Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Libération
par Camille Nevers
"L’Envolée" affiche ainsi d’abord un naturalisme dru mille fois vu ; et puis, au détour d’une scène de vol d’essence, d’échappée à moto, de danse et gym au sol, il infléchit le style et se retrouve plus proche des tergiversations indociles de Catherine Breillat, celle d’"À ma sœur" ou de "36 Fillette", ou du sommet de fierté indomptable de Patricia Mazuy, "Travolta et moi".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On pense à d'autres films du cinéma social anglais mais Eva Riley fait un beau portrait d'ado perdue où les images parlent autant que les dialogues grâce à une formidable jeune actrice Frankie Box.
Culturopoing.com
par Guillaume Goujet
En dépit de son ancrage social, tourné dans les faubourgs de Brighton et accompagné d’une bande-son envoûtante, "L’Envolée" plonge son spectateur en état d’apesanteur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La rédaction
Ce premier film d'une jeune réalisatrice s'inscrit (très honorablement) dans le sillage du réalisme de Ken Loach, avec un peu de soleil et de fraîcheur en plus.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mais le film a l’originalité de ne pas stagner dans ce constat de marasme très ordinaire, en prenant un peu de hauteur grâce à la discipline de la gymnastique, qui fournit au film un soupçon de transcendance esthétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Porté par la justesse de ses acteurs, "L’Envolée" dépeint avec finesse et sobriété l’affection naissante entre ces deux adolescents livrés à eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Jamais surlignée, l'observation sociologique n'en ressort que grandie en laissant au centre de l'image le portrait crépitant d'une jeunesse en quête d'air, des premiers poils qui se hérissent, des cœurs tambourinant l'un contre l'autre sur une moto. [...] un objet minutieusement taillé, poli et équilibré dans lequel la jeune cinéaste écossaise est parvenue à un seuil remarquable de maturité et de justesse pour un premier long métrage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec ce portrait à vif d’une héroïne juvénile qui échappe aux clichés, Eva Riley, dont le style et les préoccupations rappellent lointainement Ken Loach et les films sociaux de Stephen Frears, signe un premier film fiévreux et émouvant qui donne à voir certaines réalités contemporaines de l’Angleterre.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Louise Dumas
Si l’on sent à travers ces personnages issus de milieux populaires et leur accent à couper au couteau l’influence d’une Andrea Arnold ou d’un Ken Loach, Eva Riley renouvelle la veine grâce à cette œuvre moderne et sensuelle, qui entrecroise les genres du « film sur l’adolescence » (le fameux et intraduisible coming-of-age movie), du film sur le sport et du film social.
Télérama
par Hélène Marzolf
Complicité naissante, confusion des sentiments : un premier film solaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Un premier film solaire, malgré le contexte social, dans la veine d’un Ken Loach, porté par l’énergie et l’alchimie de deux jeunes comédiens magnifiques dont l’accent est un bonheur !
CinemaTeaser
par Alex Masson
Le quotidien bousculé d'une élève gymnaste est avant tout une belle planche d'appel pour une actrice et une réalisatrice débutantes.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Eva Riley suggère plus qu’elle n'explicite. Tout en nuances, "L'Envolée" révèle une cinéaste exigeante et prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Premier film, ce « roman d’apprentissage » est inégal, mais a une énergie électrique, grâce aux deux jeunes interprètes (Alfie Deegan et Frankie Box), absolument craquants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
[...] on retiendra surtout leurs échappées juvéniles dans la campagne ou dans la rue, marquées par une très agréable impression de liberté.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par R.C.
Une comédie dramatique à l'anglaise, entre "Billy Elliot" et Ken Loach, qui, malgré quelques passages plutôt convenus s'envole avec une légèreté gracile.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce récit d’émancipation britannique compense sa faiblesse narrative par une émouvante sincérité et une belle énergie, battant au rythme des pulsations de ses protagonistes, qu’incarnent avec conviction des acteurs non-professionnels.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Plus que les prouesse d'une gymnaste, [la réalisatrice] capte le corps d'une jeune fille par fragments, pointes, bras, mains, comme un territoire à recomposer.
Le Parisien
par La rédaction
On reste un peu sur sa faim lorsque le long-métrage s'achève, mais on garde en tête l'énergie de ces gamins filmés caméra à l'épaule et campés avec une incroyable justesse par deux jeunes acteurs non professionnels.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario n'est pas des plus originaux, Eva Riley filme les deux adolescents - deux acteurs non-professionnels qui pourraient bien faire carrière, surtout lui - avec sensibilité et pudeur, dans une Angleterre ensoleillée (Brighton), loin des clichés grisonnant d'un certain cinéma social britannique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
Si le récit de "L’Envolée" ne brille pas par son originalité, Eva Riley parvient à se mettre à hauteur de sa jeune héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Aux antipodes d'un drame social larmoyant, cette histoire est solaire, pleine de tendresse, très juste sur le chamboulement des sentiments et le passage à l'âge adulte, portée par deux novices formidables.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si ce premier long-métrage offre un regard sensible et touchant sur l’adolescence, les raccourcis du scénario peuvent perturber la cohérence du récit et l’intérêt du spectateur. Mais on ne doute pas du talent certain de la jeune réalisatrice, Eva Riley.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
"L’Envolée" affiche ainsi d’abord un naturalisme dru mille fois vu ; et puis, au détour d’une scène de vol d’essence, d’échappée à moto, de danse et gym au sol, il infléchit le style et se retrouve plus proche des tergiversations indociles de Catherine Breillat, celle d’"À ma sœur" ou de "36 Fillette", ou du sommet de fierté indomptable de Patricia Mazuy, "Travolta et moi".
