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Thierry B.
20 abonnés
137 critiques
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1,0
Publiée le 2 décembre 2024
Ne vous fiez pas aux 5 étoiles. Toutes bidons. Ne pensez ni voir style " Ghost " ni " Ghostbusters " mais plutôt un film assez dépressif. Un comble pour une comédie. Ne vous fiez pas à la bande annonce. On s'ennuie assez vite malgré le tout très bon début. Pour ceux qui veulent mater les fesses et les seins de Louise Bourgouin.
voyant que ce film n'était pas si mal noté j'ai tenté de le regarder et il est totalement insipide, ça aurait pû être drôle, ça aurait pû être touchant, ça aurait pû être touchant, hélas rien de tout ça, un film fade où il ne se passe pas grand chose, que diable est venue faire Louise Bourgoin là dedans... aussitôt vu ce film sera pour moi aussitôt oublié et j'ai de sérieux doutes sur tous ces avis qui s'extasient
Le Médium possède un scénario de comédie puisque le fils profite de la réputation de médium de sa mère, et commence à raconter n'importe quoi pour se débarrasser des gens qui le harcèlent de questions, mais il commence à avoir de véritables dons et tout se complique.
Pourtant, ce n'est pas un simple montage de sketchs, c'est un film d'une grande légèreté et simplicité qui parle du deuil avec humour et un peu d'absurde. J'aime beaucoup les personnages qui se laissent aller à leurs envies spontanées, en particulier le jeu de Louise Bourgouin qui ne m'a jamais déçu. Une romance se dessine avec une certaine lenteur et esthétique, j'ai beaucoup aimé ce ton relaxant et sans prétention. Touchant et sensible.
Michaël, fils d'une médium, refuse de lui succéder à sa mort, mais sa rencontre avec Alicia va le faire changer d'avis. Une décision intéressée qu'il va devoir assumer jusqu'au bout... Avec son premier long-métrage, Emmanuel Laskar explore la relation avec les morts de deux personnages hantés par leur passé. Une fable douce-amère peu convaincante que ce soit en tant que comédie de fantôme ponctuée de quelques apparitions ou en tant que romance avec une relation maladroite qui manque cruellement de charme. Entre la mélancolie et le burlesque, c'est un film qui ne se sait pas où se situer et qui manque à la fois de rythme et plus important d'enjeux. Bref, je ne mets pas une plus mauvaise note, car c'est court, mais c'est un film sans intérêt et ennuyeux.
Petit film d'1h15 très doux, plutôt original et teinté de mélancolie. Certes de par son scénario il n'est pas forcément accessible à tous, mais le casting et la musique lui apportent beaucoup de charme et on se laisse emporter, par les belles images et la tendresse de l'histoire.
Bonjour à tous, J'aurais mis 4,5 si la fin ne m'avait pas autant attristée et frustrée. J'ai ressenti tellement de tristesse lorsque la vieille dame tire d'un coup sec sur la laisse du teckel en l'engueulant. lui qui ne sait pas que c'est du cinéma et qui se demande ce qui lui arrive. Son regard était terrorisé. J'ai détesté ce moment qui n'était vraiment pas nécessaire et n'apporte rien au film. Du coup, je me demande quel fut l'émotion du chien qui a été jeté dans la piscine... :O Quant à la fin où on fait appel à un exorcisme (j'essaie de ne pas spoiler) est tellement déplacé car sous-entend que notre don est satanique.. J'ai trouvé cela ridicule et détestable. Pour le reste c'est une histoire romantique mignonne. Doum.
Film attachant, à l'ambiance fin de saison estivale au Sud de la France. Ensuite, selon ses croyances, on pourra soit regretter le côté surnaturel, pas toujours limpide, soit s'extasier face une inspiration de tous les instants avec une bonne dose d'humour liée à son téléphone, une simplicité douce et romantique. On ajoutera une superbe composition de Louise Bourgoin. Les décors naturels et ces couleurs de couchers de soleil sont magnifiques. Bien que la mort constitue le point de départ du scénario, et soit présente en toile de fond, la performance de comédien réalisateur Emmanuel Laskar, mélancolique, un peu triste, saura inverser le courant vers des ondes positives, un charme et une douceur reposants, et un étonnant divertissement amusant.....!!**
La trentaine, carrément à l’ouest, Michael (Emmanuel Laskar, des faux airs d’Edouard Baer) est au tournant de sa vie. Sa copine le plaque le jour de l’enterrement de sa mère (Noémie Lvovsky). Sa sœur (Maud Wyler) est persuadée que Michael a hérité d’elle ses dons de médium et l’incite à marcher dans sa voie. Quand une jeune veuve (Louise Bourgoin) vient lui demander de l’aider à se libérer du fantôme de son mari, Michael, sous le charme, accepte de l’aider.
