Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
BIBA
par Samuel Loutaty
Un film âpre qui n'édulcore pas la prison. Mais un film lumineux servi par un casting exceptionnel : toutes les actrices sont formidables et Alex Lutz joue sa partition à la perfection !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est un peu la même histoire que dans Un Triomphe d’Emmanuel Courcol (... ). À l’ombre des filles lui fait écho avec les mêmes vertus de solidarité, de tolérance, d’épanouissement, de joie, de compassion et d’amitié.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec réalisme et psychologie, et des personnages bien dessinés, A l’ombre des filles évite la naïveté, en prônant l’art et sa pratique comme acte de liberté et libérateur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Melinard
Étienne Comar signe avec ce deuxième long métrage une belle introspection sur la nature et la force de l’art et sa puissance émancipatrice. L’air de rien, il s’offre une belle réflexion sur une sororité soumise à l’adversité d’un cloisonnement collectif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les actrices de ce film modeste qui fait du bien sont des voix fortes : Agnès Jaoui, Hafsia Herzi, Veerle Baetens, Marie Berto, Fatima Berriah, Anna Najder, Emmanuelle Bonmariage jouent une partition chorale humaniste.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Avec une mise en scène dépouillée, Étienne Comar orchestre son film comme une symphonie rugueuse, sans affèterie, a capella. À l’ombre des filles est un film touchant, sensible, affûté, qui se confine dans le quotidien carcéral pour mieux illustrer cette métaphore de la grande évasion par le chant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
La grâce du film tient dans l’énigme de l’enfermement des protagonistes : seul compte ce qui se passe autour du chant, sans que l’on juge ni connaisse le passé de l’une ou l’autre. Certaines scènes bouleversent, quand ce qui semblait mort à jamais s’ouvre soudain à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Éric Derobert
[...] César doit mourir (2012), des frères Taviani, se rattachait aussi, dans la déclinaison carcérale qui nous intéresse ici, à cet arc scénaristique des bons à rien soudainement amendés par l’art. À l’ombre des filles s’inscrit bien sûr dans ce mouvement, mais nous indique tout de suite que le chemin sera plus escarpé que prévu, de par son mystérieux prégénérique [...].
Voici
par La Rédaction
En chanteur lyrique qui va réenchanter une prison, Alex Lutz confirme son statut de ténor de la comédie.
L'Obs
par François Forestier
Cinéma intimiste, cinéma sincère, porté par Alex Lutz, acteur étonnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après Django, Étienne Comar reste dans le domaine musical avec cet atelier de chant en prison animé par un chanteur lyrique incarné par Alex Lutz, encore une fois épatant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Toujours très juste dans la complexité, Alex Lutz porte cette chronique sociétale, sensible mais sans surprise, face à une bande de filles au caractère très affirmé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Etienne Comar filme deux enfermement dans « A l’ombre des filles » : celui des filles incarcérées et celui d’un musicien qui donne des cours aux taulardes, prisonnier des geôles de ses regrets. Film bref, ramassé dans son format carré, il s'encombre malheureusement d'une ou deux séquences et dialogues symboliquement chargés.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le réalisateur de Django réaffirme sa foi dans la musique avec ce deuxième long métrage qui raconte la rencontre entre un chanteur lyrique et des détenues. Ces confrontations au service de l’harmonie sont le sel d’un récit qui offre un très joli rôle à Alex Lutz.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Malgré une partition quelque peu mécanique, on sort bouleversé, avec la conviction que seule la beauté peut égayer la grisaille de l’existence.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Si ce film peine à émouvoir, il a le mérite de surprendre. Il bénéficie de la performance d'Alex Lutz et de ses partenaires, dont certaines non professionnelles.
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec son casting féminin étonnant et cohésif (dont Agnès Jaoui, pourtant réputée pour son chant, dans une partition sombre et... mutique), son refus du manichéisme et son réalisme sur le décor des prisons « modernes », ce film impose une humanité délicate.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un tempo moderato et un casting au diapason composent cette sonate délicate qui aurait gagné à s’étoffer de quelques notes supplémentaires de lyrisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Comme souvent dans la confrontation entre un professeur et un groupe en difficulté (des détenus, des classes en REP…), la vie des élèves, sous prétexte de ne pas être stigmatisée, est gommée et le groupe ne semble exister que pour agir sur la conscience du sachant qui, de fait, ne sait plus grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Au-delà de la qualité des acteurs, le film reste un peu trop sur le même ton uniforme.
Première
par Thierry Chèze
A trop vouloir marteler le message qu’il a envie de faire passer, Comar manque en partie sa cible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’histoire entretient un rapport complexe avec la notion d’accomplissement dont le récit ne cesse d’inverser la dynamique. Non seulement parce qu’il ne s’agit pas tant ici de se révéler à soi-même que d’accepter de porter son fardeau, d’y consentir sans colère. Et c’est dans ce mouvement de résignation crâne que le film finit par toucher.
BIBA
Un film âpre qui n'édulcore pas la prison. Mais un film lumineux servi par un casting exceptionnel : toutes les actrices sont formidables et Alex Lutz joue sa partition à la perfection !
