Mon compte
    L'Envolée
    Note moyenne
    3,5
    126 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Envolée ?

    13 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    2 critiques
    3
    9 critiques
    2
    2 critiques
    1
    0 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2021
    Une jeune gymnaste voit sa vie basculer à l’arrivée de son demi-frère.
    Un récit d’initiation solaire et attachant, à la réalisation fiévreuse soutenue par l’excellente interprétation de sa jeune héroïne Frankie Box qui compense un scénario un peu convenu.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2020
    Passionnée de gymnastique Leigh, 14 ans, vit quasi seule ; une mère décédée et un père souvent absent du domicile. Dans cette adolescence bancale débarque chez elle son demi-frère ainé dont elle ignorait l’existence. Il va l’amener à côtoyer la petite délinquance mais surtout à prendre son envol.
    Eva Riley réalise un premier long métrage plein de promesses dans la veine du cinéma social indé britannique. Dans les faubourgs de Brighton, elle a été cherchée de jeunes comédiens non professionnels prometteurs avec un accent populaire à couper au couteau. On n’est loin du british londonien. Le contexte social est parfois lourd mais les deux jeunes sont toujours légers ; c’est un plaisir de les suivre. La jeune Frankie Box est toujours solaire et malgré les coups durs démontrent au combien l’adolescence est une période de la vie géniale et intense. Eva Riley choisit de montrer son pays sous le soleil et se démarque de ses prédécesseurs pour lesquels social rime avec grisaille. Dans son souci de garder du rythme, et elle y parvient en relançant sans cesse son récit, mais provoque aussi des raccourcis scénaristiques et des ellipses un peu brouillonnes. Solaire, sincère et plein de bonnes intentions, on va attendre avec beaucoup d’impatience un second long métrage plus maitrisé
    tout-un-cinema.blogspot.com
    mat niro
    mat niro

    353 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2020
    "Petit" film attachant d'Eva Riley sur les tourments d'une jeune adolescente de Brighton passionnée de gymnastique. S'inspirant sans doute du cinéma de Ken Loach, la réalisatrice dépeint avec délicatesse la détresse familiale de la jeune Leigh, flirtant avec la la délinquance quand son demi-frère fait irruption dans sa vie. Si le sujet et la façon de le traiter ont un air de déjà-vu, Franckie Box est attachante dans sa quête d'appartenance à un groupe, et tout simplement dans son désir de reconnaissance auprès des autres. Intéressant sans être novateur.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2020
    On peut certes penser que la réalisatrice recycle Billy Elliot, Rosetta et le cinéma de Loach, sans grande originalité. Il n'empêche que le film distille un réel charme et mérite le détour, ne serait-que par la grâce de ses deux jeunes interprètes.
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 août 2020
    L’envolée c’est d’abord le portrait de Leigh, une adolescente qui a perdu tous ses repères dans la vie. Une fille qui s’est construit une carapace pour se protéger des moqueries de ses camarades et souffrant de l’absence d’amour familial. C’est avec l’apparition providentielle de ce demi-frère que notre héroïne va resplendir de nouveau. Le duo formé par Frankie Box & Alfie Deegan est le moteur de ce film et ceci est d’autant plus remarquable qu’il s’agit là de deux comédiens amateurs. Si le scénario dans l’ensemble manque d’éclat, cette première réalisation d’Eva Riley séduit par sa délicatesse, ses personnages attachants et constitue une belle découverte !
    Narnet
    Narnet

    28 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2020
    Une belle histoire de fratrie, avec un milieu social compliqué. La jeune actrice est très solaire, j'étais embarqué dans ce très beau film
    Fleon 1
    Fleon 1

    5 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 juillet 2020
    Sans grand intérêt, impression d'avoir déjà vu le film de multiples fois. Le film est court mais semble très, trop long. Le cinéma anglais nous a habitué à bien mieux.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2020
    Leigh a quatorze ans. Elle vit seule avec son père depuis le départ de sa mère. Elle n’a qu’une passion : la gymnastique qu’elle pratique intensément avec un coach qui croit en son potentiel. Tandis que s’approche une compétition importante pour laquelle Leigh s’entraîne d’arrache-pied, déboule chez elle un adolescent qui s’avère être son demi-frère. La jeune fille est fascinée par ce garçon plus vieux qu’elle et l’accompagne dans ses virées nocturnes qui prennent bientôt un tour dangereux.

    Des films sur la sortie de l’enfance mettant en scène les premiers émois amoureux d’une jeune adolescente mal dans son corps, on en a vus treize à la douzaine. Pour autant, on ne mégote pas son plaisir quand le treizième est réussi.

    C’était le pressentiment qu’on en avait en en voyant la bande annonce. On imaginait volontiers un film quelque part entre Ken Loach pour la description d’une Angleterre à la dure et de gens de peu et Andrea Arnold pour le portrait de son héroïne (son "Fish tank" restant en la matière un modèle quasi indépassable). On doit avouer une certaine déception.

    Car, passée la mise en place des caractères, la découverte de Leigh et de son milieu, l’arrivée de Joe son demi-frère, l’histoire fait du surplace. Les petits larcins de Joe auxquels il associe Leigh manquent d’enjeu. L’attraction incestueuse qu’éprouve la jeune fille pour son séduisant demi-frère suscite plus de gêne que de trouble.

    Au final, aussi grande que fut notre disposition à s’enthousiasmer, on sort de la salle indifférent et déçu.
    Laurent A.
    Laurent A.

