Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Dans Le Médium, on demande encore aux esprits s’ils sont là, mais Emmanuel Laskar invite à sa façon, sur le terrain de la comédie, à interroger les codes de l’imaginaire spirite.
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Grâce à son talent, son ton décalé, délicatement irrévérencieux et franchement joyeux, le cinéaste fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Stéréotypes du masculin et du féminin redessinés, Emmanuel Laskar déploie cette histoire dans une mise en scène sur le fil, prenant le risque de glisser parfois dans le grotesque. Mais il parvient à maintenir presque tout au long du film la corde à l'endroit juste, en jouant la parodie sans tomber dans la caricature d'un genre rarement exploré sous cet angle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Quélou Parente
Un film agréable qui déroule son histoire tout en douceur et en auto-dérision.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Une romance surnaturelle mélancolique et naïve, charmante malgré ses maladresses.
Libération
par Clément Colliaux
Comédie lunaire, le premier film du cinéaste français, étonnant et éparpillé, affirme un goût du pas de côté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par G.E.
Une belle idée de comédie romantique en mode fantastique.
Ouest France
par La Rédaction
Le résultat, inégal, est cependant dominé par une folie douce qui confère un charme irrésistible.
Télérama
par Guillemette Odicino
Délicieux comme une grenadine au coucher du soleil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J. Ma.
Les deux éclopés finiront par se rapprocher entre la chaleur sensuelle du Sud et la froidure des morts qui nous abandonnent, dans une fable dont la douce fantaisie finit hélas par entamer notre croyance dans le récit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Sous le soleil du Var, on suit les hésitations de cet homme naïf et totalement paumé et on s’amuse parfois des situations loufoques dans lesquelles il se retrouve malgré lui. Les apparitions de sa mère, débarquée de l’au-delà et incarnée par Noémie Lvovsky, sont savoureuses. Mais on peine ensuite à s’intéresser à cette histoire qui, curieusement, manque de « vision » et ne va au bout d’aucune piste, ni celle de la romance ni celle du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
« Je voulais faire une parabole sur la mort en évitant l'esprit de sérieux », dit le cinéaste-acteur qui, faute d'un scénario charpenté et d'un vrai suspense, tourne un peu en rond avant de trouver un dénouement banal. Le tout est effectivement léger, sans surprise malgré la présence de Louise Bourgoin.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thierry Chèze
Laskar assume le côté bric et broc de l’ensemble et son flirt poussé avec le ridicule côté réalisation dans ses mises en image très premier degré des apparitions de spectres. Son Medium évolue sur un fil dont il chute aussi souvent qu’il y remonte. Où, en admirateur de Blake Edwards, il s’essaie lui aussi à associer burlesque échevelé et lenteur dans sa confection des gags. La marche est trop haute mais un charme fou opère.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Un premier film un peu trop sage, dont les maladresses sont toutefois rachetées par un charme certain. Emmanuel Laskar est un talent à suivre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Dans Le Médium, on demande encore aux esprits s’ils sont là, mais Emmanuel Laskar invite à sa façon, sur le terrain de la comédie, à interroger les codes de l’imaginaire spirite.
Culturopoing.com
Grâce à son talent, son ton décalé, délicatement irrévérencieux et franchement joyeux, le cinéaste fait mouche.
Franceinfo Culture
Stéréotypes du masculin et du féminin redessinés, Emmanuel Laskar déploie cette histoire dans une mise en scène sur le fil, prenant le risque de glisser parfois dans le grotesque. Mais il parvient à maintenir presque tout au long du film la corde à l'endroit juste, en jouant la parodie sans tomber dans la caricature d'un genre rarement exploré sous cet angle.
L'Ecran Fantastique
Un film agréable qui déroule son histoire tout en douceur et en auto-dérision.
Les Fiches du Cinéma
Une romance surnaturelle mélancolique et naïve, charmante malgré ses maladresses.
Libération
Comédie lunaire, le premier film du cinéaste français, étonnant et éparpillé, affirme un goût du pas de côté.
Mad Movies
Une belle idée de comédie romantique en mode fantastique.
Ouest France
Le résultat, inégal, est cependant dominé par une folie douce qui confère un charme irrésistible.
Télérama
Délicieux comme une grenadine au coucher du soleil.
Le Monde
Les deux éclopés finiront par se rapprocher entre la chaleur sensuelle du Sud et la froidure des morts qui nous abandonnent, dans une fable dont la douce fantaisie finit hélas par entamer notre croyance dans le récit.
Le Parisien
Sous le soleil du Var, on suit les hésitations de cet homme naïf et totalement paumé et on s’amuse parfois des situations loufoques dans lesquelles il se retrouve malgré lui. Les apparitions de sa mère, débarquée de l’au-delà et incarnée par Noémie Lvovsky, sont savoureuses. Mais on peine ensuite à s’intéresser à cette histoire qui, curieusement, manque de « vision » et ne va au bout d’aucune piste, ni celle de la romance ni celle du fantastique.
Le Point
« Je voulais faire une parabole sur la mort en évitant l'esprit de sérieux », dit le cinéaste-acteur qui, faute d'un scénario charpenté et d'un vrai suspense, tourne un peu en rond avant de trouver un dénouement banal. Le tout est effectivement léger, sans surprise malgré la présence de Louise Bourgoin.
Première
Laskar assume le côté bric et broc de l’ensemble et son flirt poussé avec le ridicule côté réalisation dans ses mises en image très premier degré des apparitions de spectres. Son Medium évolue sur un fil dont il chute aussi souvent qu’il y remonte. Où, en admirateur de Blake Edwards, il s’essaie lui aussi à associer burlesque échevelé et lenteur dans sa confection des gags. La marche est trop haute mais un charme fou opère.
aVoir-aLire.com
Un premier film un peu trop sage, dont les maladresses sont toutefois rachetées par un charme certain. Emmanuel Laskar est un talent à suivre.