Ouest France
On pense à d'autres films du cinéma social anglais mais Eva Riley fait un beau portrait d'ado perdue où les images parlent autant que les dialogues grâce à une formidable jeune actrice Frankie Box.
Culturopoing.com
En dépit de son ancrage social, tourné dans les faubourgs de Brighton et accompagné d’une bande-son envoûtante, "L’Envolée" plonge son spectateur en état d’apesanteur.
Femme Actuelle
Ce premier film d'une jeune réalisatrice s'inscrit (très honorablement) dans le sillage du réalisme de Ken Loach, avec un peu de soleil et de fraîcheur en plus.
L'Humanité
Mais le film a l’originalité de ne pas stagner dans ce constat de marasme très ordinaire, en prenant un peu de hauteur grâce à la discipline de la gymnastique, qui fournit au film un soupçon de transcendance esthétique.
Les Fiches du Cinéma
Porté par la justesse de ses acteurs, "L’Envolée" dépeint avec finesse et sobriété l’affection naissante entre ces deux adolescents livrés à eux-mêmes.
Les Inrockuptibles
Jamais surlignée, l'observation sociologique n'en ressort que grandie en laissant au centre de l'image le portrait crépitant d'une jeunesse en quête d'air, des premiers poils qui se hérissent, des cœurs tambourinant l'un contre l'autre sur une moto. [...] un objet minutieusement taillé, poli et équilibré dans lequel la jeune cinéaste écossaise est parvenue à un seuil remarquable de maturité et de justesse pour un premier long métrage.
Marianne
Avec ce portrait à vif d’une héroïne juvénile qui échappe aux clichés, Eva Riley, dont le style et les préoccupations rappellent lointainement Ken Loach et les films sociaux de Stephen Frears, signe un premier film fiévreux et émouvant qui donne à voir certaines réalités contemporaines de l’Angleterre.
Positif
Si l’on sent à travers ces personnages issus de milieux populaires et leur accent à couper au couteau l’influence d’une Andrea Arnold ou d’un Ken Loach, Eva Riley renouvelle la veine grâce à cette œuvre moderne et sensuelle, qui entrecroise les genres du « film sur l’adolescence » (le fameux et intraduisible coming-of-age movie), du film sur le sport et du film social.
Télérama
Complicité naissante, confusion des sentiments : un premier film solaire.
Voici
Un premier film solaire, malgré le contexte social, dans la veine d’un Ken Loach, porté par l’énergie et l’alchimie de deux jeunes comédiens magnifiques dont l’accent est un bonheur !
CinemaTeaser
Le quotidien bousculé d'une élève gymnaste est avant tout une belle planche d'appel pour une actrice et une réalisatrice débutantes.
Franceinfo Culture
Eva Riley suggère plus qu’elle n'explicite. Tout en nuances, "L'Envolée" révèle une cinéaste exigeante et prometteuse.
L'Obs
Premier film, ce « roman d’apprentissage » est inégal, mais a une énergie électrique, grâce aux deux jeunes interprètes (Alfie Deegan et Frankie Box), absolument craquants.
La Voix du Nord
[...] on retiendra surtout leurs échappées juvéniles dans la campagne ou dans la rue, marquées par une très agréable impression de liberté.
Le Figaro
Une comédie dramatique à l'anglaise, entre "Billy Elliot" et Ken Loach, qui, malgré quelques passages plutôt convenus s'envole avec une légèreté gracile.
Le Journal du Dimanche
Ce récit d’émancipation britannique compense sa faiblesse narrative par une émouvante sincérité et une belle énergie, battant au rythme des pulsations de ses protagonistes, qu’incarnent avec conviction des acteurs non-professionnels.
Le Monde
Plus que les prouesse d'une gymnaste, [la réalisatrice] capte le corps d'une jeune fille par fragments, pointes, bras, mains, comme un territoire à recomposer.
Le Parisien
On reste un peu sur sa faim lorsque le long-métrage s'achève, mais on garde en tête l'énergie de ces gamins filmés caméra à l'épaule et campés avec une incroyable justesse par deux jeunes acteurs non professionnels.
Paris Match
Si le scénario n'est pas des plus originaux, Eva Riley filme les deux adolescents - deux acteurs non-professionnels qui pourraient bien faire carrière, surtout lui - avec sensibilité et pudeur, dans une Angleterre ensoleillée (Brighton), loin des clichés grisonnant d'un certain cinéma social britannique.
Première
Si le récit de "L’Envolée" ne brille pas par son originalité, Eva Riley parvient à se mettre à hauteur de sa jeune héroïne.
Télé 7 Jours
Aux antipodes d'un drame social larmoyant, cette histoire est solaire, pleine de tendresse, très juste sur le chamboulement des sentiments et le passage à l'âge adulte, portée par deux novices formidables.
aVoir-aLire.com
Si ce premier long-métrage offre un regard sensible et touchant sur l’adolescence, les raccourcis du scénario peuvent perturber la cohérence du récit et l’intérêt du spectateur. Mais on ne doute pas du talent certain de la jeune réalisatrice, Eva Riley.