    38 abonnés 377 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2020
    Le film aborde le thème de la fragilité de l’adolescence, cette période de la vie où l’on est plus vulnérable parce-que plus sensible au regard des autres, où l’affect est à fleur de peau et peut retentir sur un destin de vie, au positif comme au négatif… Le thème de la fratrie et de la famille est abordé avec force et sensibilité d’autant que dans ce quartier peu favorisé d’une banlieue britannique, les ados peuvent, comme partout ailleurs, réussir le meilleur mais aussi tomber dans la spirale du pire ; le thème rédempteur de l’amour est là pour nous montrer l’importance des repères familiaux ; on pense à Billy Elliot mais l’histoire est moins hollywoodienne et c’est pour cela aussi que le film en est d’autant plus fort.
    soulman
    soulman

    86 abonnés 1 218 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juillet 2020
    Un premier film entraînant, légèrement répétitif, qui vaut beaucoup pour l'interprétation de sa jeune actrice et pour la description d'un milieu modeste, où la débrouille l'emporte sur le reste. On pense forcément à Ken Loach, ce qui est plutôt bon signe, la réalisatrice ne renonçant pas cependant à filmer l'insouciance de ses personnages, dans des scènes qui permettent une certaine aération du récit.
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juillet 2020
    Même si la tentation est grande, prière de ne pas comparer L'envolée, le premier long-métrage de l'écossaise Eva Riley, avec les films de Ken Loach ou des frères Dardenne. Et encore moins avec le Fish Tank d'Andrea Arnold, au niveau difficilement atteignable. Eva Riley, résidente de Brighton, a eu la bonne idée de localiser son film dans les faubourgs de sa ville d'adoption, ce qui change agréablement de la grisaille londonienne ou mancunienne. De là à parler d’œuvre solaire, il y a un pas qu'on ne franchira pas mais L'envolée réussit à évoquer de manière juste les difficultés sociales dans un récit d'apprentissage, lequel n'est peut-être pas d'une originalité folle mais suffisamment dynamique pour qu'on oublie que son scénario manque certainement d'ampleur et délaisse presque totalement les personnages secondaires (le père) qui recélaient pourtant de belles potentialités narratives. Le portrait sensible de son héroïne, Leigh, gymnaste douée (excellente débutante Frankie Fox) et sa relation avec un demi-frère apprenti voyou, constituent la moelle épinière du film. Les scènes de sport symbolisent à merveille aussi bien la position sociale de Leigh que son état d'adolescente à la recherche d'équilibre, tantôt euphorique dans ses exercices, tantôt proche de la renonciation. Pas question en tous cas pour Eva Riley de nous emporter dans un parcours à la Billt Elliot, son but est bien tout autre. L'alchimie entre Leigh et son frère fraîchement débarqué fonctionne parfaitement et suscite la sympathie pour un film qui se revendique modeste mais n'en a pas moins une énergie et un allant communicatifs. Car si le salto vers l'inconnu est périlleux pour Leigh, il est aussi plein d'espoir et d'excitation et cela, L'envolée le retranscrit joliment.
    amafu
    amafu

    6 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2020
    Une jeune fille d'un milieu plutôt modeste, qui pratique la gymnastique artistique avec un certain talent, fait la connaissance d'un demi-frère qu'elle ne connaissait pas et qui l'entraine dans la délinquance, voilà le sujet du film. Il souffre de quelques longueurs, mais on s'attache à cette jeune fille élevée par son père, et qui semble être livrée à elle-même, de même que son frère (ils ont le même père), qui souffre sûrement du manque de mère, mais qui en trouve sans doute une de substitution dans son entraineur de gym. Et c'est dans le sport qu'elle trouve la force de redresser la barre et d'échapper au milieu douteux dans lequel l'entraîne son frère. C'est un film qui est agréable, de belles scènes sportives ainsi que la découverte de la relation fraternelle qui se fait pas à pas.
    velocio
    velocio

    1 302 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Agée de 34 ans, Eva Riley est une scénariste et réalisatrice écossaise établie à Brighton, dans le sud de l’Angleterre. Cette diplômée de la National Film and Television School a réalisé plusieurs court-métrages, dont "Patriot", présenté en compétition au Festival de Cannes 2015, avant de s’attaquer au long métrage avec "L’envolée". Un film sur un sport, la gymnastique ? Un film sur les problèmes posés à une adolescente par la perte de sa mère et l’irresponsabilité de son père ? Un film sur une Angleterre estivale à l’atmosphère lumineuse ? "L’envolée" est un peu tout cela, mais c’est surtout, c’est avant tout, un film sur l’évolution de la rencontre, arrivant alors qu’elle et lui sont déjà adolescent.e.s, entre un frère et sa sœur, ou, pour être vraiment précis, sa demi-sœur. Ils se flairent, ils se disputent, ils se rabibochent, ils se soutiennent l’un l’autre, des liens profonds se tissent. Même si Eva Riley ne peut pas être rangée (et ne veut sans doute pas l’être !) dans la lignée de Ken Loach, il y a dans son film un petit côté social, ne serait-ce que lorsque la réalisatrice montre combien le manque de moyens financiers peut handicaper une jeune adolescente dans la pratique de son sport. Quant à l’art de construire les plans, c’est une fois de plus vers les frères Dardenne qu’on peut se tourner avec cette façon de suivre très souvent de dos les personnages. Face à ces nombreuses qualités, on se contentera d’émettre un petit bémol en ce qui concerne la construction du récit, avec des transitions parfois trop abruptes d’une scène à l’autre. Pour son premier long métrage, Eva Riley rend une copie prometteuse, avec la peinture entre ombre et lumière des premiers contacts entre un frère et sa demi-sœur alors qu’il et elle sont déjà arrivé.e.s à l’adolescence. Comme son jeune personnage féminin, la réalisatrice se cherche encore un peu, mais on attendra la suite de sa carrière avec attention et espoir.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top