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est un peu la même histoire que dans Un Triomphe d’Emmanuel Courcol (... ). À l’ombre des filles lui fait écho avec les mêmes vertus de solidarité, de tolérance, d’épanouissement, de joie, de compassion et d’amitié.
Franceinfo Culture
Avec réalisme et psychologie, et des personnages bien dessinés, A l’ombre des filles évite la naïveté, en prônant l’art et sa pratique comme acte de liberté et libérateur.
L'Humanité
Étienne Comar signe avec ce deuxième long métrage une belle introspection sur la nature et la force de l’art et sa puissance émancipatrice. L’air de rien, il s’offre une belle réflexion sur une sororité soumise à l’adversité d’un cloisonnement collectif.
Le Dauphiné Libéré
Les actrices de ce film modeste qui fait du bien sont des voix fortes : Agnès Jaoui, Hafsia Herzi, Veerle Baetens, Marie Berto, Fatima Berriah, Anna Najder, Emmanuelle Bonmariage jouent une partition chorale humaniste.
Le Figaro
Avec une mise en scène dépouillée, Étienne Comar orchestre son film comme une symphonie rugueuse, sans affèterie, a capella. À l’ombre des filles est un film touchant, sensible, affûté, qui se confine dans le quotidien carcéral pour mieux illustrer cette métaphore de la grande évasion par le chant.
Le Parisien
La grâce du film tient dans l’énigme de l’enfermement des protagonistes : seul compte ce qui se passe autour du chant, sans que l’on juge ni connaisse le passé de l’une ou l’autre. Certaines scènes bouleversent, quand ce qui semblait mort à jamais s’ouvre soudain à la vie.
Positif
[...] César doit mourir (2012), des frères Taviani, se rattachait aussi, dans la déclinaison carcérale qui nous intéresse ici, à cet arc scénaristique des bons à rien soudainement amendés par l’art. À l’ombre des filles s’inscrit bien sûr dans ce mouvement, mais nous indique tout de suite que le chemin sera plus escarpé que prévu, de par son mystérieux prégénérique [...].
Voici
En chanteur lyrique qui va réenchanter une prison, Alex Lutz confirme son statut de ténor de la comédie.
L'Obs
Cinéma intimiste, cinéma sincère, porté par Alex Lutz, acteur étonnant.
La Croix
Après Django, Étienne Comar reste dans le domaine musical avec cet atelier de chant en prison animé par un chanteur lyrique incarné par Alex Lutz, encore une fois épatant.
Le Journal du Dimanche
Toujours très juste dans la complexité, Alex Lutz porte cette chronique sociétale, sensible mais sans surprise, face à une bande de filles au caractère très affirmé.
Les Echos
Etienne Comar filme deux enfermement dans « A l’ombre des filles » : celui des filles incarcérées et celui d’un musicien qui donne des cours aux taulardes, prisonnier des geôles de ses regrets. Film bref, ramassé dans son format carré, il s'encombre malheureusement d'une ou deux séquences et dialogues symboliquement chargés.
Les Fiches du Cinéma
Le réalisateur de Django réaffirme sa foi dans la musique avec ce deuxième long métrage qui raconte la rencontre entre un chanteur lyrique et des détenues. Ces confrontations au service de l’harmonie sont le sel d’un récit qui offre un très joli rôle à Alex Lutz.
Télé 7 Jours
Malgré une partition quelque peu mécanique, on sort bouleversé, avec la conviction que seule la beauté peut égayer la grisaille de l’existence.
Télé Loisirs
Si ce film peine à émouvoir, il a le mérite de surprendre. Il bénéficie de la performance d'Alex Lutz et de ses partenaires, dont certaines non professionnelles.
Télérama
Avec son casting féminin étonnant et cohésif (dont Agnès Jaoui, pourtant réputée pour son chant, dans une partition sombre et... mutique), son refus du manichéisme et son réalisme sur le décor des prisons « modernes », ce film impose une humanité délicate.
aVoir-aLire.com
Un tempo moderato et un casting au diapason composent cette sonate délicate qui aurait gagné à s’étoffer de quelques notes supplémentaires de lyrisme.
Le Monde
Comme souvent dans la confrontation entre un professeur et un groupe en difficulté (des détenus, des classes en REP…), la vie des élèves, sous prétexte de ne pas être stigmatisée, est gommée et le groupe ne semble exister que pour agir sur la conscience du sachant qui, de fait, ne sait plus grand-chose.
Ouest France
Au-delà de la qualité des acteurs, le film reste un peu trop sur le même ton uniforme.
Première
A trop vouloir marteler le message qu’il a envie de faire passer, Comar manque en partie sa cible.
Sud Ouest
L’histoire entretient un rapport complexe avec la notion d’accomplissement dont le récit ne cesse d’inverser la dynamique. Non seulement parce qu’il ne s’agit pas tant ici de se révéler à soi-même que d’accepter de porter son fardeau, d’y consentir sans colère. Et c’est dans ce mouvement de résignation crâne que le film finit par toucher.