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    A l’ombre des filles
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    Lili04
    Lili04

    10 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2022
    Une bonne surprise!
    Bien joué, des acteurs et actrices touchants..
    Une histoire simple
    On y croit...
    Guillaume
    Guillaume

    114 abonnés 1 580 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 septembre 2022
    Lutz n'est pas réellement à son aise dans ce rôle ; il sonne faux. Comme cette tentative de concilier univers carcéral et chant comme voie de libération du corps et de l'esprit.
    Convenu et linéaire, l'émotion ne transpire pas.
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 novembre 2022
    Après "Django", Etienne Comar reste dans l'univers de la musique, mais change d'époque et surtout de cadre avec un chanteur lyrique qui décide d'animer un atelier de chant pour des détenues. Alors que le film sur Django Reinhardt manquait de force et d'émotion, mais aussi d'enjeux et de tension, j'ai un peu ressenti la même chose en découvrant ce film même si les personnages sont ici plus intéressants. Pourtant, on ne sait rien d'elles puisque le réalisateur a fait le choix de ne pas évoquer la raison de leur emprisonnement. On sait juste que ce ne sont pas des enfants de chœur comme on le comprend quand l'une des surveillantes tente d'impressionner Luc avant son premier cours en lui donnant sans les nommer toutes les raisons qui font que ces femmes sont ici. Un choix logique pour ne pas qu'on les juge et que l'on se focalise uniquement sur l'humain. C'est là tout le travail de Luc qui doit trouver la bonne harmonie que ce soit au niveau des voix, mais aussi sur le plan humain avec pas mal de tension entre les femmes. Il faut trouver le bon ton encore une fois musicalement, mais aussi dans le discours pour ne pas les brusquer. Il apporte une aide pour s'aider également lui-même alors qu'il est dans une période difficile de sa vie. Étant donné ce lieu clos, les scènes sont vite répétitives et on ne voit pas vraiment une évolution dans le groupe et je ne parle pas de leur timbre de voix. C'est un peu toujours la même chose, ce qui est frustrant. Sans faire dans le film fleur bleue ou trop gnian-gnian avec une conclusion bien mièvre, on peut dire que ça manque d'émotion. Ça se laisse regarder, mais c'est plat et oubliable.
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2022
    Prenez un artiste en pleine galère, placez-le dans un univers carcéral dont il ne connait évidemment pas les codes, faites lui donner des cours à des détenus plus ou moins revêches et préparer spectacle final qui à 50% de chance de mal tourner et vous obtenez un film qui ressemble sur le papier quand même beaucoup à « Un Triomphe ». Ici, on change le théâtre par le chant, Kad Merad par Alex Lutz, le chômage de l’un par la crise personnelle de l’autre, les détenus hommes par les détenues femmes et on obtient « A L’ombre des Filles ». Même si les intentions sont louables, on se retrouve devant un long métrage qui a quand même de grandes chances de tourner en rond au bout d’un moment. Ici, le scénario est assez linéaire, on donne des pistes par petites touches sur le drame qui a vu la vie de Luc basculer, un drame assez glauque, et qui pour le coup justifie assez bien son gros passage à vide. Pour le reste, on en saura rien du passé des femmes qui composent ses élèves (à part pour la détenue Catherine, au détour d’une phrase) mais on a bien compris que ce n’était pas le sujet. On ne saura pas grand-chose non plus de leur conditions de détention, de leurs conflits, de l’effet « cocotte-minute » que représente l’incarcération en maison centrale, là encore ce n’est pas le sujet. Le sujet, ce sont les cours de chants qui se succèdent, les exercices de respiration, les vocalises, les tessitures et toutes les petites choses qui font de tout temps les cours de chants. Ce n’est pas inintéressant, même pour une néophyte comme moi, mais force est de constater que ça tourne un peu en rond au bout d’un moment. Je ne peux pas trop juger de la crédibilité du propos, du coup, j’ai juste été surprise par la scène ou Luc grille une cigarette, je pensais naïvement que c’était carrément incompatible avec le chant lyrique. Sinon, pour le reste, la réalisation d’Etienne Comar fait le job, il s’autorise deux-trois jolis plans ou jolis effets de caméra, il a le bon gout de ne pas laisser s’éterniser les scènes de violence (verbales ou physique), il opte pour une bande originale minimaliste. C’est assez logique puisqu’il faut laisser les filles chanter sans ajouter de la musique à la musique. Il y a juste un truc qui me chiffonne dans sa réalisation. C’est un petit détail mais ce n’est pas la première fois que je remarque cela : le film est présenté au format 4/3, du coup, la moitié de l’écran est composé de bandes noires à gauche et à droite : on a l’impression de regarder un vieux téléviseur ! S’il y a un intérêt artistique à la chose j’aimerais bien qu’on explique lequel et pourquoi les cinémas s’embêtent a avoir de magnifiques grands écrans ! Je n’ai pas encore parlé du casting et en premier lieu évidement de l’épatant Alex Lutz dont je suis décidément de plus en plus fan. Il fait passer, grâce à ce rôle, toute la palette des émotions dont il est capable. Autour de lui il y a Agnès Jaoui, elle très silencieuse alors que tout le monde sait que c’est elle qui chante le mieux de tout le casting, mais c’est probablement voulu. Elle incarne très bien une femme fermée, hostile, dont la violence à fleur de peau vient probablement d’un passé terrible. Hafsia Hersi donne corps à une jeune femme abrutie par les antis dépresseurs, très en souffrance visiblement et qui s’ouvre (un tout petit peu) grâce au chant. Veerle Baetens, Marie Berto, Fatima Berria et Anna Natger compose le reste de la petite troupe, elles ont des rôles qui correspondent un petit peu à des archétypes de détenues (la révoltée, la détenue âgée qui a assimilée qu’elle ne sortirait pas, l’étrangère qui parle mal le français, la paumée qui paye les crimes de son mec,…). Même si leurs rôles sont un peu dessinés à grands traits, elles font le job. « A l’Ombre des Filles » n’est pas un mauvais film, c’est un film qui évoque les prisons pour femmes ce qui est déjà original et bienvenu en soit, mais c’est un film qui tourne un peu à vide qui cède un petit peu à la facilité par moment. Il ne laissera malheureusement pas un souvenir durable, en dépit de ses très bonnes intentions.
    Chatcaliban
    Chatcaliban

