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L’histoire profite de son décor insolite pour pimenter son scénario de malédiction familiale de quelques rebondissements inattendus, dont une sidérante scène de projection subaquatique, probablement inédite au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Malgré quelques approximations dans l'écriture et une fin hélas précipitée, The Deep House séduit par son concept de pur film pop-corn sans complexe – à l'image de Crawl d'Alexandre Aja.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Riche en images aussi macabres que poétiques, propulsé par une poignée de scènes horrifiques malsaines, "The Deep House" est donc une série B modèle, seulement handicapée par un climax qui s'affole de façon un peu trop abrupte après une montée en pression exemplaire [...].
[...] l’inventivité du montage [fait] progresser l’action par des plans presque abstraits, propres à égarer le spectateur au sein de la topologie par ailleurs bien dessinée de la maison sous-marine.
The Deep House tient sur la promesse d'un film de maison hantée sous l'eau, et il n'y a pas beaucoup plus que ce fantasme. L'idée diabolique et fascinante tourne vite en rond, et prend la forme d'un petit train fantôme beaucoup trop classique pour entièrement satisfaire et amuser.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Malgré tout, il convient de saluer l’effort et l’originalité de cette expérience horrifique estivale qui collera quelques sueurs froides aux cinéphiles curieux de découvrir un film d'épouvante comme on n’en fait plus.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Les réalisateurs ont l'ingéniosité de situer leur action sous l'eau, créant un environnement unique, anxiogène et vite oppressant - voire claustrophobique - et relèvent le défi de prendre à contrepied nombre de clichés du genre tout en lui rendant un hommage de cinéphiles avertis.
Tourné en conditions réelles (les décors sont incroyables), ce récit terrifie avec des effets minimalistes, qui surviennent quand on s’y attend le moins. Décharges d’adrénaline garanties !
Tout en reprenant, sagement, les codes du film de maison hantée, les deux réalisateurs français apportent un peu de nouveauté au genre, grâce à un fascinant décor aquatique.
Quand le cinéma de genre français rencontre l’urbex... Avec son concept original, le nouveau film du duo Bustillo/Maury séduit par son ambition formelle. Mais, faute d’une écriture solide, l’exercice recycle des codes éculés à défaut de les réinventer.
Un film de maison hantée sous l’eau : l’idée impliquait de vrais défis de mise en scène. Las ! Tant d’efforts pour si peu d’effet. Plus l’air se fait rare, plus le scénario prend l’eau. C’est l’apnée de tous les dangers, et de tous les clichés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le film empile les clichés et les effets les plus éculés du cinéma de maison hantée avec une telle candeur qu'on se prend à s'interroger sur les motivations des cinéastes, qui livrent ici l'une des déclinaisons les plus basses du genre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Il faut attendre quarante pénibles minutes pour que le récit bascule enfin dans le fantastique, mais, hélas, sans laisser la moindre place au mystère. De l’air !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
The Deep House réunit les ingrédients d’un bon thriller horrifique et d’une excellente attraction de parc.
Le Monde
Ce long métrage renouvelle avec brio et originalité le thème du lieu hanté.
Le Parisien
L’histoire profite de son décor insolite pour pimenter son scénario de malédiction familiale de quelques rebondissements inattendus, dont une sidérante scène de projection subaquatique, probablement inédite au cinéma.
Le Point
Malgré quelques approximations dans l'écriture et une fin hélas précipitée, The Deep House séduit par son concept de pur film pop-corn sans complexe – à l'image de Crawl d'Alexandre Aja.
Mad Movies
Riche en images aussi macabres que poétiques, propulsé par une poignée de scènes horrifiques malsaines, "The Deep House" est donc une série B modèle, seulement handicapée par un climax qui s'affole de façon un peu trop abrupte après une montée en pression exemplaire [...].
Positif
[...] l’inventivité du montage [fait] progresser l’action par des plans presque abstraits, propres à égarer le spectateur au sein de la topologie par ailleurs bien dessinée de la maison sous-marine.
Rolling Stone
Mêlez deux univers et vous voilà face à la promesse de quelques montées d'adrénaline.
CinemaTeaser
Une réelle expérience de cinéma.
Ecran Large
The Deep House tient sur la promesse d'un film de maison hantée sous l'eau, et il n'y a pas beaucoup plus que ce fantasme. L'idée diabolique et fascinante tourne vite en rond, et prend la forme d'un petit train fantôme beaucoup trop classique pour entièrement satisfaire et amuser.
Filmsactu
Malgré tout, il convient de saluer l’effort et l’originalité de cette expérience horrifique estivale qui collera quelques sueurs froides aux cinéphiles curieux de découvrir un film d'épouvante comme on n’en fait plus.
L'Ecran Fantastique
Les réalisateurs ont l'ingéniosité de situer leur action sous l'eau, créant un environnement unique, anxiogène et vite oppressant - voire claustrophobique - et relèvent le défi de prendre à contrepied nombre de clichés du genre tout en lui rendant un hommage de cinéphiles avertis.
Le Journal du Dimanche
Tourné en conditions réelles (les décors sont incroyables), ce récit terrifie avec des effets minimalistes, qui surviennent quand on s’y attend le moins. Décharges d’adrénaline garanties !
Ouest France
Le scénario a des défauts, mais le défi technique est relevé avec efficacité.
Télé 7 Jours
Tout en reprenant, sagement, les codes du film de maison hantée, les deux réalisateurs français apportent un peu de nouveauté au genre, grâce à un fascinant décor aquatique.
Les Fiches du Cinéma
Quand le cinéma de genre français rencontre l’urbex... Avec son concept original, le nouveau film du duo Bustillo/Maury séduit par son ambition formelle. Mais, faute d’une écriture solide, l’exercice recycle des codes éculés à défaut de les réinventer.
L'Obs
Un film de maison hantée sous l’eau : l’idée impliquait de vrais défis de mise en scène. Las ! Tant d’efforts pour si peu d’effet. Plus l’air se fait rare, plus le scénario prend l’eau. C’est l’apnée de tous les dangers, et de tous les clichés.
Première
Le film empile les clichés et les effets les plus éculés du cinéma de maison hantée avec une telle candeur qu'on se prend à s'interroger sur les motivations des cinéastes, qui livrent ici l'une des déclinaisons les plus basses du genre.
Télérama
Il faut attendre quarante pénibles minutes pour que le récit bascule enfin dans le fantastique, mais, hélas, sans laisser la moindre place au mystère. De l’air !