Thee Wreckers Tetralogy - Un trip rock de Rosto : Critique presse
Thee Wreckers Tetralogy - Un trip rock de Rosto
Note moyenne
3,3
11 titres de presse
Mad Movies
CinemaTeaser
L'Humanité
Positif
Télérama
L'Obs
Les Inrockuptibles
Libération
Rolling Stone
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Délicieusement grotesque, "Thee Wreckers Tetralogy" est un trip sensoriel ponctué de visions dantesques [...], une proposition singulière et impertinente donc, imprégnée de la première à la dernière image de la folie de son créateur.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Les angoisses de l'auteur suintent dans un univers de cauchemars surréalistes mais sont transcendées par l'inventivité d'un alchimiste des techniques d'animation modernes ou primitives [...].
L'Humanité
par Vincent Ostria
"Thee Wreckers Tetralogy" a l’ampleur d’un mini-opéra rock ressassant et déclinant de façon variée le même type de vision et d’obsession morbides, proches du style gothique [...].
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Denitza Bantcheva
L’ensemble, y compris les chansons sur lesquelles se déroulent les images, captive par son art de sublimer le morbide, et donne envie de mieux connaître l’œuvre de Rosto.
Télérama
par Jérémie Couston
Quatre courts métrages, trésors de gothique et d’absurde, de l’artiste protéiforme Rosto, mort il y a un an.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce programme, qui aurait sa place dans l’émission « Tracks » sur Arte, n’a d’autre vocation que de célébrer ce franc-tireur dont on serait bien en peine de suivre l’évolution.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Quatre courts métrages qui ne relatent non pas les chapitres d'un récit linéaire mais l’itinéraire d’un créateur dont les images s’enrichissent et gagnent en sensibilité et en virtuosité technique d’épisode en épisode, jusqu’à atteindre une formidable maîtrise dans les deux derniers opus. Invitation à un voyage onirique et sombre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Si cette immersion prolongée peut rasséréner un spectateur plongé pour la première fois dans cet univers, à l’inverse elle peut aussi provoquer un sentiment d’asphyxie en laissant trop paraître les références conscientes ou non de Rosto (Marc Caro, Vaughan Oliver, Dave McKean).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par La rédaction
Ce film d’animation tourné avec l’utilisation de plusieurs techniques – présentées en détail à la fin de ce moyen métrage – relève plus donc de l’exercice de style afin de servir de clip géant dont certains passages sont réellement enthousiasmants.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Le Monde
par La rédaction
[Une] œuvre déroutante.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Peut-être cela intéressera-t-il les fans des Wreckers. Sinon laissez toute espérance de voir du cinéma, vous qui entrerez dans la salle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
Délicieusement grotesque, "Thee Wreckers Tetralogy" est un trip sensoriel ponctué de visions dantesques [...], une proposition singulière et impertinente donc, imprégnée de la première à la dernière image de la folie de son créateur.
CinemaTeaser
Les angoisses de l'auteur suintent dans un univers de cauchemars surréalistes mais sont transcendées par l'inventivité d'un alchimiste des techniques d'animation modernes ou primitives [...].
L'Humanité
"Thee Wreckers Tetralogy" a l’ampleur d’un mini-opéra rock ressassant et déclinant de façon variée le même type de vision et d’obsession morbides, proches du style gothique [...].
Positif
L’ensemble, y compris les chansons sur lesquelles se déroulent les images, captive par son art de sublimer le morbide, et donne envie de mieux connaître l’œuvre de Rosto.
Télérama
Quatre courts métrages, trésors de gothique et d’absurde, de l’artiste protéiforme Rosto, mort il y a un an.
L'Obs
Ce programme, qui aurait sa place dans l’émission « Tracks » sur Arte, n’a d’autre vocation que de célébrer ce franc-tireur dont on serait bien en peine de suivre l’évolution.
Les Inrockuptibles
Quatre courts métrages qui ne relatent non pas les chapitres d'un récit linéaire mais l’itinéraire d’un créateur dont les images s’enrichissent et gagnent en sensibilité et en virtuosité technique d’épisode en épisode, jusqu’à atteindre une formidable maîtrise dans les deux derniers opus. Invitation à un voyage onirique et sombre.
Libération
Si cette immersion prolongée peut rasséréner un spectateur plongé pour la première fois dans cet univers, à l’inverse elle peut aussi provoquer un sentiment d’asphyxie en laissant trop paraître les références conscientes ou non de Rosto (Marc Caro, Vaughan Oliver, Dave McKean).
Rolling Stone
Ce film d’animation tourné avec l’utilisation de plusieurs techniques – présentées en détail à la fin de ce moyen métrage – relève plus donc de l’exercice de style afin de servir de clip géant dont certains passages sont réellement enthousiasmants.
Le Monde
[Une] œuvre déroutante.
Les Fiches du Cinéma
Peut-être cela intéressera-t-il les fans des Wreckers. Sinon laissez toute espérance de voir du cinéma, vous qui entrerez dans la salle.