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    Horse Girl
    Note moyenne
    2,3
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    41 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 février 2020
    Ce film est totalement nul nul et nul .
    Il n’a aucun sens . Déçu ! !
    Je ne vous le conseille alors la pas du tout.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 février 2020
    Horse girl est un film captivant dès son commencement. Nous apprenons à connaître cette femme dénuée de toute haine même si ça colère explose à un moment de l'histoire ,se sentant trahie ou incomprise. Comment expliquer ce que peut ressentir une âme plongeant petit à petit dans la folie...? Le réalisateur s'évertue à nous emmener dans le monde de Sarah de façon à ce que nous puissions se mettre à sa place. La bande son est excellente et fait penser à certains moments ,à du "Stranger things". Dans cette histoire bouleversante ou l'hérédité de la folie est mise en avant, le réalisateur et ses acteurs nous emmènent dans un monde souvent incompris par nous-même ,aveuglé par la réalité que nous vivons. Comprendre la folie d'une personne ,c'est en accepter ses vortex rocambolesques en s'ouvrant à l'âme blessée sans jugement aucun, en essayant par tout les moyens de l'aider à ressentir une certaine plénitude , à lui faire ressentir un bien-être ,de façon à mieux lui faire comprendre le monde qui l'entoure et les changements qui s'opère . J'y ai ressenti de la peine, de la tristesse, de la mélancolie et me suis même reconnu à un moment de ma vie en Sarah(Je suis un homme.). Cette façon d'aborder les petites choses de la vie, le regard et le jugement des autres que nous ne voyons pas forcément, dans ce long chemin que chaque être doit emprunter. N'oublions pas que la folie fait partie et est présente en chacun de nous et que quelques fois, elle peut nous ensorceler jusqu'à un point de non retour. Alors bravo au réalisateur , bravo aux acteurs et à Alison Brie qui est sans conteste, excellente.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 février 2020
    Film nul, sans aucun sens. Totalement incompréhensible. Inutile. Seule l'actrice principale m'a retenu de ne pas éteindre. Quelle déception.
    Le Rabzz
    Le Rabzz

    21 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2020
    Un film totalement inutile , on comprend rien , on se demande même qu'elle est l'interêt de l'histoire et des personnages , ça tourne en rond +2
    Alfredibut
    Alfredibut

    21 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2020
    Film qui retranscrit très bien le malaise et l'enfer que peut être la folie. Le film m'a captivé et je ne l'ai pas lâché avant la dernière seconde. Dommage toutefois que la fin laisse un peu sur sa faim.
    gunbuster
    gunbuster

    385 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2020
    La bande-annonce de ce petit film américain était on ne peut plus intrigante : une jeune femme ordinaire au possible, avec quelques passions envahissantes, et un poil asociale, qui commence à voir des choses, à vivre des évènements surnaturels : est-ce la folie, une expérience extraterrestre…?

    L’actrice Alison Brie est extraordinaire dans ce rôle de femme banale, dont le monde s’effondre progressivement ainsi que sa santé mentale, incarnant une femme fragile, déboussolée, influençable et perméable.

    Pour une petite production, la mise en scène est d’excellente qualité, suivant au corps Sarah, ces questionnements, ses délires les plus fous, ses rêves et obsessions malsaines.

    Le scénario reprends les thèmes classiques des théories conspirationnistes, des peurs enfuies dans l’inconscient américain (à l’image de Projet Blue Book), et des nombreuses séries fantastiques et surnaturelles à l’image du show télévisé cheap que l’héroïne regarde en boucle, inspirée de X-Files, de Bones et Supernaturel.

    L’univers et l’histoire sont vaguement explicités au spectateur au-détour d’une rare scène, sans que l’on comprenne son utilité dans l’intrigue, ou son impact sur le développement psychologique de l’héroïne.

    La fin du film, aussi attendue, prévisible au vu des références empruntées, reste assez estomaquant, sans réellement donner une fin nette.

    Disons que le réalisateur se permets de ne pas tout expliquer et laisser à l’interprétation du public les aspects plus flous du scénario.

    Un petit film honnête, réussit, bien joué, très bien construit et qui se démarque sans peine des séries B ou films à gros budget sans âme ni originalité.
    Zarkalexia
    Zarkalexia

    45 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2020
    Arrivé à une demi heure du film plus aucune trame , ambiance malsaine et bizarre
    Tout est confus on pert l’intérêt on ne se demande même plus ce qu’il va arriver dommage
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 février 2020
    La problématique des troubles de la perception vue du côté d'une personne atteinte de troubles schizoïdes. L'histoire laisse beaucoup de non-dits, notamment du rapport avec le cheval. On comprend qu'il y a eu un accident, mais ce n'est pas limpide. Les rapports de la mère et de la grand-mère de l'héroïne montrent une tendance familiale à la dépression et aux problèmes mentaux, comme s'il y avait une transmission à travers les gènes de la folie. C'est une théorie bancale. Du côté des hommes, ils sont présents mais absent d'une certaine manière. Le film ne donne ni solution ni dénouement, car on comprend que la jeune femme se suicide à la fin dans une envolée poétique. Et quel rapport avec le cheval, on se le demande encore. D'ailleurs pourquoi ce titre ? Etrange. Il y a par contre quelques scènes assez réussies de dialogue étonnant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 février 2020
    Film très confus, c’est impossible de comprendre le film car à la fin tout a perdu son orde, j’ai pas du tout apprécié.
    Casimirismylegend
    Casimirismylegend

    51 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2020
    Intriguant au départ, le film plonge rapidement dans l’ennui et la confusion. Dommage... l’actrice principale est pourtant très crédible...
    RedArrow
    RedArrow

    1 655 abonnés 1 527 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2020
    Un tissu se scinde pendant que deux employées discutent dans un petit magasin artisanal. Sur le ton de la plaisanterie, Joan explique à son amie et collègue Sarah qu'elle a fait un test ADN pour en savoir plus ses origines. La conversation est en apparence anodine mais, pour Sarah, le simple fait de lui rappeler ce qui la définit intrinsèquement va se révéler capital pour comprendre le basculement qu'elle s'apprête à vivre.