    34 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2022
    Le film part d'un sujet intéressant mais le résultat n'est pas là. Jaoui bénéficie d'un traitement très en faveur alors que les autres actrices sont là pour figurer. Au fond ce film peu poussif n'apporte rien. Je me suis barré après 40 minutes.
    A noter que la post synchro des voix parlées et chantées est complètement loupée. Un comble au regard du sujet.
    Xavier B.
    Xavier B.

    17 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 avril 2022
    L'idée de l'atelier de chant dans une prison pour femmes était louable, mais le résultat est assez plat...

    Par choix narratif, la caméra colle au "chanteur lyrique en mission civilisatrice", on le voit entrant en prison, animer son atelier de chant, rentrer à son hôtel, traîner en boite et s'y adonner à des activités ... généreuses, retourner à la prison etc...

    Le film ne s'intéresse que très peu aux prisonnières ; dommage...

    La seule d'entre elles que le film nous invite à essayer de comprendre est incarnée par Agnès Jaoui ; un personnage dont on ne comprend à demi mot la fêlure que très tard dans le film, avec un parallèle avec l'histoire du coach, assez gratuit et tiré par les cheveux...

    Heureusement les filles ne chantent pas trop mal. À noter la performance d'une actrice amateure, Fatima Berriah,je crois

    Tours CinéStudio 15 avril 2022
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mai 2022
    Ce film porté par Alex Lutz, chanteur lyrique donnant des cours pour monter un spectacle musical au coeur d'une maison d'arrêt pour femmes, est assez décevant. En effet, malgré un casting intéressant avec une Agnès Jaoui méconnaissable, cette oeuvre reste un peu trop scolaire, ne procurant pas suffisamment d'émotion à mon goût. Etienne Comar essaie grâce à la musique de trouver une porte d'évasion à ces femmes, mais c'est laborieux. Peut-être aurait-il dû faire appel à des non-professionnelles pour donner de la crédibilité au film. Par contre, j'ai bien aimé la dénonciation des conditions de détention tout au long de l'histoire spoiler: , mais de là à gâcher le concert final, cela m'a semblé déplacé
    . Pas convaincu dans l'ensemble, surtout que cela ressemble à une pâle copie de "Un triomphe" avec Kad Merad.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 008 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2022
    Luc, chanteur lyrique renommé débute un atelier de chant avec des femmes en prison. L’artiste qui a mit sa carrière sur pause profite de cette expérience pour se questionner sur sa situation personnelle. Un film touchant qui met en lumière les conditions de vie des détenues.
    Jipéhel
    Jipéhel

    41 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2022
    La grande évasion… par le chant

