Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cela se sent à chaque séquence toute en délicatesse de cette œuvre qui touche à l’universel dans sa façon d’aborder le désir d’être parent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par La Rédaction
Bien plus qu'une prouesse technique, une performance d'actrice au service d'une histoire d'amour moderne.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
C’est avant tout une magnifique histoire d’amour et de combat, portée par des sentiments indéfectibles et une écriture d’une grande justesse. Engagé et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Bien qu’un peu trop explicatif, le film Marie-Castille Mention-Schaar l’emporte par la force de son récit et la justesse de ses deux interprètes, Noémie Merlant et Soko.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Marie-Castille Mention-Schaar signe un film d’une rare délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Une composition une fois encore remarquable de Noémie Merlant.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Castille Mention-Schaar évoque dans un film sensible le désir d'enfant dans un couple atypique. Noémie Merlant, métamorphosée physiquement, habite littéralement son personnage transgenre, entre ombre et lumière.
Voici
par La Rédaction
Certes inégal, parfois didactique ou artificiel, le film a le mérite d'offrir une visibilité populaire à ce sujet tabou, et il est porté par une interprétation sincère, sans toutefois bouleverser.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sur fond de désir universel d’enfant, Marie-Castille Mention-Schaar s’empare avec tact du sujet à haut risque de la transidentité et bien plus encore de la transparentalité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Faute de trouver des acteurs transgenres suffisamment qualifiés pour le rôle, Marie-Castille Mention-Schaar l’a confié à Noémie Merlant avec qui elle a travaillé à plusieurs reprises. Avec un impressionnant travail sur sa voix et sa gestuelle, la comédienne livre une interprétation convaincante de Benjamin, dans une masculinité crédible mais dénuée de clichés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame qui a le mérite d'aborder un sujet tabou avec pudeur, délicatesse et élégance là où on craignait voyeurisme, maladresse et complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Marie-Castille Mention-Schaar aborde avec finesse un sujet peu banal, conduisant le public à s’interroger sur la question de la parentalité. Héritant de rôles complexes, les acteurs sont très convaincants. La mise en scène en revanche est assez conventionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
Tout n’est pas réussi dans ce film si utile qu’il en devient démonstratif. Ce qui marche, c’est la caractérisation des personnages.
Télérama
par La Rédaction
De même, Marie-Castille Mention-Schaar fait endosser par des personnages secondaires l’incompréhension ou l’hostilité que son héros doit surmonter, et là encore, la fabrication devient trop repérable. Mais la sobre et formidable composition de Noémie Merlant sauve le film et lui confère, de loin en loin, une justesse émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Pélisson
Dommage que, malgré le beau travail d’incarnation, le film emprunte autant le chemin du didactisme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Le film a beau se présenter comme une chronique réaliste, il opère pourtant des choix structurants à rebours de ses bonnes intentions. Le premier consiste à situer l’action sur l’île bretonne de Groix. L’astuce est trop visible : en se fixant dans cette enclave relativement paisible, le scénario laisse de côté la question du poids des discriminations dans le quotidien des personnes trans pour se concentrer sur la psychologie du couple.
Le Monde
par Murielle Joudet
La fiction, inspirée de Coby, n'ajoute rien à son modèle, et fait entrer le thème de la transidentité dans un académisme achevé.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Inspiré de faits réels, A Good Man est un film de prévention, ce qui le rapproche plus de l’exposé pédagogique bien intentionné que du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Noémie Merlant livre pourtant une prestation fascinante dans ce film maladroit. Comme si, consciente de marcher sur des œufs en parlant genre et identité, la cinéaste ne parvenait jamais à libérer son récit d’un carcan trop pédago.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un message de tolérance plombé par un scénario trop démonstratif et consensuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Cela se sent à chaque séquence toute en délicatesse de cette œuvre qui touche à l’universel dans sa façon d’aborder le désir d’être parent.
