencontrant des difficultés sociales c'est d'ailleurs une recette que le cinéma commence à connaître (voir aussi "La mélodie" avec le même Kad Mérad) mais avec ce film on plonge dans l'intimité des personnes et des douleurs que seule l'émotion de l'art peut parvenir à toucher voire aider à racheter ; la conclusion que l'on attend ne sera pas celle que l'on croit, Alex Lutz donne la réplique à des femmes dont on pourrait croire qu'elle sont réellement des détenues (pour certaine au moins), le tout est filmé sans fausse pudeur, la vie de certain(e) aborde ou va aborder un tournant et le négocier n'est pas une mince affaire, cet atelier de chant est aussi là non pas pour aider mais pour faciliter l'émergence d'un changement et procurer du bienêtre, le chant est en cela une vraie thérapie. Il ne s'agit pas seulement de chant choral, le monde du chant lyrique est aussi abordé, Agnès Jaoui aborde quant à elle un rôle à des années lumières de ceux auxquels elle nous habitués, l'ensemble est prenant et force aussi l'admiration, admiration de celles et ceux qui sont là pour avoir accepté de casser leur routine et de tenter aussi de continuer l'aventure d'une vie dont les difficultés font partie intégrante de sa nature et contribuent aussi à en accentuer la valeur. Le scénario est intelligent et imprévisible jusqu'aux dernières séquences, en cela c'est aussi une réelle et plutôt très bonne surprise.
    cinono1
    cinono1

    272 abonnés 2 006 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2022
    C'est précis, c'est immersif, on est plongé dans ce monde carcéral, et on s'intéresse au cours de ce prof, pas au mieux de sa forme. Ça peut être utile pour les apprentis chanteurs aussi (j'en connais) qui est souvent plus une question de cœur que de technique . C'est un joli film au rythme un peu lent, mais très bien interprété, Alexandre Lutz en tête.
    NardoBordo
    NardoBordo

    10 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2022
    Milieu carcéral féminin. Un chanteur lyrique perdu dans sa vie. Une proposition d'atelier de chant. Chaque fille a sa propre raison de venir, c'est du lourd avec respect. On ne saura pas pourquoi elles sont la. Jeanne Moreau india song et autres Mozart câline les images... Agnès Jaoui très dure..
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    6 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2022
    Un joli film sur le milieu carcéral féminin, Alex Lutz est formidable ainsi que la chorale d'actrices.
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    55 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2022
    Film correct mais décevant.

    L'histoire est originale certe. C'est dommage car le film ne décolle pas vraiment et du coup c'est plat.

    Ça manque d'émotion et les personnages ne sont pas assez travaillé à mon sens du coup c'est très superficiel.

    Globalement ça mérite trois étoiles pas plus car on peut pas dire que ça soit nul ou on s'ennuie mais on a plutôt le sentiment que ça été bâclé.

    Étrangement le jeu d'actrice des femmes en prison n'est pas vraiment palpable et c'est surjoue. D'où ma déception. Du coup 0 émotion.
    PLR
    PLR

    427 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 avril 2022
    Le public qui fréquente les salles obscures aura déjà fait un parallèle de ce « A l’ombre des filles » avec « Un triomphe » (2021). Mais ici il n’y a pas autant d’entrain, de rythme et de mise en perspective, sociale, sociétale ou autre, à faire du chant en milieu carcéral qu’il n’y en avait dans le film précité à faire du théâtre. Le véritable fil conducteur de ce « A l’ombre des filles », ce sont en fait les tourments du chanteur lyrique venant animer-là un atelier. Une sorte de thérapie personnelle pour lui dont on découvrira peu à peu les ressorts quoique le propos ne soit pas très développé. Son mental est emprisonné. Il vient en prison pour se libérer. Pourquoi pas ? Avec humour, on pourrait dire que c’est le principe de l’homéopathie. Soigner le mal par le mal. Lorsqu'il se retrouvera spoiler: piégé dans un sas de la prison que personne n’ouvre à son appel
    , il faut y voir une métaphore. On est dans un registre... compliqué pour le spectateur lambda. Le reste, les filles donc, leur vie, leur régime carcéral, leurs espoirs si elles en ont ou la soumission totale à leur sort, leur désir d’évasion au moins par l’esprit et donc par le chant, ne sont que des éléments accessoires survolés. Second « personnage principal », une détenue restant à dessein à l’écart (Agnès Jaoui) mais dont l’itinéraire intérieur restera également effleuré. Typique d’un scénario qui ne s’est pas ménagé une porte de sortie par manque de contenu et de développements narratifs, ça se terminera par une sorte d’allégorie qui n’en finit pas.
    Chris58640
    Chris58640

