Interdit aux chiens et aux Italiens : Critique presse
Interdit aux chiens et aux Italiens
Note moyenne
3,9
26 titres de presse
Bande à part
L'Ecran Fantastique
Le Parisien
Télé Loisirs
Télérama
20 Minutes
Ecran Large
Femme Actuelle
Franceinfo Culture
L'Obs
La Croix
Le Monde
Les Echos
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Marianne
Ouest France
aVoir-aLire.com
Critikat.com
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Libération
Positif
Première
Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Hélène Robert
Poétiser l’environnement et les actions de sa lignée est une manière pour Alain Ughetto de lui redonner l’innocence et la joie dont elle a été privée.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Ecran Fantastique
par Laurent Silvestrini
Alternant l’humour façon comédie sociale italienne de la grande époque (Monicelli, Scola, Risi), sujets graves [...] et effets de style lorgnant du côté du cinéma fantastique des origines à la Méliès, l’auteur nous invite à un fabuleux voyage poético-réaliste dans les trésors enfouis de son passé dont la puissance d’évocation vise à concilier histoire intime et universalité dans ce que la condition humaine contient de plus précieux et de plus inaltérable : la transmission et la mémoire.
Le Parisien
par La Rédaction
Le résultat s’avère prodigieux tant sur le fond que sur la forme : voilà un film étonnant, drôle, bouleversant, hypercréatif, mélange d’histoire, d’art et de bidouillages qui peut enchanter de 7 à 77 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par S.O.
[Une] bouleversante saga familiale, très justement récompensée au Festival du film d'animation d'Annecy.
Télérama
par Guillemette Odicino
Ses aïeuls ont fui la pauvreté en Italie et migré en France. Le cinéaste retrace leur odyssée et leur rend hommage dans ce film magnifique, pétri de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film pudique, poétique et militant est réalisé avec des marionnettes animées image par image.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Déborah Lechner
Interdit aux chiens et aux Italiens est une très belle histoire de famille doublée d'une lettre d'amour passionnée pour l'animation en volume.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
La technique du stop motion permet de tout raconter avec une sorte de tendresse, d'innocence touchante, qui adoucit les réalités les plus dures.
Franceinfo Culture
par Christophe Airaud
Avec "Interdit aux chiens et aux Italiens", Alain Ughetto fait de l'histoire de sa famille un récit universel empreint de douleur, de solidarité et de fraternité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film magnifique et tous publics.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Le cinéaste marseillais Alain Ughetto livre un film magnifique, à la fois bouleversant et joyeux, sur la transmission de l’histoire de ses grands-parents, migrants du Piémont ayant fui la misère et le fascisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Un hommage intimiste à ces migrants qui ont construit la France.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ce film d'animation réalisé en pâte à modeler captive du premier au dernier plan.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Après son triomphe au dernier Festival d’animation d’Annecy, Interdit aux chiens et aux Italiens réaffirme la force de l’animation française. Une œuvre en stop motion est ingénieuse et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le réalisateur réussit le petit miracle de raconter les drames, les peines, les jours, le labeur et la misère, et d’y mêler de l’humour, notamment grâce à ses trouvailles d’animateur : les têtes de brocoli deviennent des arbres ; les morceaux de sucre, des briques de chantier ; le carton, du bois, etc.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction à la fois intime et historique séduit avec son évocation sensible de réalités douloureuses et avec… ses personnages façonnés en pâte à modeler.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Matthieu Belleni
Une fresque émouvante.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un chef-d’œuvre d’animation pour saluer le courage de ces Italiens exilés bien déterminés à se faire une place dans la France xénophobe du début du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
À travers les outils d’animation à sa disposition, Ughetto vise par endroits une forme d’étrangeté composite qui, au-delà de son aspect souvent comique, interroge l’élasticité même des souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par E.S.
Alain Ughetto retrace l'histoire de son grand-père Luigi, travailleur nomade comme tant d'autres Italiens au début du XXe siècle, passant d'un chantier à l'autre en France. Il le fait en « stop motion » et avec une belle inventivité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce film bref - pas spécialement adressé aux petits enfants qui sauront malgré tout en savourer la magie visuelle - détonne par son originalité et la précision de son enquête richement illustrée, relevant le courage et l'endurance d'émigrés ballottés dans la grande histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Péron
On est d’abord séduit par un geste élégant de fabrication artisanale et de récup [...] où la main du cinéaste vient s’insérer dans le plan pour déplacer des éléments. Mais cette scénographie de jeu d’enfant et le ton du récit, emprunt d’une sentimentalité un peu douceâtre, finissent aussi par créer une atmosphère paradoxalement étouffante quand on imaginait une ouverture romanesque, des destins frappés par la singularité des parcours et dont on devine le fort caractère à travers les quelques photos que le cinéaste interpose dans son film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Avec cette histoire qui commence par je et glisse vers nous, Alain Ughetto rend leur noblesse à « des gens qui, sans se cacher ont été invisibles ».
Première
par Thierry Chèze
Et Ughetto se réveille un merveilleux conteur tant dans la forme (une animation poétique et ludique, mêlant marionnettes et stop motion en se servant de ce qui constituait le quotidien de ses ancêtres - du charbon de bois aux châtaignes - pour bâtir les décors) que sur le fond (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Alain Ughetto se souvient avec délicatesse du rude parcours de ses ancêtres, venus du Piémont trouver du travail en France
Cahiers du Cinéma
par Maud Gacel
Si ces effets de mise à distance créent quelques moments émouvants (comme lorsque Cesira tend un café à son petit-fils géant), ils alourdissent par ailleurs le film d’un discours trop théorique.”
