La Colline où rugissent les lionnes : Critique presse
La Colline où rugissent les lionnes
Note moyenne
3,3
15 titres de presse
Elle
Femme Actuelle
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
Ouest France
Positif
Transfuge
Positif
Première
Sud Ouest
Télérama
Le Journal du Dimanche
Libération
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Elle
par Thomas Jean
Un premier long métrage d'une réalisatrice qui se révèle percutante.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un premier film qui a son charme.
Le Parisien
par La Rédaction
Le film reste parfois un peu impressionniste, mais on est séduit par sa fougue et par les très beaux plans sur ces trois grâces au charme sauvage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs en 2021, le premier long métrage de Luàna Bajrami est un hommage poétique, vibrant et sensuel au Kosovo, le pays de sa tendre enfance, mais surtout à la jeunesse du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Malgré quelques maladresses, le désir de filmer la jeunesse de son pays d'origine anime chaque plan d'une vibration particulière.
Ouest France
par Thierry Chèze
A 20 ans, Luàna Bajrami a un avenir radieux devant elle.
Positif
par Yann Tobin
La trame semble convenue, mais pour son premier film comme réalisatrice, Luàna Bajrami [...] sait faire vivre ses personnages, dans un contexte assez insolite pour susciter notre curiosité (le Kosovo de son enfance) et assez universel pour susciter l’adhésion d’un large public (la sortie de l’adolescence).
Transfuge
par Serge Kaganski
Ce n’est pas par son sujet que ce film sort du rang, ni par sa réalisation honnête, mais par ses magnifiques comédiennes [...] qui suffisent à incendier ce film et à transcender sa prévisibilité.
Positif
par Baptiste Roux
Le charme pastoral s’évanouit pour une virée façon Bonnie and Clyde tout aussi convenue qu’est prévisible le dénouement. Un film prometteur qu’un script mieux ficelé aurait rendu très attachant.
Première
par Thierry Chèze
Incarné par une bande de comédiennes stupéfiante de naturel, d’énergie et de charisme, La Colline où rugissent les lionnes vous déstabilise autant qu’il vous emporte. Une cinéaste est née.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Luàna Bajrami filme cet âge-là avec une grâce émouvante. Sans appuyer sur les enjeux, sans alourdir son intrigue, préférant les ellipses aux explications et la sobriété d’une mise en scène où l’ennui et le sentiment d’abandon circulent sous les rugissements.
Télérama
par Caroline Besse
Malgré quelques maladresses de scénario, voilà une belle ode à la sororité, pleine de promesses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Dommage que cette errance, bien que joliment filmée, tienne le public à distance et finisse par tourner à vide.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Sandra Onana
Qu’en retenir ? Sans doute ces quelques scènes où Luàna Bajrami, qui partage l’âge et le pays d’origine de ses actrices mais a immigré à Paris petite, décide d’entrer brièvement dans le cadre avec elles, et d’aborder le fossé de privilèges qui les sépare. L’effet de perspective apporté, même par clignotement, confirme qu’il y aurait eu davantage à explorer à cet endroit que dans le sillon du cinéma post-Sofia Coppola, devenu clichetonneux à force d’être surlabouré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Thomas Grignon
Un pensum aussi insipide qu'emphatique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
Un premier long métrage d'une réalisatrice qui se révèle percutante.
Femme Actuelle
Un premier film qui a son charme.
Le Parisien
Le film reste parfois un peu impressionniste, mais on est séduit par sa fougue et par les très beaux plans sur ces trois grâces au charme sauvage.
Les Fiches du Cinéma
Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs en 2021, le premier long métrage de Luàna Bajrami est un hommage poétique, vibrant et sensuel au Kosovo, le pays de sa tendre enfance, mais surtout à la jeunesse du monde.
Marie Claire
Malgré quelques maladresses, le désir de filmer la jeunesse de son pays d'origine anime chaque plan d'une vibration particulière.
Ouest France
A 20 ans, Luàna Bajrami a un avenir radieux devant elle.
Positif
La trame semble convenue, mais pour son premier film comme réalisatrice, Luàna Bajrami [...] sait faire vivre ses personnages, dans un contexte assez insolite pour susciter notre curiosité (le Kosovo de son enfance) et assez universel pour susciter l’adhésion d’un large public (la sortie de l’adolescence).
Transfuge
Ce n’est pas par son sujet que ce film sort du rang, ni par sa réalisation honnête, mais par ses magnifiques comédiennes [...] qui suffisent à incendier ce film et à transcender sa prévisibilité.
Positif
Le charme pastoral s’évanouit pour une virée façon Bonnie and Clyde tout aussi convenue qu’est prévisible le dénouement. Un film prometteur qu’un script mieux ficelé aurait rendu très attachant.
Première
Incarné par une bande de comédiennes stupéfiante de naturel, d’énergie et de charisme, La Colline où rugissent les lionnes vous déstabilise autant qu’il vous emporte. Une cinéaste est née.
Sud Ouest
Luàna Bajrami filme cet âge-là avec une grâce émouvante. Sans appuyer sur les enjeux, sans alourdir son intrigue, préférant les ellipses aux explications et la sobriété d’une mise en scène où l’ennui et le sentiment d’abandon circulent sous les rugissements.
Télérama
Malgré quelques maladresses de scénario, voilà une belle ode à la sororité, pleine de promesses.
Le Journal du Dimanche
Dommage que cette errance, bien que joliment filmée, tienne le public à distance et finisse par tourner à vide.
Libération
Qu’en retenir ? Sans doute ces quelques scènes où Luàna Bajrami, qui partage l’âge et le pays d’origine de ses actrices mais a immigré à Paris petite, décide d’entrer brièvement dans le cadre avec elles, et d’aborder le fossé de privilèges qui les sépare. L’effet de perspective apporté, même par clignotement, confirme qu’il y aurait eu davantage à explorer à cet endroit que dans le sillon du cinéma post-Sofia Coppola, devenu clichetonneux à force d’être surlabouré.
Critikat.com
Un pensum aussi insipide qu'emphatique.