    190 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2022
    Prenez un artiste en pleine galère, placez-le dans un univers carcéral dont il ne connait évidemment pas les codes, faites lui donner des cours à des détenus plus ou moins revêches et préparer spectacle final qui à 50% de chance de mal tourner et vous obtenez un film qui ressemble sur le papier quand même beaucoup à « Un Triomphe ». Ici, on change le théâtre par le chant, Kad Merad par Alex Lutz, le chômage de l’un par la crise personnelle de l’autre, les détenus hommes par les détenues femmes et on obtient « A L’ombre des Filles ». Même si les intentions sont louables, on se retrouve devant un long métrage qui a quand même de grandes chances de tourner en rond au bout d’un moment. Ici, le scénario est assez linéaire, on donne des pistes par petites touches sur le drame qui a vu la vie de Luc basculer, un drame assez glauque, et qui pour le coup justifie assez bien son gros passage à vide. Pour le reste, on en saura rien du passé des femmes qui composent ses élèves (à part pour la détenue Catherine, au détour d’une phrase) mais on a bien compris que ce n’était pas le sujet. On ne saura pas grand-chose non plus de leur conditions de détention, de leurs conflits, de l’effet « cocotte-minute » que représente l’incarcération en maison centrale, là encore ce n’est pas le sujet. Le sujet, ce sont les cours de chants qui se succèdent, les exercices de respiration, les vocalises, les tessitures et toutes les petites choses qui font de tout temps les cours de chants. Ce n’est pas inintéressant, même pour une néophyte comme moi, mais force est de constater que ça tourne un peu en rond au bout d’un moment. Je ne peux pas trop juger de la crédibilité du propos, du coup, j’ai juste été surprise par la scène ou Luc grille une cigarette, je pensais naïvement que c’était carrément incompatible avec le chant lyrique. Sinon, pour le reste, la réalisation d’Etienne Comar fait le job, il s’autorise deux-trois jolis plans ou jolis effets de caméra, il a le bon gout de ne pas laisser s’éterniser les scènes de violence (verbales ou physique), il opte pour une bande originale minimaliste. C’est assez logique puisqu’il faut laisser les filles chanter sans ajouter de la musique à la musique. Il y a juste un truc qui me chiffonne dans sa réalisation. C’est un petit détail mais ce n’est pas la première fois que je remarque cela : le film est présenté au format 4/3, du coup, la moitié de l’écran est composé de bandes noires à gauche et à droite : on a l’impression de regarder un vieux téléviseur ! S’il y a un intérêt artistique à la chose j’aimerais bien qu’on explique lequel et pourquoi les cinémas s’embêtent a avoir de magnifiques grands écrans ! Je n’ai pas encore parlé du casting et en premier lieu évidement de l’épatant Alex Lutz dont je suis décidément de plus en plus fan. Il fait passer, grâce à ce rôle, toute la palette des émotions dont il est capable. Autour de lui il y a Agnès Jaoui, elle très silencieuse alors que tout le monde sait que c’est elle qui chante le mieux de tout le casting, mais c’est probablement voulu. Elle incarne très bien une femme fermée, hostile, dont la violence à fleur de peau vient probablement d’un passé terrible. Hafsia Hersi donne corps à une jeune femme abrutie par les antis dépresseurs, très en souffrance visiblement et qui s’ouvre (un tout petit peu) grâce au chant. Veerle Baetens, Marie Berto, Fatima Berria et Anna Natger compose le reste de la petite troupe, elles ont des rôles qui correspondent un petit peu à des archétypes de détenues (la révoltée, la détenue âgée qui a assimilée qu’elle ne sortirait pas, l’étrangère qui parle mal le français, la paumée qui paye les crimes de son mec,…). Même si leurs rôles sont un peu dessinés à grands traits, elles font le job. « A l’Ombre des Filles » n’est pas un mauvais film, c’est un film qui évoque les prisons pour femmes ce qui est déjà original et bienvenu en soit, mais c’est un film qui tourne un peu à vide qui cède un petit peu à la facilité par moment. Il ne laissera malheureusement pas un souvenir durable, en dépit de ses très bonnes intentions.
    circusstar
    circusstar

