Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
L’équipe d’un service de soins palliatifs suit des patients en stade terminal, cependant que la réalisatrice raconte, à travers la danse, la maladie de sa mère. Beau et terrible à la fois, "Les Équilibristes" touche pour la force du dialogue entre voix off et images.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
C’est à la fois pesant (la gravité de certains cas évoqués) et léger (cette façon qu’a le personnel soignant de rire sans se moquer, d’accompagner avec douceur), et ce ruban sonore que la cinéaste laisse dérouler et qui fait penser dans sa sensibilité à une Annie Ernaux faisant le portrait sa mère, nous tient là jusqu’au dernier souffle, accroché à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Lætitia Mikles
Avec le même courage créatif que dans son précédent documentaire, le beau et troublant "Lame de fond", Perrine Michel ose dévoiler les coulisses de l’ultime tabou.
Télérama
par Guillemette Odicino
Ainsi se dessine une chronique toute personnelle et funambule de ce qui vit et vibre encore avant la mort.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Les équilibristes relate une expérience cinématographique et théâtrale. Le propos évoque la vie qui se défait pour des patients en service de soins palliatifs et la propre mère de la réalisatrice. Un film pudique et déstabilisant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Victor Touzé
La réalisatrice parvient à faire partager un sentiment d'intimité fort en mettant en scène la perte de sa mère au sein d'espaces autant matériels que mentaux.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Dans "Les Equilibristes", la mort est invisible et pourtant, elle est partout. [...] Face à cette dureté, le film se montre aussi précieux que revigorant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Sur fond de conversations téléphoniques enregistrées avec sa mère, victime d’un cancer agressif, Perrine Michel capte les pas des danseurs et les alterne au montage avec des séances de debriefing du personnel d’un service de soins palliatifs. Ce qui dévoile peu, les images, se frotte ainsi à ce qui dit beaucoup: la parole, in et off, et la structure, toutes deux précises et transparentes.
Le Monde
par Clarisse Fabre
La partie plus expérimentale du film, des scènes de danse et d’improvisation collective, qui viennent séquencer le quotidien à l’hôpital, est moins convaincante. Longs et répétitifs, ces intermèdes finissent par prendre une place démesurée et installent une certaine mièvrerie.
Les Fiches du Cinéma
L’équipe d’un service de soins palliatifs suit des patients en stade terminal, cependant que la réalisatrice raconte, à travers la danse, la maladie de sa mère. Beau et terrible à la fois, "Les Équilibristes" touche pour la force du dialogue entre voix off et images.
Libération
C’est à la fois pesant (la gravité de certains cas évoqués) et léger (cette façon qu’a le personnel soignant de rire sans se moquer, d’accompagner avec douceur), et ce ruban sonore que la cinéaste laisse dérouler et qui fait penser dans sa sensibilité à une Annie Ernaux faisant le portrait sa mère, nous tient là jusqu’au dernier souffle, accroché à la vie.
Positif
Avec le même courage créatif que dans son précédent documentaire, le beau et troublant "Lame de fond", Perrine Michel ose dévoiler les coulisses de l’ultime tabou.
Télérama
Ainsi se dessine une chronique toute personnelle et funambule de ce qui vit et vibre encore avant la mort.
aVoir-aLire.com
Les équilibristes relate une expérience cinématographique et théâtrale. Le propos évoque la vie qui se défait pour des patients en service de soins palliatifs et la propre mère de la réalisatrice. Un film pudique et déstabilisant.
Critikat.com
La réalisatrice parvient à faire partager un sentiment d'intimité fort en mettant en scène la perte de sa mère au sein d'espaces autant matériels que mentaux.
Les Inrockuptibles
Dans "Les Equilibristes", la mort est invisible et pourtant, elle est partout. [...] Face à cette dureté, le film se montre aussi précieux que revigorant.
Cahiers du Cinéma
Sur fond de conversations téléphoniques enregistrées avec sa mère, victime d’un cancer agressif, Perrine Michel capte les pas des danseurs et les alterne au montage avec des séances de debriefing du personnel d’un service de soins palliatifs. Ce qui dévoile peu, les images, se frotte ainsi à ce qui dit beaucoup: la parole, in et off, et la structure, toutes deux précises et transparentes.
Le Monde
La partie plus expérimentale du film, des scènes de danse et d’improvisation collective, qui viennent séquencer le quotidien à l’hôpital, est moins convaincante. Longs et répétitifs, ces intermèdes finissent par prendre une place démesurée et installent une certaine mièvrerie.
Première
Cathartique, probablement, inégal, indubitablement.