    Aux yeux de tous, elle est juste cette jeune fille un peu bizarre et effacée. Le film nous présente son quotidien tristement banal, partagé entre son travail et sa solitude sentimentale. Ses refuges pour y pallier ? Les visites à un cheval qu'elle connaît depuis l'enfance, ses cours de zumba où elle peut se défouler et une obsession maladive pour une série policière/surnaturelle ridicule (jouée par deux guest stars prestigieuses en ce domaine).
    Déjà, quelque chose cloche... Chacune des échappatoires de Sarah amène son lot de situations ou de regards extérieurs oscillant entre la pitié et le jugement facile. Prise entre des crises de somnambulisme et des pertes de mémoire, la jeune femme commence à vaciller... Toutefois, le véritable point de rupture est à chercher le jour de son anniversaire : alors que Joan lui offre en cadeau le test ADN dont elle lui avait parlé, Sarah fait la rencontre d'un prétendant idéal le temps d'une soirée arrosée. Au terme de celle-ci, elle se met à rêver d'un lieu étrange où des inconnus et elles-même paraissent avoir été kidnappés dans leur sommeil. Le lendemain, sur son lieu de travail, elle croise par hasard une de ces personnes enlevées qu'elle croyait avoir imaginée...

    La folie, cette maladie rampante qui tisse savamment son nid à l'intérieur d'un être sans que celui-ci n'ait le temps de réaliser son ampleur...
    À cause de son passé familial, Sarah est consciente de porter les germes de ce mal à l'intérieur d'elle, en avoir connaissance est déjà en soi une manière de le nourrir par la peur que cela induit. D'un côté, en ce sens, il y a ce test ADN ne pouvant que raviver ses craintes d'incarner génétiquement un douloureux héritage (sa fixation sur le clonage en sera l'émanation) mais, de l'autre, il y a aussi cette rencontre amoureuse synonyme d'un avenir jonché de nouvelles inconnues. C'est sans doute cette concomitance très proche d'émotions contradictoires qui va précipiter Sarah dans le gouffre de ses pires peurs et l'éloigner toujours un peu plus de la réalité.
    À partir de ce moment, "Horse Girl" va nous montrer comment la folie va envahir son hôte en puisant dans tout ce qui l'entoure dans le but de faire disparaître sa rationalité. Que cela soit sa solitude, les thématiques risibles de sa série favorite, les délires conspirationnistes d'Internet, un traumatisme d'enfance dont elle ne peut se défaire, le non-sens des paroles d'un vagabond devant son magasin ou encore le système US vis-à-vis des personnes dans la même souffrance qu'elle, tout ce que croise l'esprit contaminé de Sarah est désormais susceptible d'être interprété de façon à alimenter sa folie jusqu'à son paroxysme. Désemparé devant la noirceur qui dévore cette héroïne à laquelle il s'était si rapidement attaché, le spectateur n'a plus d'autre choix que de suivre l'ampleur incessante de sa descente aux enfers psychologique en espérant qu'elle ne soit pas irréversible.
    C'est d'ailleurs peut-être pour éviter de totalement sombrer dans les ténèbres que "Horse Girl" tente de maintenir le flou sur la teneur de certains événements qui, comme Sarah, nous interrogent sur leur possible véracité et laissent une brèche à d'autres issues plus incroyables. En jouant sur les amnésies répétitives de son héroïne, l'approche va se révéler plutôt astucieuse pour parvenir à donner un peu de lumière à ce propos terriblement angoissant (la quintessence de nos fragilités humaines) et, surtout, exalter une densité métaphorique en parfaite adéquation avec le caractère naïf de son héroïne lors d'un dernier acte préférant opter pour une conclusion à la portée bien plus poétique que définitivement nihiliste.

    Évidemment, "Horse Girl" n'a pas l'apanage d'être le premier film à traiter d'un tel sujet, bien d'autres (et plus grands) sont passés avant lui, toutefois, il est impossible de nier que ce long-métrage est complètement transfiguré par la force de conviction de son interprète principale Alison Brie. Impressionnante dans la montée en puissance de la folie, la comédienne livre clairement ici la plus belle prestation de sa carrière dans un rôle qu'elle a coécrit. On pourrait bien sûr citer d'autres qualités comme la mise en scène de Jeff Baena (quelle dernière demi-heure !) ou la partition musicale du tandem Josiah Steinbrick/Jeremy Zuckerman, beaucoup de choses concourent à donner une sincérité d'âme à ce "Horse Girl" mais si on devait n'en retenir qu'une, rien ne pourrait battre Alison Brie, ce serait une folie de ne pas le souligner.
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