Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Positif
par Jean-Loup Bourget
Sinuant autour d’un naturalisme tempéré par des incursions dans le récit initiatique, le film déjoue toutes les attentes et s’avère riche en propositions cinématographiques.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Une réalisatrice sensible, qui fait déjà preuve d’une belle maîtrise de son art (...).
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
On regrettera un basculement final dans un excès démonstratif, qui ébranle l'équilibre du film. Malgré cette réserve, Fernanda Valadez signe un premier long métrage osé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le hors-champ menaçant, les bruits qui surgissent de l’obscurité et l’immensité anxiogène du Scope nous plongent dans un cauchemar mortifère, sublimé par la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un film comme une fable hantée, ancrée dans un contexte contemporain d’une rare violence pour en tirer la quintessence d’un récit initiatique, parabole intemporelle et universelle de l’amour absolu d’une mère pour un fils.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film splendide, imprégné d’une inquiétante étrangeté, qui brille par sa maîtrise formelle et narrative.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Une réussite remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec Sans signe particulier, son premier film prometteur, la cinéaste mexicaine Fernanda Valadez met en scène les réalités les plus sombres de son pays natal et, sans jamais s’abîmer dans la sensiblerie et la complaisance, retrace la quête d’une femme « ordinaire » confrontée à l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Christophe Narbonne
Que reste-t-il de notre humanité quand la barbarie est à nos portes, prête à nous engloutir ? Fernanda Valadez y répond magnifiquement par le dénouement le plus terrassant de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Hybride et anxiogène, ce premier film mexicain est un véritable coup de force cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Si l'intrigue n'est pas très originale (…) le film creuse quelques pistes nouvelles dans ce genre de drames. (…). Le film se distingue aussi dans sa manière patiente d'inscrire ses personnages dans le paysage, notamment celui du désert, principal décor de la deuxième partie, qui prend une allure de road-movie.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le dénouement, terrible et puissant, donne du relief à une trame minimaliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un périple intime déroulé en plein air, se mesurant à la question de l'obscénité par une épure qui signalera ce film à l'intention des cinéphiles.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce beau film de la réalisatrice mexicaine, Fernanda Valadez, accompagne la route d’une mère sur les traces de son fils.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans sa simplicité, l’histoire touche, impressionne. Son traitement, en revanche, questionne : d’abord très informative, presque comme un documentaire, cette fiction change de registre pour devenir plus poétique, voire fantastique. Même la fin, qui offre au film sa scène la plus forte, ressemble à un début…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La réalisatrice n’a pas été loin de réussir un grand film, mais trop de poésie, trop d’art, parfois, nuisent aux films.
Libération
par Laura Tuillier
Un nouveau tableau de l’hyperviolence qui gangrène le Mexique, guère convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
Sinuant autour d’un naturalisme tempéré par des incursions dans le récit initiatique, le film déjoue toutes les attentes et s’avère riche en propositions cinématographiques.
Culturopoing.com
Une réalisatrice sensible, qui fait déjà preuve d’une belle maîtrise de son art (...).
L'Humanité
On regrettera un basculement final dans un excès démonstratif, qui ébranle l'équilibre du film. Malgré cette réserve, Fernanda Valadez signe un premier long métrage osé.
L'Obs
Le hors-champ menaçant, les bruits qui surgissent de l’obscurité et l’immensité anxiogène du Scope nous plongent dans un cauchemar mortifère, sublimé par la mise en scène.
La Septième Obsession
Un film comme une fable hantée, ancrée dans un contexte contemporain d’une rare violence pour en tirer la quintessence d’un récit initiatique, parabole intemporelle et universelle de l’amour absolu d’une mère pour un fils.
Le Journal du Dimanche
Un film splendide, imprégné d’une inquiétante étrangeté, qui brille par sa maîtrise formelle et narrative.
Les Fiches du Cinéma
Une réussite remarquable.
Marianne
Avec Sans signe particulier, son premier film prometteur, la cinéaste mexicaine Fernanda Valadez met en scène les réalités les plus sombres de son pays natal et, sans jamais s’abîmer dans la sensiblerie et la complaisance, retrace la quête d’une femme « ordinaire » confrontée à l’horreur.
Première
Que reste-t-il de notre humanité quand la barbarie est à nos portes, prête à nous engloutir ? Fernanda Valadez y répond magnifiquement par le dénouement le plus terrassant de l’année.
aVoir-aLire.com
Hybride et anxiogène, ce premier film mexicain est un véritable coup de force cinématographique.
Cahiers du Cinéma
Si l'intrigue n'est pas très originale (…) le film creuse quelques pistes nouvelles dans ce genre de drames. (…). Le film se distingue aussi dans sa manière patiente d'inscrire ses personnages dans le paysage, notamment celui du désert, principal décor de la deuxième partie, qui prend une allure de road-movie.
Le Figaro
Le dénouement, terrible et puissant, donne du relief à une trame minimaliste.
Le Monde
Un périple intime déroulé en plein air, se mesurant à la question de l'obscénité par une épure qui signalera ce film à l'intention des cinéphiles.
Sud Ouest
Ce beau film de la réalisatrice mexicaine, Fernanda Valadez, accompagne la route d’une mère sur les traces de son fils.
Télérama
Dans sa simplicité, l’histoire touche, impressionne. Son traitement, en revanche, questionne : d’abord très informative, presque comme un documentaire, cette fiction change de registre pour devenir plus poétique, voire fantastique. Même la fin, qui offre au film sa scène la plus forte, ressemble à un début…
Les Inrockuptibles
La réalisatrice n’a pas été loin de réussir un grand film, mais trop de poésie, trop d’art, parfois, nuisent aux films.
Libération
Un nouveau tableau de l’hyperviolence qui gangrène le Mexique, guère convaincant.