Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le documentaire de Victor Kossakovsky s’avère aussi réjouissant pour les yeux et pour l’esprit que sombre par le constat d’une humanité courant sciemment à sa perte.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Un regard éclairé sur le monde des pierres et des roches, de jadis et d’aujourd’hui. Lors de ce parcours documentaire, Victor Kossakovski plaide pour la mise en jachère d’espaces urbains et pour un retour à un habitat beau et pérenne.
Avec des images monumentales filmées aux quatre coins du monde, il pose une question fondamentale : pourquoi bétonner pour le court terme quand la pierre, elle, survit au temps, aux guerres et aux éléments ? À découvrir sur le plus grand écran possible.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Dans ce voyage formel, presque muet, le cinéaste semble faire parler les pierres et fait de la concrétude du monde de gigantesques tableaux abstraits (zooms appuyés, ralentis hypnotiques, drones aux mouvements célestes).
Chaque plan ici est sujet à une perception poétique de cette exploitation humaine qui façonne la nature. Et au final les images marquent forcément l'inconscient, nous renvoyant à notre petitesse et sans doute à une autre manière, nécessaire, de considérer la nature et ses ressources.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
L’effort technique parfois inouï confère au film quelques moments de grâce, où le cinéma se fait l’appareil d’une révélation et dévoile la vitalité, d’abord invisible, de la nature.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Peu de paroles, les images parlent d’elles-mêmes dans ce documentaire qui interroge également les destructions liées à la guerre – la caméra s’attarde sur des immeubles délabrés en Ukraine, dont certaines façades comportent des messages intimant aux Russes de quitter le territoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Documentaire exigeant, "Architecton" érige un tombeau à la pierre, dans un acte réflexif sur la ruine, le bâti, le béton, le beau et l’utile. Si formellement le vertige des vestiges est impressionnant, le discours théorique, sermon déresponsabilisant, déçoit.
Le meilleur de ce documentaire exigeant ? Les plans contemplatifs et superbes de constructions – et destructions – diverses, rythmés par la musique planante d’Evgueni Galperine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Le documentaire de Victor Kossakovsky s’avère aussi réjouissant pour les yeux et pour l’esprit que sombre par le constat d’une humanité courant sciemment à sa perte.
L'Humanité
Un regard éclairé sur le monde des pierres et des roches, de jadis et d’aujourd’hui. Lors de ce parcours documentaire, Victor Kossakovski plaide pour la mise en jachère d’espaces urbains et pour un retour à un habitat beau et pérenne.
Paris Match
Avec des images monumentales filmées aux quatre coins du monde, il pose une question fondamentale : pourquoi bétonner pour le court terme quand la pierre, elle, survit au temps, aux guerres et aux éléments ? À découvrir sur le plus grand écran possible.
Positif
Dans ce voyage formel, presque muet, le cinéaste semble faire parler les pierres et fait de la concrétude du monde de gigantesques tableaux abstraits (zooms appuyés, ralentis hypnotiques, drones aux mouvements célestes).
Abus de Ciné
Chaque plan ici est sujet à une perception poétique de cette exploitation humaine qui façonne la nature. Et au final les images marquent forcément l'inconscient, nous renvoyant à notre petitesse et sans doute à une autre manière, nécessaire, de considérer la nature et ses ressources.
Critikat.com
L’effort technique parfois inouï confère au film quelques moments de grâce, où le cinéma se fait l’appareil d’une révélation et dévoile la vitalité, d’abord invisible, de la nature.
Le Monde
Peu de paroles, les images parlent d’elles-mêmes dans ce documentaire qui interroge également les destructions liées à la guerre – la caméra s’attarde sur des immeubles délabrés en Ukraine, dont certaines façades comportent des messages intimant aux Russes de quitter le territoire.
Les Fiches du Cinéma
Documentaire exigeant, "Architecton" érige un tombeau à la pierre, dans un acte réflexif sur la ruine, le bâti, le béton, le beau et l’utile. Si formellement le vertige des vestiges est impressionnant, le discours théorique, sermon déresponsabilisant, déçoit.
Télérama
Le meilleur de ce documentaire exigeant ? Les plans contemplatifs et superbes de constructions – et destructions – diverses, rythmés par la musique planante d’Evgueni Galperine.