Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Monia Chokri s'empare de l'ère post #Metoo avec autant d'inventivité sur le fond que sur la forme.
Voici
par L.S.
A la fois saignante et pleine d'empathie pour ses personnages paumés dans leur construction et surtout leur déconstruction, cette comédie survitaminée réussit à ne condamner personne.
20 Minutes
par Caroline Vié
On rit beaucoup devant cette fantaisie originale qui flirte avec le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
Un second film encore plus radical, déroutant et drôle.
Ecran Large
par Lucas Jacqui
Monia Chokri ne pose pas juste Babysitter sur la table comme un film sur la misogynie et les femmes qui se sont oubliées, c'est aussi la démonstration de sa créativité cinématographique inspirée, pleine d'un humour noir et incisif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ecran Large
par Lucas Jacqui
Monia Chokri ne pose pas juste Babysitter sur la table comme un film sur la misogynie et les femmes qui se sont oubliées, c'est aussi la démonstration de sa créativité cinématographique inspirée, pleine d'un humour noir et incisif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Sophie Joubert
Une réjouissante exploration de la loi du désir qui appuie les stéréotypes pour mieux leur faire la peau.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec son approche du machisme et de la bien-pensance à la fois sarcastique et subtile, son comique outré et son style survolté, entre la BD, le conte de fées et le giallo, le deuxième film de l’actrice-réalisatrice Monia Chokri est d’une modernité telle qu’il devrait mieux vieillir que les clivages qu’il moque et risque de provoquer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Cette comédie 100 % québécoise interroge les rapports hommes-femmes avec une liberté de ton réjouissante et une esthétique joyeusement décalée qui joue avec les codes de la série B giallo.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Un film très piquant qui déménage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Charlotte Leloup
On retrouve là le style Chokri : poésie, humour et punchlines bien troussées.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Adaptant ici une pièce de théâtre de Catherine Léger, Monia Chokri signe un état des lieux rigolard des nouveaux rapports hommes-femmes, mais armée de la conviction, finalement pas si courante que ça, que les comédies de mœurs ne sont pas condamnées à être des trucs informes et moches à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Persistant dans la comédie, trois ans après l’enthouisasmant La Femme de mon frère, l’actrice et réalisatrice Monia Chokri signe, avec ce deuxième long métrage, un conte de fé(e)minisme stylisé et mordant, sorte de Théorème sororal dont les trouvailles visuelles rehaussent la drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Babysitter a pour lui cette pertinence de ne jamais se laisser enfermer dans un discours, d’alterner les points de vue, de ne pas faire semblant d’avoir une solution toute prête à l’équation insoluble du désir et de l’existence sociale.
Le Monde
par Murielle Joudet
Comme à son habitude, la Québécoise Monia Chokri polit tous ses plans comme si c’était le dernier, au risque de la préciosité. Dégainant à toute allure les idées visuelles, Babysitter est hanté par une peur du vide qui concerne autant la mise en scène que les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Entre baby-blues et crise de la quarantaine, et sur fond de sexisme ordinaire, Monia Chokri propose une nouvelle comédie burlesque. L’équilibre du film est malheureusement trop instable, avec un rythme parfois déroutant, en dépit d’un casting séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Figaro
par Etienne Sorin
La Québécoise Monia Chokri, qui joue l'épouse en pleine dépression post-partum, tente une satire du politiquement correct post-Metoo. Louable mais pénible à endurer, tant les acteurs sont mauvais comme des cochons.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Camille Nevers
Si le style cherchait à s’approcher du happening, sait-on jamais, à la façon des Tirs de Niki de Saint Phalle, en flinguant toutes les baudruches du couple contemporain et la virilité ridiculisée, le résultat est une charpie de coulée peinturlurée. Et une définition possible du cauchemar de film «sociétal».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Environ 83 films se succèdent ainsi dans une usante incohérence, tous sinistres et trop longs, mais d’une étale vulgarité.
