Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
Dans sa petite forme même, "Chien de la casse" est un grand film. Hanté par la solitude et la perte mais paradoxalement doux et plein de promesses.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Lelo Jimmy Batista
[...] l’impeccable duo formé par Anthony Bajon et surtout, Raphaël Quenard [...]. Héritiers des plus grands dans une fiction qui elle-même renoue avec une certaine tradition du cinéma français des années 70 et 80 – l’étude de mœurs, acide, perçante, sans pitié, mais avec un cœur et une âme immenses. Le genre de film dont on avait fini par ne plus attendre le retour.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce premier long-métrage est un bijou insolent et émouvant. Avec deux formidables acteurs : Anthony Bajon et Raphaël Quenard.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
D’emblée, Chien de la casse impose sa stylisation, qui l’inscrit dans une généalogie remontant à Pagnol, Giono, voire au Renoir de Toni. […] Durand fait ressortir les accents et les scansions de la parole, inventant une langue qui, tout en s’appuyant sur les expressions de l’époque, développe sa propre poésie.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Très beau.
Elle
par Françoise Delbecq
Anthony Bajon, Raphaël Quenard et Galatea Bellugi incarnent corps et âme ces personnages touchants de maladresse.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette chronique sociale brille par sa justesse et le talents de ses acteurs.
GQ
par Adam Sanchez
À l’heure des questionnements profonds sur la masculinité, et la manière dont les hommes doivent s’extirper des carcans virilistes pour ré-apprendre à exprimer leur vulnérabilité, Chien de la casse tombe à pic et prend ce sujet à bras le corps.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par E.S.
Chien de la casse acte la naissance d'un cinéaste. Durand a moins de trente ans. Il est bourré de talent. Vivement son deuxième long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J. Ma.
Inconnu au bataillon, Jean-Baptiste Durand livre avec son premier long métrage un film qui possède la vertu rare de sentir davantage le craquant du vécu que la mise en fonction scénaristique et de faire éprouver la réalité originale d’une situation par ailleurs banale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Mais la vraie découverte du film a pour nom Raphaël Quenard, sidérant dans la peau de ce Mirales sans cesse sur le fil, voire au bord du précipice, entre cafard, vantardise et agressivité. Une performance de haut vol…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par M.L.
Ce récit d'apprentissage, où le personnage doit découvrir comment vivre avec et sans les autres, émeut autant qu'il nous fait sourire.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un premier film insolent et gracieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une chronique drôle, touchante et parfaitement interprétée.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Chien de casse réinvente enfin le cinéma français grâce à un récit sensible et poignant, planté dans la vraie vie où les archétypes narratifs en prennent pour leur grade. Une première œuvre stupéfiante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
La bromance vaut surtout pour les acteurs, Anthony Bajon, comme toujours impec, et l’exceptionnel Raphaël Quenard, dont le one man show fait le film sans empiéter sur ses partenaires.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
À travers ce portrait sensible d’une jeunesse assez peu représentée au cinéma, le réalisateur dont c’est le premier long métrage met en scène une belle histoire d’amitié contrariée qui doit beaucoup à son duo d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Chronique minimaliste à la forme parfois relâchée, un premier long qui dispense une jolie mélancolie, et voit briller Raphaël Quenard.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Souple et intelligente, l’écriture fait la chasse aux idées vagues et parvient à saisir quelque chose d’un empêchement existentiel qui outrepasse toute lecture sociologisante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Que viendrait faire le romanesque à Montpeyroux dans l’Hérault, lieu inédit de ce premier long-métrage ? Cette question sous-tend les contours de ce drame aussi électrique que sensuel sur une amitié toxique dominée par l’éruptif Mirales (Raphaël Quenard électrise littéralement le film de l’intérieur) cherchant en permanence à s’extraire du décor.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Plutôt que de tomber dans le sempiternel triangle amoureux, Jean-Baptiste Durand s’intéresse à la jalousie en amitié et s’applique à montrer l’évolution du rapport entre les deux hommes qui vont devoir prendre leurs distances pour mieux s’affirmer… et se rapprocher. Sans fioriture, le film évoque aussi la désertification de certaines zones rurales où la jeunesse semble condamnée au no future…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Dommage que le récit ne creuse pas davantage leurs contours intimes et familiaux. Un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Culturopoing.com
Dans sa petite forme même, "Chien de la casse" est un grand film. Hanté par la solitude et la perte mais paradoxalement doux et plein de promesses.