Elle
Bien plus qu'une prouesse technique, une performance d'actrice au service d'une histoire d'amour moderne.
L'Obs
C’est avant tout une magnifique histoire d’amour et de combat, portée par des sentiments indéfectibles et une écriture d’une grande justesse. Engagé et émouvant.
La Voix du Nord
Bien qu’un peu trop explicatif, le film Marie-Castille Mention-Schaar l’emporte par la force de son récit et la justesse de ses deux interprètes, Noémie Merlant et Soko.
Le Parisien
Marie-Castille Mention-Schaar signe un film d’une rare délicatesse.
Ouest France
Une composition une fois encore remarquable de Noémie Merlant.
Télé Loisirs
Castille Mention-Schaar évoque dans un film sensible le désir d'enfant dans un couple atypique. Noémie Merlant, métamorphosée physiquement, habite littéralement son personnage transgenre, entre ombre et lumière.
Voici
Certes inégal, parfois didactique ou artificiel, le film a le mérite d'offrir une visibilité populaire à ce sujet tabou, et il est porté par une interprétation sincère, sans toutefois bouleverser.
aVoir-aLire.com
Sur fond de désir universel d’enfant, Marie-Castille Mention-Schaar s’empare avec tact du sujet à haut risque de la transidentité et bien plus encore de la transparentalité.
La Croix
Faute de trouver des acteurs transgenres suffisamment qualifiés pour le rôle, Marie-Castille Mention-Schaar l’a confié à Noémie Merlant avec qui elle a travaillé à plusieurs reprises. Avec un impressionnant travail sur sa voix et sa gestuelle, la comédienne livre une interprétation convaincante de Benjamin, dans une masculinité crédible mais dénuée de clichés.
Le Journal du Dimanche
Un drame qui a le mérite d'aborder un sujet tabou avec pudeur, délicatesse et élégance là où on craignait voyeurisme, maladresse et complaisance.
Les Fiches du Cinéma
Marie-Castille Mention-Schaar aborde avec finesse un sujet peu banal, conduisant le public à s’interroger sur la question de la parentalité. Héritant de rôles complexes, les acteurs sont très convaincants. La mise en scène en revanche est assez conventionnelle.
Positif
Tout n’est pas réussi dans ce film si utile qu’il en devient démonstratif. Ce qui marche, c’est la caractérisation des personnages.
Télérama
De même, Marie-Castille Mention-Schaar fait endosser par des personnages secondaires l’incompréhension ou l’hostilité que son héros doit surmonter, et là encore, la fabrication devient trop repérable. Mais la sobre et formidable composition de Noémie Merlant sauve le film et lui confère, de loin en loin, une justesse émouvante.
Bande à part
Dommage que, malgré le beau travail d’incarnation, le film emprunte autant le chemin du didactisme.
Cahiers du Cinéma
Le film a beau se présenter comme une chronique réaliste, il opère pourtant des choix structurants à rebours de ses bonnes intentions. Le premier consiste à situer l’action sur l’île bretonne de Groix. L’astuce est trop visible : en se fixant dans cette enclave relativement paisible, le scénario laisse de côté la question du poids des discriminations dans le quotidien des personnes trans pour se concentrer sur la psychologie du couple.
Le Monde
La fiction, inspirée de Coby, n'ajoute rien à son modèle, et fait entrer le thème de la transidentité dans un académisme achevé.
Les Inrockuptibles
Inspiré de faits réels, A Good Man est un film de prévention, ce qui le rapproche plus de l’exposé pédagogique bien intentionné que du cinéma.
Première
Noémie Merlant livre pourtant une prestation fascinante dans ce film maladroit. Comme si, consciente de marcher sur des œufs en parlant genre et identité, la cinéaste ne parvenait jamais à libérer son récit d’un carcan trop pédago.
Le Figaro
Un message de tolérance plombé par un scénario trop démonstratif et consensuel.