    Son biopic sur Django Reinhardt de 2016 n’était pas passé inaperçu. Etienne Comar récidive pour se 2ème film en choisissant à nouveau une thématique musicale. Luc est un chanteur lyrique renommé. En pleine crise personnelle, il accepte d’animer un atelier de chant dans un centre de détention pour femmes. Il se trouve vite confronté aux tempéraments difficiles des détenues. Entre bonne conscience et quête personnelle, Luc va alors tenter d’offrir à ces femmes un semblant de liberté. 106 minutes qui constituent une des belles surprises du moment. Un film dramatique sorti quasiment sans promo, presqu ‘en douce, mais qui tient ses promesses avec un sujet fort et un casting à la hauteur. A voir !
    Tout est ici construit comme une œuvre musicale, choix du tempo, les contrastes, les voix, les niveaux d’émotion ou d’intensité, l’ouverture et coda… c’est brillant. Un film qui montre à quel point le chant peut être une libération. Et quoi de mieux qu’une prison pour exprimer la métaphore de cette libération… Je sais, les pisse-froid habituels vont nous dire que le sujet est rabâché. Après l’excellent Un Triomphe – avec le non moins excellent Kad Mérad -, où c’était à travers le théâtre que la métamorphose s’opérait chez des prisonniers – sans remonter au César doit mourir des Frères Taviani en 2012, on reprend le même thème et on recommence. L’utilisation du format 1.33 se justifie car c’est celui qui traduit le mieux l’enfermement de ses femmes et qui permet de filmer au plus près ce concentré d’humanité à la fois marginal et minoritaire, mais qui devient vite central et universel. Les lumières et les couleurs sont également soigneusement choisies avec les scènes de prison très lumineuses et, a contrario, les moments d’extérieur avec le héros, où cette fois, les teintes sombres et denses prédominent. Je le répète, un film plus subtil qu’il n’y paraît, avec une technique et une distribution entièrement au service d’un projet somme toute ambitieux et qui touche juste.
    Alex Lutz, de film en film, confirme qu’il est un comédien très fin et sobre. Encore une belle performance. Les « prisonnières », Agnès Jaoui, Hafsia Herzi, Veerle Baetens, Marie Berto, ainsi que deux non-professionnelles, Fatima Berriah et Anna Najder, lui donnent une réplique épatante bourrée de sensibilité et de talent. La musique avec toutes ses vertus de solidarité, de tolérance, d’épanouissement, de joie, de compassion et d’amitié… un beau programme pour un bien joli film très touchant. La grande évasion… par le chant, qui confirme que seule, la beauté la grisaille de la vie.
    Marie-Christine Julien
    Marie-Christine Julien

    2 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mai 2022
    Bouleversant regard sur l'univers
    carcéral porté par le chant et la présence très forte des acteurs. La confrontation entre le drame existentiel de Luc et celui de ces femmes est particulièrement émouvant.
    Leo
    Leo

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2022
    Je n'aime pas Alex Lutz qui m'énerve en général, mou, la son rôle est bien, mais pourquoi des scènes glauques en boîte de nuit, le faire apparaître détraqué, et efféminé en chantant jusqu'au ridicule ? Des personnes de femmes comme Nour qui le félicite pour son chant, touché malgré leur différence, c'est peu crédible pour ce personnage. Ces femmes apparaissent édulcorés, des personnages de théâtre. Pourtant j'ai trouvé intéressant, le sujet. Après le drame, Agnès en prison c'est crédible, très enlaidie, pourtant on la retrouve par moment, avec son éclat de l'époque d'avant. Déçu sinon de la voir si agressive et dangereuse. Elle sort du lot pourtant. Un film "téléphoné" (beaucoup de scènes suggéré par d'autres au réalisateur mal a propos, mais un bon sujet, le bien nécessaire que peut apporter l'exercice d'un art a des personnes en situation d'exclusion, d'enfermement).
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    7 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2022
    Un joli film sur le milieu carcéral féminin, Alex Lutz est formidable ainsi que la chorale d'actrices.
    alexine r
    alexine r

    3 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2022
    L'histoire du film , le jeu des acteurs, et le déroulement du film m'as beaucoup touché.
    Une belle recherche artistique.
    Un film que j'ai envie de revoir.
    andre N.
    andre N.

    15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2022
    Alex Lutz incarne avec beaucoup de talent, de sensibilité et de finesse de jeu, ce coach vocal pour des prisonnières privées de contacts avec l'extérieur et cabossées par la vie. Les relations sont rugueuses mais une relation s'installe peu à peu dans le groupe avec des hauts et des bas. L'angle du film est surtout celui du coach, accusé par Catherine ( l'étonnante Agnès Jaoui) de se fabriquer une bonne conscience auprès de femmes coupées du monde et de leurs familles.
    Les scènes qui décrivent l'intimité des prisonnières sont bien réalisées mais petit bémol, elles paraissent collées dans le film un peu au hasard. La scéne entre Lutz et Jaoui au parloir est très forte, à l'image du monde carcéral.
    A aucun moment, nous ne connaissons les crimes des prisonnières, une information qui viendrait parasiter le propos du film.
    Un très bon long métrage, antithèse d'un blockbuster américain, qui explicite beaucoup d'émotions avec une juste austérité de moyens, sans sentimentalisme superflu.
    Nann'
    Nann'

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mai 2022
    Pfiouuu, il faut s'accrocher...Glauque d'un bout à l'autre...Plat, creux, sans intérêt. Mais qu'est allée faire À.Jaoui dans cette galère ??...Hyper déçue.
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