Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce thriller âpre révèle un cinéaste prometteur en même temps que le jeune et prometteur Sverre Rous.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Envoûtante dans l'évocation des paradis artificiels, la mise en scène nous plonge avec brio dans les méandres de la gloire, de l'art et du crime.
Le Parisien
par La Rédaction
Un uppercut venu de Belgique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario est relativement classique, récit de l'impossible rédemption de deux âmes égarées à la recherche d'une épaule sur laquelle pleurer, c'est la forme qui impressionne et surtout la direction d'acteur - le jeune Sverre Rous est une révélation évidente.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par F. F.
Premier film de Jeroen Perceval, l’acteur des « Ardennes » et de « Borgman », ce récit sombre situé à Anvers fait preuve d’une belle maîtrise des codes du noir : scénario serré et rythme excellent. Et le jeune Sverre Rous est une révélation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par La Rédaction
Atmosphère glauque. Description frontale d’un univers sans issue. Mais on ne peut s’empêcher d’être happé par cette amitié improbable et fragile entre deux êtres aux antipodes.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un essai prometteur à défaut d’être abouti.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par V. Cau.
Dealer rapporte leur histoire en empruntant la forme d’une balade funèbre, légèrement affectée et pas mal répétitive. Il n’en demeure pas moins un récit puissant, rugueux, qui ne cherche pas à séduire et va à rebours des bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jérémie Couston
La filiation avec le premier film de Michaël R. Roskam s’impose doublement puisque Jeroen Perceval, acteur dans Bullhead, fait à son tour ses débuts derrière la caméra avec un polar nocturne et racé, comme une danse macabre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un vrai talent visuel. Dommage que le scénario multiplie les images d’Épinal.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Malheureusement, le dernier tiers ruine tous ces efforts et Dealer s'abandonne alors à l'attendu et au déjà-vu.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film magnifique sur la forme mais au récit bien peu emballant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Le scénario, trop riche en clichés, n'est pas à la hauteur du climat créé par le travail du directeur photo.
Première
par Thierry Chèze
Une intrigue cousue de fil blanc, des personnages qui peinent à se libérer des archétypes où les premières scènes les enferment, Dealer ne parvient jamais à être aussi percutant qu’il ambitionne. Reste l’atmosphère intense créée à l’écran par le chef op David Williamson.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par O.D.
Un premier film belge plein de bonnes intentions, mais qui s'enfonce vite dans les facilités du polar nocturne poisseux et désespéré.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Camille Nevers
Pénible et attendu, le premier film du Belge Jeroen Perceval, sur un gamin pris au piège du «milieu», se perd dans un récit saturé jusqu’à l’écœurement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Ce thriller âpre révèle un cinéaste prometteur en même temps que le jeune et prometteur Sverre Rous.
Closer
Envoûtante dans l'évocation des paradis artificiels, la mise en scène nous plonge avec brio dans les méandres de la gloire, de l'art et du crime.
Le Parisien
Un uppercut venu de Belgique.
Paris Match
Si le scénario est relativement classique, récit de l'impossible rédemption de deux âmes égarées à la recherche d'une épaule sur laquelle pleurer, c'est la forme qui impressionne et surtout la direction d'acteur - le jeune Sverre Rous est une révélation évidente.
L'Obs
Premier film de Jeroen Perceval, l’acteur des « Ardennes » et de « Borgman », ce récit sombre situé à Anvers fait preuve d’une belle maîtrise des codes du noir : scénario serré et rythme excellent. Et le jeune Sverre Rous est une révélation.
La Voix du Nord
Atmosphère glauque. Description frontale d’un univers sans issue. Mais on ne peut s’empêcher d’être happé par cette amitié improbable et fragile entre deux êtres aux antipodes.
Le Journal du Dimanche
Un essai prometteur à défaut d’être abouti.
Le Monde
Dealer rapporte leur histoire en empruntant la forme d’une balade funèbre, légèrement affectée et pas mal répétitive. Il n’en demeure pas moins un récit puissant, rugueux, qui ne cherche pas à séduire et va à rebours des bons sentiments.
Télérama
La filiation avec le premier film de Michaël R. Roskam s’impose doublement puisque Jeroen Perceval, acteur dans Bullhead, fait à son tour ses débuts derrière la caméra avec un polar nocturne et racé, comme une danse macabre.
Voici
Un vrai talent visuel. Dommage que le scénario multiplie les images d’Épinal.
CinemaTeaser
Malheureusement, le dernier tiers ruine tous ces efforts et Dealer s'abandonne alors à l'attendu et au déjà-vu.
Les Fiches du Cinéma
Un film magnifique sur la forme mais au récit bien peu emballant.
Ouest France
Le scénario, trop riche en clichés, n'est pas à la hauteur du climat créé par le travail du directeur photo.
Première
Une intrigue cousue de fil blanc, des personnages qui peinent à se libérer des archétypes où les premières scènes les enferment, Dealer ne parvient jamais à être aussi percutant qu’il ambitionne. Reste l’atmosphère intense créée à l’écran par le chef op David Williamson.
Le Figaro
Un premier film belge plein de bonnes intentions, mais qui s'enfonce vite dans les facilités du polar nocturne poisseux et désespéré.
Libération
Pénible et attendu, le premier film du Belge Jeroen Perceval, sur un gamin pris au piège du «milieu», se perd dans un récit saturé jusqu’à l’écœurement.