    123 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 avril 2022
    Enfin un très bon film ! Alex Lutz et Agnès Jaoui nous livrent une interprétation juste et parfaite. Toutes les actrices de la chorale sont touchantes parfois bouleversante. Une incursion dans la vie carcérale et la musique qui donne vie, espoir et joie. J'ai adoré, je vous le recommande.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    714 abonnés 1 447 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2022
    Un grand chanteur lyrique en pleine introspection personnelle décide d'aller enseigner le chant à des femmes incarcérées.
    Sa bienveillance, sa patience ainsi que sa flamme musicale vont-elles suffire à transmettre à ces prisonnières ce semblant d'espoir et de liberté indispensable à la survie de l'esprit en milieu pénitentiaire ?
    Dans la même veine qu' "Un Triomphe" sorti en 2021 (avec Kad Merad), cette pseudo comédie loupe en partie sa cible en proposant une mixture assez insipide combinant maladroitement un vocaliste un peu paumé et sans éclat, et une bande de taulardes qu'on aimerait apprécier, mais qui s'avère au final plus agaçante qu'autre chose.
    Alex Lutz ne semble pas à son aise dans ce costume, ne parlons même pas d'Agnès Jaoui au rôle quasiment anecdotique.
    Mou, long et très décevant.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    12 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 avril 2022
    Une impression de déjà vu...

    Après des détenus dans un atelier théâtre, des détenues dans un atelier chant. Pour le reste du classique dans la construction. Des détenues qui viennent un peu par intérêt et beaucoup pour rompre l'ennui et la monotonie des journées. Détenues dont la raison de l’emprisonnement n'est pas connu. Un formateur qui a lui même ses propres casseroles. Nulle surprise dans la réalisation, l'histoire, des moments de tension conflit des détenues, la motivation va t'elle perdurer? Le formateur va t'il se reconstruire?

    Rien de bien nouveau ça se voit sans déplaisir mais nulle raison de s'enthousiasmer le seul intérêt est peut être que ce soit un milieu carcéral féminin même si le portrait des détenues n'est pas assez fouillé et c'est dommage.

    Bientôt un film sur un atelier de danse en prison?
    moviedale
    moviedale

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2022
    J'ai ressenti une vraie émotion en sortant de ce film. Alex Lutz est surprenant dans le rôle d'un chanteur lyrique. Le jeu des acteurs, le choix de la musique, la façon de filmer - une sensibilité rare traverse ce film. J'avais l'impression de vivre avec les personnages, même de vouloir rendre visite à ces femmes en prison pour leur exprimer mon admiration. Etienne Comar nous montre le quotidien des personnes "invisibles" - mais elles deviennent visible grace à son film.
    ChouX_D
    ChouX_D

    53 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 avril 2022
    Un très beau film, rempli de vérité, avec un super acteur et de supers actrices.
    Ce n'est pas du tout édulcoré en feel-good movie, c'est ancré dans une réalité. Ce n'est jamais mièvre, c'est très bien joué.
    Un film juste et important.
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