Libération
[...] l’impeccable duo formé par Anthony Bajon et surtout, Raphaël Quenard [...]. Héritiers des plus grands dans une fiction qui elle-même renoue avec une certaine tradition du cinéma français des années 70 et 80 – l’étude de mœurs, acide, perçante, sans pitié, mais avec un cœur et une âme immenses. Le genre de film dont on avait fini par ne plus attendre le retour.
Bande à part
Ce premier long-métrage est un bijou insolent et émouvant. Avec deux formidables acteurs : Anthony Bajon et Raphaël Quenard.
Cahiers du Cinéma
D’emblée, Chien de la casse impose sa stylisation, qui l’inscrit dans une généalogie remontant à Pagnol, Giono, voire au Renoir de Toni. […] Durand fait ressortir les accents et les scansions de la parole, inventant une langue qui, tout en s’appuyant sur les expressions de l’époque, développe sa propre poésie.
CinemaTeaser
Très beau.
Elle
Anthony Bajon, Raphaël Quenard et Galatea Bellugi incarnent corps et âme ces personnages touchants de maladresse.
Femme Actuelle
Cette chronique sociale brille par sa justesse et le talents de ses acteurs.
GQ
À l’heure des questionnements profonds sur la masculinité, et la manière dont les hommes doivent s’extirper des carcans virilistes pour ré-apprendre à exprimer leur vulnérabilité, Chien de la casse tombe à pic et prend ce sujet à bras le corps.
Le Figaro
Chien de la casse acte la naissance d'un cinéaste. Durand a moins de trente ans. Il est bourré de talent. Vivement son deuxième long-métrage.
Le Monde
Inconnu au bataillon, Jean-Baptiste Durand livre avec son premier long métrage un film qui possède la vertu rare de sentir davantage le craquant du vécu que la mise en fonction scénaristique et de faire éprouver la réalité originale d’une situation par ailleurs banale.
Le Parisien
Mais la vraie découverte du film a pour nom Raphaël Quenard, sidérant dans la peau de ce Mirales sans cesse sur le fil, voire au bord du précipice, entre cafard, vantardise et agressivité. Une performance de haut vol…
Télé 2 semaines
Ce récit d'apprentissage, où le personnage doit découvrir comment vivre avec et sans les autres, émeut autant qu'il nous fait sourire.
Télérama
Un premier film insolent et gracieux.
Voici
Une chronique drôle, touchante et parfaitement interprétée.
aVoir-aLire.com
Chien de casse réinvente enfin le cinéma français grâce à un récit sensible et poignant, planté dans la vraie vie où les archétypes narratifs en prennent pour leur grade. Une première œuvre stupéfiante.
L'Obs
La bromance vaut surtout pour les acteurs, Anthony Bajon, comme toujours impec, et l’exceptionnel Raphaël Quenard, dont le one man show fait le film sans empiéter sur ses partenaires.
La Croix
À travers ce portrait sensible d’une jeunesse assez peu représentée au cinéma, le réalisateur dont c’est le premier long métrage met en scène une belle histoire d’amitié contrariée qui doit beaucoup à son duo d’acteurs.
Les Fiches du Cinéma
Chronique minimaliste à la forme parfois relâchée, un premier long qui dispense une jolie mélancolie, et voit briller Raphaël Quenard.
Les Inrockuptibles
Souple et intelligente, l’écriture fait la chasse aux idées vagues et parvient à saisir quelque chose d’un empêchement existentiel qui outrepasse toute lecture sociologisante.
Première
Que viendrait faire le romanesque à Montpeyroux dans l’Hérault, lieu inédit de ce premier long-métrage ? Cette question sous-tend les contours de ce drame aussi électrique que sensuel sur une amitié toxique dominée par l’éruptif Mirales (Raphaël Quenard électrise littéralement le film de l’intérieur) cherchant en permanence à s’extraire du décor.
Sud Ouest
Plutôt que de tomber dans le sempiternel triangle amoureux, Jean-Baptiste Durand s’intéresse à la jalousie en amitié et s’applique à montrer l’évolution du rapport entre les deux hommes qui vont devoir prendre leurs distances pour mieux s’affirmer… et se rapprocher. Sans fioriture, le film évoque aussi la désertification de certaines zones rurales où la jeunesse semble condamnée au no future…
Le Journal du Dimanche
Dommage que le récit ne creuse pas davantage leurs contours intimes et familiaux. Un cinéaste à suivre.