Ouest France
Monia Chokri s'empare de l'ère post #Metoo avec autant d'inventivité sur le fond que sur la forme.
Voici
A la fois saignante et pleine d'empathie pour ses personnages paumés dans leur construction et surtout leur déconstruction, cette comédie survitaminée réussit à ne condamner personne.
20 Minutes
On rit beaucoup devant cette fantaisie originale qui flirte avec le fantastique.
CinemaTeaser
Un second film encore plus radical, déroutant et drôle.
Ecran Large
Monia Chokri ne pose pas juste Babysitter sur la table comme un film sur la misogynie et les femmes qui se sont oubliées, c'est aussi la démonstration de sa créativité cinématographique inspirée, pleine d'un humour noir et incisif.
Ecran Large
Monia Chokri ne pose pas juste Babysitter sur la table comme un film sur la misogynie et les femmes qui se sont oubliées, c'est aussi la démonstration de sa créativité cinématographique inspirée, pleine d'un humour noir et incisif.
L'Humanité
Une réjouissante exploration de la loi du désir qui appuie les stéréotypes pour mieux leur faire la peau.
L'Obs
Avec son approche du machisme et de la bien-pensance à la fois sarcastique et subtile, son comique outré et son style survolté, entre la BD, le conte de fées et le giallo, le deuxième film de l’actrice-réalisatrice Monia Chokri est d’une modernité telle qu’il devrait mieux vieillir que les clivages qu’il moque et risque de provoquer.
Le Journal du Dimanche
Cette comédie 100 % québécoise interroge les rapports hommes-femmes avec une liberté de ton réjouissante et une esthétique joyeusement décalée qui joue avec les codes de la série B giallo.
Le Parisien
Un film très piquant qui déménage.
Paris Match
On retrouve là le style Chokri : poésie, humour et punchlines bien troussées.
Première
Adaptant ici une pièce de théâtre de Catherine Léger, Monia Chokri signe un état des lieux rigolard des nouveaux rapports hommes-femmes, mais armée de la conviction, finalement pas si courante que ça, que les comédies de mœurs ne sont pas condamnées à être des trucs informes et moches à regarder.
Télérama
Persistant dans la comédie, trois ans après l’enthouisasmant La Femme de mon frère, l’actrice et réalisatrice Monia Chokri signe, avec ce deuxième long métrage, un conte de fé(e)minisme stylisé et mordant, sorte de Théorème sororal dont les trouvailles visuelles rehaussent la drôlerie.
Cahiers du Cinéma
Babysitter a pour lui cette pertinence de ne jamais se laisser enfermer dans un discours, d’alterner les points de vue, de ne pas faire semblant d’avoir une solution toute prête à l’équation insoluble du désir et de l’existence sociale.
Le Monde
Comme à son habitude, la Québécoise Monia Chokri polit tous ses plans comme si c’était le dernier, au risque de la préciosité. Dégainant à toute allure les idées visuelles, Babysitter est hanté par une peur du vide qui concerne autant la mise en scène que les personnages.
Les Fiches du Cinéma
Entre baby-blues et crise de la quarantaine, et sur fond de sexisme ordinaire, Monia Chokri propose une nouvelle comédie burlesque. L’équilibre du film est malheureusement trop instable, avec un rythme parfois déroutant, en dépit d’un casting séduisant.
Le Figaro
La Québécoise Monia Chokri, qui joue l'épouse en pleine dépression post-partum, tente une satire du politiquement correct post-Metoo. Louable mais pénible à endurer, tant les acteurs sont mauvais comme des cochons.
Libération
Si le style cherchait à s’approcher du happening, sait-on jamais, à la façon des Tirs de Niki de Saint Phalle, en flinguant toutes les baudruches du couple contemporain et la virilité ridiculisée, le résultat est une charpie de coulée peinturlurée. Et une définition possible du cauchemar de film «sociétal».
Positif
Environ 83 films se succèdent ainsi dans une usante incohérence, tous sinistres et trop longs, mais d’une étale vulgarité.