Avis : jackass forever - Page 2

Rien de nouveau dans ce nouvel opus, où les blagues et cascades restent identiques aux précédentes moutures. Mais du début à la fin, on se marre avec les anciens et surtout les nouveaux qui découvrent l’envers du décor. Jackass restera toujours Jackass. Les limites ne semblent jamais atteintes. Et c’est tant mieux!

C'est pas mal ça ce laisse regarder, les cascades sont impressionnantes et la scène d'introduction est spéciale je dois dire ^^

On ne peut nier à la bande de Jackass la paternité du genre. Néanmoins, avec le poids des ans, cet énième opus vise beaucoup plus sous la ceinture, et plus précisément sur leurs parties génitales, qu'on peut "admirer" en gros plan à de multiples reprises et délaisse les cascades et chutes de leurs débuts. Malgré quelques nouvelles idées (on se demande où ils vont encore trouver tout ça), on note quand même un recyclage des films précédents. De plus, étant donné leur âge et au vu des évacuation sur civière, ils feraient peut-être mieux de s'arrêter là. Quant aux nouveaux-venus, ils n'ont pas l'air tout jeune non plus et ont plus l'air de random fans invités sur le tournage. Bref, merci pour les heures à se marrer en regardant MTV, mais vous pouvez vous arrêtez là messieurs.

Franchement fan des Jackass des debuts jusqu'au 3, je me suis ennuyé sur ce Forever où l'equipe originelle de Jackass fait plus semblant qu'autre chose.
En gros c'est une suite qui vise a faire accepter la nouvelle generation de Jackass qui donne un ressenti "dilué" de ce qu'ils étaient.
Ce Forever m'a donné le ressenti de voir un match de catch, alors qu'a l'origines on avait du MMA authentique.

Après 10ans sans Jackass les voici de retour (sans Bam Margera qui ses retiré du groupe et Ryan Dunn décédé 10ans plus tôt peux après la sortie du 3)

Sa na pas bougé ils sont toujours aussi fou et drôle, ce Jackass sert aussi a introduire une sorte de "nouvelle génération" qui se prête bien au jeux , je le trouve autant reussi que les autres et son .5 avec , du grand Jackass encore une fois , j'espère un 5 mais après fait qu'ils arrête ils sont trop vieux x)

Nul à chier, les blagues sont vue et revue, ils devraient mieux prendre leurs retraites plutôt que de réaliser ce genre de daubes

Ce film suit la lignée Jackass et rend nostalgique, bien heureux de quitter ce mythique collectif avec ce fantastique film ,merci

Cela faisait 10ans (après Jackass 3D - 2010) que nous n’avions pas revu les dégénérés que sont les Jackass. Si le poids des années commence à se lire sur leurs visages (et leurs cheveux grisonnants), ils restent encore et toujours une sacrée bande de tarés et d’éternels adolescents dans leurs têtes.

90min durant lesquelles on retrouve toute la bande de Jackass (exceptés Ryan Dunn, décédé en 2011 & Bam Margera, viré par la Paramount), prête à relever des défis toujours aussi cons et loufoques. Ces derniers approchent tous de la cinquantaine (ils ont entre 45 & 53 ans) et à cette occasion, ils ont convié de nouvelles têtes, la nouvelle génération de casse-cous, à savoir Sean McInerney aka "Poopies" & Davon Wilson aka "Jasper" (vus dans Jackass Shark Week - 2021), ainsi que Zach Holmes & Compston Wilson aka "Dark Shark" (vus dans Jackass Shark Week 2.0 - 2022).

On ne change pas une recette qui marche, le film s’ouvre (comme à son habitude) sur une impressionnante scène d’ouverture mêlant prises de vues réelles, miniatures et kaijū eiga (où un "Godzilla-phallus" spoiler: (ou plutôt, le pénis de Chris Pontius)
vient semer la terreur dans une mégalopole américaine). Le reste sera une succession de sketchs et autres gags comme toujours (très) en-dessous de la ceinture.

Pêle-mêle on retiendra la séquence de la spoiler: tapette à roubignoles (un jeu de culture générale), Steve-O qui se retrouve le pénis intégralement recouvert d'abeilles (drôle de façon de transformer sa teube en ruche), le test de la coquille (un test de résistance sur les baloches de Danger Ehren), un cours de danse électrique, la reconstitution en miniature d’un club de boxe où le sac de punching-ball est remplacé par la paire de couilles disgracieuse de Preston Lacy, sans oublier la séquence vomitive avec la semence de porc ou encore le "vomitron" dans la centrifugeuse.
A noter enfin, que l’on retrouve le temps d’une scène, Irving Zisman (Bad Grandpa - 2013).

Contrairement aux précédents films, celui-ci pousse le curseur encore plus loin dans la nudité et tous n’hésitent plus à mettre en scène leurs services 3 pièces (par le passé, ce genre de séquences n’apparaissaient que dans les bonus). Ils n’ont désormais plus aucun secret pour nous et prennent visiblement un certain plaisir à s’infliger toute sorte de torture… spoiler: (on y voit notamment des pénis écrasés entre deux plaques de plexi,
âmes sensibles s’abstenir). Signalons aussi l’utilisation (une fois de plus) de la caméras haute vitesse Phantom filmant à 1000 images/seconde, nous offrant quelques scènes particulièrement cocasses.

Les gags quant à eux s’avèrent assez inégaux et qui bien souvent tombent à plat ou sont sans grand intérêt. A noter enfin que l’on retrouve aussi quelques gags qu’ils faisaient 20ans auparavant, un clin d’œil volontaire lorsqu’ils faisaient les cons sur MTV (le slip dans la raie, le taureau, le chiotte, ...).

Une énième suite qui n’atteint pas le niveau du précédent opus, certes on rigole toujours de leurs blagues mais il semblerait que la bande de Jackass n’ait plus grand-chose d’original à nous offrir. Et s’ils avaient été franc avec leur public, ils auraient dû appeler ce 4ème opus "Jackass Nudity".

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