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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un mauvais moment à passer, voila ce qu'est Vercingetorix. On a l'impression d'assister à un mauvais téléfilm tellement la crédibilité générale de "l'oeuvre (?)" est contestable. Bref à ne pas recommander ... de toute urgence.
Un gros gros navet!!! Mais que c'est bon de voir une horreur comme cela. Les acteurs sont minables, les batailles loufoques, les dialogues torchés, le scénario trouvé dans une pochette surprise et la réalisation quasi-inexistante. Le film est tellement raté qu'on rigole de toutes ses erreurs. A louer entre amis autour de quelques boissons non gazeuses et c'est léclate :-).
Film devenu "culte" malgré lui, Vercingétorix est un des plus gros nanars que j'ai vu de ma vie. Quand on pense qu'une telle production a couté plus de cent millions de francs à l'époque ! Comme le dit l'accroche sur l'affiche "Vous connaissez son nom, découvrez sa légende". En effet, il faut vraiment le voir pour le croire. Comment Jacques Dorfmann, le producteur de films signés Melville a t-il pu réaliser un tel "film". Le film s'ouvre sur un plan de l'espace et nous fait penser que l'on s'est trompé de film et qu'il s'agit de Fortress 2 (lui aussi anthologique)...malheureusement il s'agit bien de Vercingétorix. Le film est directement dédié au père de Dorfmann (lui-meme grand producteur français). Robert Dorfmann a du se retourner dans sa tombe alors. Passons les dialogues ridicules, anachroniques et premier degré qui nous font rire durant près de deux heures. La photo est hideuse, éclairée aux bougies halogènes, la réalisation est exécrablement hilarante (la scène de l'armée romaine filmée sous tous les angles m'a fait rire à gorge déployée) et meme les perruques des comédiens semblent avoir été faites avec les résidus de cheveux trouvés dans une poubelle d'un salon de coiffure. Vercingetorix ne serait rien sans la performance de Christophe Lambert qui réussit à se surpasser et qui signe ici sa plus monstrueuse interprétation. Toutes les scènes sont ratées, d'un ennui total et on ne comprend rien à ce qui se passe sous nos yeux enflés et cernés. J'émets une hypothèse quant à la non compréhension du film : Il ne s'agit peut-etre pas de Vercingétorix mais de Vercingetor IX, le neuvième film d'une saga d'où le spectateur perdu au bout de 10 minutes ayant loupé les huit premiers ! Apparemment non. Vercingétorix est bien un film réalisé pour rendre hommage au peuple gaulois ("Gaulois, Gauloises !"). Dorfmann a du alors réaliser son film en s'appuyant sur les albums d'Asterix malgré l'aide de savants du CNRS. Anthologiquement nanardesque, pléonasme de cauchemardesque.
Dans la grande tradition des chefs d'oeuvre du cinéma avec Christophe Lambert, voici Vercingétorix. Même si ça n'atteint pas le niveau de Beowulf, on reste dans du grand n'importe quoi. Batailles nulles, dialogues nuls, histoire nulle, réalisation nulle, acteurs ... mauvais (ben oui, tout n'est pas nul quand même). Je me demande si je n'ai pas repéré dans le courant du film un romain écrivant au stylo bille. Bref, un film que même toi tu peux le faire mieux !!!
une daube,un navet...enfin je ne sais pas quel mots a employes pour ce films. des batailles mal filmés et nul ,des effets speciaux a 2 balles,des dialogues grotesques et une histoire qui veut trops en montrés en si peu de temps.le pauvre chefs averne a du se retourné dans sa tombe!c'esr dommage car avec plus de moyens techniques et humains ça aurait pu donné quelque chose de bien.une question :ils n'avait pas a dépacé un certain niveau de sang? c'est a se demandés lorsque l ont voie le peu de réalisme des batailles.
Le summum du navet : Rien que le dialogue des 1eres minutes annonce la couleur. Même un cinéaste amateur aurait fait mieux. Le film est totallement inintéressant, et traine en longueur. Les acteurs ne sont pas crédibles du tout et on a parfois l'impression qu'ils sont là parce qu'ils ont été punis, condamnés à jouer dans une bouse qu'ils savaient mauvais d'avance...
Le résumé du film, une vaste plaisanterie ... C'est ce que l'on appelle un navet ... Les scènes sont mal tournées, les dialogues maladroits etc ... Dommage, car l'idée est bonne est les moyens sont là.
"Les critiques s'envoleront, l'oeuvre restera". Redevenons sérieux: une belle gosse (Inès Sastre), un grand acteur sous cortisone (Klaus Maria Brandauer), des rugbymen sous acide et pas dieux du stade pour un sou (Moscato et Charvet) et Christophe Lambert qui se suffit à lui-même. Voila pour le casting. Je crois que ça commence à faire, non ? Non ? Alors continuons: Vercingétorix est celui qui a tenu tête à César et qui est mort à la fin. Entre temps, y'a eu des ralentis verdâtres, des épées en mousse, des couvertures en guise de pantalons et des moustaches. Bon, j'abandonne.
Un film tout simplement éblouissant, et qui fera date dans l'histoire du cinéma français, du Cinéma tout court, et de l'Art en général. Le scénario, s'il s'écarte par moments de la réalité historique, est cependant impressionnant d'ingéniosité et d'inventivité. Les dialogues sont presque poétiques tant ils sont recherchés tout en paraissant d'un naturel enchanteur (une véritable symphonie): Rien n'aurait été possible sans le travail des acteurs dont le jeu est absolument parfait (tout sonne juste), depuis Christophe Lambert (Monument dramatique à lui tout seul, et dont on avait déjà pu admirer les capacités dans des classiques d'action comme "Mortal Kombat", "Fortress 2" ou "Highlander IV") qui laisse ici s'exprimer la plénitude de son talent, jusqu'au plus secondaire des figurants germains, en passant par Inès Sastre (qui donne une profondeur unique et un côté très poignant à l'Histoire) ou Max Von Sydow (grand acteur shakespearien). Les costumes sont par ailleurs extrèmement soignés, et tout laisse deviner un souci du plus petit détail dans une reconstitution historique qui semble très documentée. Réalisant une magnifique fresque historique, le réalisateur, très engagé, n'en réussit pas moins à teinter subtilement son oeuvre d'un discours flamboyant et profond très actuel sur des problèmes tels que le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, la contestation de l'ordre établi et le sens général de l'action politique. Bravo l'artiste.
Une daube !!! Je ne pensais pas que la qualité de réalisation d'un film poouvait tomber si bas. Les acteurs ont beau faire de leur mieux, le réalisateur massacre leur travail. Un gout de téléfilm à petit budget passant à la télé un jour férié !
Je m'attendais à un grand film (avec Christophe ? T'es fou ou quoi ?) Au bout d'un quart d'heure, ça commence à déraper sur Highlander (ça devait manquer à Cricri !) Puis ils les a rencontrés : une bande d'abrutis et d'ivrognes soi-disant chefs. Pas besoin de charisme, ils l'ont tout de suite choisis, lui qui les comprenaient si bien. Et nous on comprend mieux pourquoi les Gaulois ont pris une telle raclée. Même les révisionnistes n'auraient pas osé ça...