Bande à part
Poétiser l’environnement et les actions de sa lignée est une manière pour Alain Ughetto de lui redonner l’innocence et la joie dont elle a été privée.
L'Ecran Fantastique
Alternant l’humour façon comédie sociale italienne de la grande époque (Monicelli, Scola, Risi), sujets graves [...] et effets de style lorgnant du côté du cinéma fantastique des origines à la Méliès, l’auteur nous invite à un fabuleux voyage poético-réaliste dans les trésors enfouis de son passé dont la puissance d’évocation vise à concilier histoire intime et universalité dans ce que la condition humaine contient de plus précieux et de plus inaltérable : la transmission et la mémoire.
Le Parisien
Le résultat s’avère prodigieux tant sur le fond que sur la forme : voilà un film étonnant, drôle, bouleversant, hypercréatif, mélange d’histoire, d’art et de bidouillages qui peut enchanter de 7 à 77 ans.
Télé Loisirs
[Une] bouleversante saga familiale, très justement récompensée au Festival du film d'animation d'Annecy.
Télérama
Ses aïeuls ont fui la pauvreté en Italie et migré en France. Le cinéaste retrace leur odyssée et leur rend hommage dans ce film magnifique, pétri de poésie.
20 Minutes
Ce film pudique, poétique et militant est réalisé avec des marionnettes animées image par image.
Ecran Large
Interdit aux chiens et aux Italiens est une très belle histoire de famille doublée d'une lettre d'amour passionnée pour l'animation en volume.
Femme Actuelle
La technique du stop motion permet de tout raconter avec une sorte de tendresse, d'innocence touchante, qui adoucit les réalités les plus dures.
Franceinfo Culture
Avec "Interdit aux chiens et aux Italiens", Alain Ughetto fait de l'histoire de sa famille un récit universel empreint de douleur, de solidarité et de fraternité.
L'Obs
Un film magnifique et tous publics.
La Croix
Le cinéaste marseillais Alain Ughetto livre un film magnifique, à la fois bouleversant et joyeux, sur la transmission de l’histoire de ses grands-parents, migrants du Piémont ayant fui la misère et le fascisme.
Le Monde
Un hommage intimiste à ces migrants qui ont construit la France.
Les Echos
Ce film d'animation réalisé en pâte à modeler captive du premier au dernier plan.
Les Fiches du Cinéma
Après son triomphe au dernier Festival d’animation d’Annecy, Interdit aux chiens et aux Italiens réaffirme la force de l’animation française. Une œuvre en stop motion est ingénieuse et bouleversante.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur réussit le petit miracle de raconter les drames, les peines, les jours, le labeur et la misère, et d’y mêler de l’humour, notamment grâce à ses trouvailles d’animateur : les têtes de brocoli deviennent des arbres ; les morceaux de sucre, des briques de chantier ; le carton, du bois, etc.
Marianne
Cette fiction à la fois intime et historique séduit avec son évocation sensible de réalités douloureuses et avec… ses personnages façonnés en pâte à modeler.
Ouest France
Une fresque émouvante.
aVoir-aLire.com
Un chef-d’œuvre d’animation pour saluer le courage de ces Italiens exilés bien déterminés à se faire une place dans la France xénophobe du début du XXe siècle.
Critikat.com
À travers les outils d’animation à sa disposition, Ughetto vise par endroits une forme d’étrangeté composite qui, au-delà de son aspect souvent comique, interroge l’élasticité même des souvenirs.
Le Figaro
Alain Ughetto retrace l'histoire de son grand-père Luigi, travailleur nomade comme tant d'autres Italiens au début du XXe siècle, passant d'un chantier à l'autre en France. Il le fait en « stop motion » et avec une belle inventivité.
Le Journal du Dimanche
Ce film bref - pas spécialement adressé aux petits enfants qui sauront malgré tout en savourer la magie visuelle - détonne par son originalité et la précision de son enquête richement illustrée, relevant le courage et l'endurance d'émigrés ballottés dans la grande histoire.
Libération
On est d’abord séduit par un geste élégant de fabrication artisanale et de récup [...] où la main du cinéaste vient s’insérer dans le plan pour déplacer des éléments. Mais cette scénographie de jeu d’enfant et le ton du récit, emprunt d’une sentimentalité un peu douceâtre, finissent aussi par créer une atmosphère paradoxalement étouffante quand on imaginait une ouverture romanesque, des destins frappés par la singularité des parcours et dont on devine le fort caractère à travers les quelques photos que le cinéaste interpose dans son film.
Positif
Avec cette histoire qui commence par je et glisse vers nous, Alain Ughetto rend leur noblesse à « des gens qui, sans se cacher ont été invisibles ».
Première
Et Ughetto se réveille un merveilleux conteur tant dans la forme (une animation poétique et ludique, mêlant marionnettes et stop motion en se servant de ce qui constituait le quotidien de ses ancêtres - du charbon de bois aux châtaignes - pour bâtir les décors) que sur le fond (...).
Sud Ouest
Alain Ughetto se souvient avec délicatesse du rude parcours de ses ancêtres, venus du Piémont trouver du travail en France
Cahiers du Cinéma
Si ces effets de mise à distance créent quelques moments émouvants (comme lorsque Cesira tend un café à son petit-fils géant), ils alourdissent par ailleurs le film d’un discours trop théorique.”