Acteur des "Chiens de Navarre", la troupe de comédiens électrisés fondée par Jean-Christophe Meurisse, Emmanuel Laskar a tourné deux courts-métrages avant de réaliser son premier long. Il en tient le rôle principal, mais s’entoure d’actrices reconnues. Louise Bourgoin, toujours aussi séduisante, y tient un rôle improbable de veuve pas vraiment joyeuse mais plus si triste ; Noémie Lvovsky déploie toujours la même verve, cette fois-ci d’outre-tombe ; Maud Wyler confirme qu’elle est décidément la meilleure BFF ("Best Friend Forever") de cinéma qui soit. Emmanuel Laskar a choisi de tourner dans le Var, dans une région qui m’est chère et que bizarrement le cinéma boude alors qu’elle est tellement cinégénique. On reconnaît le village de Collobrières niché au cœur du massif des Maures, l’abbaye du Thoronet et la plage de l’Almanarre, où j’allais me baigner enfant, avec à l’arrière-plan les îles d’Hyères. Le tout filmé durant un splendide été indien, vidé des touristes qui y affluent en juillet-août.
"Le Médium" hésite entre deux registres. Ce n’est ni une comédie burlesque sur un métier suspecté de charlatanerie ni un drame sur la mort et les moyens d’en exorciser la peur. Cet entre-deux se justifie – on aurait reproché au réalisateur d’être trop léger s’il avait penché vers la comédie et trop grave s’il avait penché vers le drame – mais il n’en est pas moins inconfortable. "Le Médium" cherche le bon ton mais les quatre-vingts minutes que dure le film ne lui laissent pas le temps de le trouver.
Joss ce film est plein d'humour, de tendresse, de poésie...il traite d'un sujet difficile avec beaucoup de tact et de talent! bravo pour le jeu des acteurs, bravo aussi pour le choix du cadre exceptionnel. Je recommande à tous d'aller le voir et de prendre le même plaisir que j'ai moi même éprouvé lors de son passage à Nice.
Ca nous a fait du bien! Voici les mots prononcés par des spectateurs au sortir de la séance. Un film d’auteur assurément. Aux antipodes des comédies cellophanées. Ici le temps se prend, les regards s’échangent, les vagues se brisent. Le charme agit et les rires surgissent de petits riens. Avec humanité et fragilité, Emmanuel LASKAR questionne la relation entre les morts et les vivants. Comment aurait-il pu faire autrement? L’humour cimente le tout avec humilité et sans moquerie. Le réalisateur nous promène dans ses quartiers d’été. On sent le vent chaud et le sel sur nos joues. Le soleil, la fantaisie et autant de silences qu’il faut pour nous entendre respirer un peu. Alors oui, que ça fait du bien!
À la mort de sa mère, Michael hérite de talents de voyances et de contact avec les personnes disparues. Il va accepter d’endosser ce rôle pour une femme dans le deuil de la perte de son mari. Le film est sans grand intérêt mis à part l’excellent jeu d’acteur de Louise Bourgoin.
Envie de soleil ? Ce film est une découverte inattendue et très originale en ce début d’été. On s’y sent bien dans ce Médium qui déploie son récit surnaturel, où fantômes et vivants cohabitent, dans les décors somptueux de la Côte d’Azur. Une histoire d’amour singulière, une comédie rafraichissante au rythme étonnant, qui donne envie de vivre, de s’ouvrir à l’autre, de tomber amoureux… et de se baigner dans la Méditerranée. Je recommande chaudement.
Où est la vie ? Qu’est-ce qui est vivant ? Qu’est-ce qui est déjà mort ? Ce thème qui pourrait être pesant, lourd, trop sérieux, est ici est traité avec légèreté et simplicité, et pourtant non sans profondeur. J’ai été conquis par la lumière du sud et la douce poésie qui se dégage de ce film. Et puis par l’humour absurde et poétique, qui nous réveille l’âme.
Un regret toutefois : j’aurais vraiment aimé savoir davantage ce qui se passe dans la tête du personnage Mickaël, qui découvre au cours du film son don de médium. Qu’est-ce que cette découverte lui fait ? Comment le vit-il vis-à-vis de sa mère, qui était elle-même médium ? Et qu’est-ce que provoque chez lui la rencontre avec Alicia ?
Nous n’aurons pas de réponse claire à ces questions. Cette absence de discours m’a fait penser au cinéma de Jacques Tati, où le personnage vit les choses au premier degré, sans réflexivité. Mais contrairement aux films de Tati, Le Médium développe une intrigue très narrative. C’est cet entre-deux qui, peut-être, ne fonctionne pas tout à fait. Mais qui ne nous gâche pas pour autant le plaisir, loin de là !