Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Libération
par Olivier Séguret
(...) Leçons de ténèbres peut se voir comme la somme de ce que le cinéma d'auteur, dont Dieutre est l'héritier presque conscient, a pu enfanter de meilleur, et comme un tremplin vers un nouvel avenir pour ce cinéma-là.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Leçons de ténèbres érige la litanie en forme esthétique : voix-off, nuit sans cesse recommencée, ressemblances liant Dieutre, ses amants et les personnages du Caravage.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le cinéma à la première personne devient un genre à part entière et commence à trouver ses Pepys, ses Léautaud et ses Proust.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Leçons de ténèbres produit une émotion intense et trouble, plus riche que le prévisible désespoir sur lequel débouche ce trajet nocturne, avec l´unique image d´un jour blanc comme un suaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) la vraie force du film est (...) principalement dans la façon dont le cinéaste cristallise, pointe la "crise de l'attention" de notre temps. Il la concrétise par son malaise, son inconstance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Repérages
par David Vasse
(...) un film nyctalope, angoissé et déroutant.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Avec une complaisance assumée, un dandysme maladif, Vincent Dieutre filme une déperdition, enregistre l'écho d'un ordre idéal déchu, une «perte de l'aura» comme le disait Walter Benjamin.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Le film peut déconcerter : tous ceux qui se sentent en parfaite communion avec le réel. Qui ne connaissent pas la nostalgie, ne souffrent pas de sentir sous ses doigts, comme un mur, la peau de l'autre.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro Magazine
par Jean-Christophe Buisson
Le film s'appelle Leçons de ténèbres. Qu'il y reste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
Ni rêveur ni aventureux, il (Vincent Dieutre) construit un univers où les relations entre la peinture et la vie se figent dans le systématisme, où tout est prémédité, même ce qui semble pris sur le vif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
(...) Leçons de ténèbres peut se voir comme la somme de ce que le cinéma d'auteur, dont Dieutre est l'héritier presque conscient, a pu enfanter de meilleur, et comme un tremplin vers un nouvel avenir pour ce cinéma-là.
Télérama
Du grand art.
Cahiers du Cinéma
Leçons de ténèbres érige la litanie en forme esthétique : voix-off, nuit sans cesse recommencée, ressemblances liant Dieutre, ses amants et les personnages du Caravage.
L'Humanité
Le cinéma à la première personne devient un genre à part entière et commence à trouver ses Pepys, ses Léautaud et ses Proust.
Le Monde
Leçons de ténèbres produit une émotion intense et trouble, plus riche que le prévisible désespoir sur lequel débouche ce trajet nocturne, avec l´unique image d´un jour blanc comme un suaire.
Les Inrockuptibles
(...) la vraie force du film est (...) principalement dans la façon dont le cinéaste cristallise, pointe la "crise de l'attention" de notre temps. Il la concrétise par son malaise, son inconstance.
Repérages
(...) un film nyctalope, angoissé et déroutant.
Urbuz
Avec une complaisance assumée, un dandysme maladif, Vincent Dieutre filme une déperdition, enregistre l'écho d'un ordre idéal déchu, une «perte de l'aura» comme le disait Walter Benjamin.
Aden
Le film peut déconcerter : tous ceux qui se sentent en parfaite communion avec le réel. Qui ne connaissent pas la nostalgie, ne souffrent pas de sentir sous ses doigts, comme un mur, la peau de l'autre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro Magazine
Le film s'appelle Leçons de ténèbres. Qu'il y reste.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Ni rêveur ni aventureux, il (Vincent Dieutre) construit un univers où les relations entre la peinture et la vie se figent dans le systématisme, où tout est prémédité, même ce qui semble pris sur le vif.