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    Sept hivers à Téhéran
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    Patricia D.
    Patricia D.

    72 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2023
    En 2007 à Téhéran, Reyhaneh Jabbari, 19 ans, poignarde l’homme sur le point de la violer. Elle est accusée de meurtre et condamnée à mort. Elle sera pendue en 2014, après sept ans d'actions incessantes de sa famille et de mobilisation internationale.
    La réalisatrice allemande Steffi Niederzoll a consacré un documentaire à Reyhaneh, devenue symbole de la lutte pour les droits des femmes en Iran. Sept hivers à Téhéran a été réalisé à partir d’images filmées clandestinement, d'entretiens menés avec les parents et les deux soeurs de Reyhaneh, de maquettes de la prison ou du tribunal, d'extraits de conversations de Reyhaneh elle-même, d'extraits de ses lettres lus par Zar Amir Ebrahimi en voix off tout au long du film. Tous ces éléments apportent au documentaire une force et une intensité rares. La colère, la rage, l'impuissance se mêlent face à l'injustice criante et révoltante de l'histoire de Reyhaneh.
    Aujourd'hui, la mère et les soeurs de Reyhaneh vivent en Allemagne. Son père est est toujours retenu à Téhéran. Il a malgré tout accepté de témoigner dans le film en mémoire de sa fille.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    341 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2023
    "7 hivers à Téhéran" est un film dont l'impact et la pertinence va bien au delà de son sujet.

    En 2007 à Téhéran, Reyhaneh Jabbari, 19 ans, poignarde l’homme sur le point de la violer. Elle est accusée de meurtre et condamnée à mort. A partir d’images filmées clandestinement, Sept hivers à Téhéran montre le combat de la famille pour tenter de sauver Reyhaneh, devenue symbole de la lutte pour les droits des femmes en Iran.

    Filmé à partir de document vidéo tournés parfois clandestinement, le film démontre s'il en était besoin, les effets pervers des pouvoirs religieux dans le glissement du comportement des individus frsutrés vers les agressions sexuelles, la compromission du pouvoir policier et juridique et l'impossibilité des familles des criminels sexuels à accepter de pardonner l'évidence des crimes commis.

    Encore une fois les femmes sont accusées quelque soit leur réponse aux viols et le film est implacable dans cette démonstration.

    Reyjaneh dans son choix de faire de sa détention et son exécution un message et un symbole réussit totalement à rendre son geste universel.

    Un bien beau documentaire
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2023
    “La loi du talion est une constante dans les décisions de justice en Iran. La peine de mort est prononcée pour une jeune femme qui a ôté la vie de son agresseur. La légitime défense est loin d’y être reconnue, c’est pourquoi ce documentaire porte la charge de toutes les victimes, à travers le destin d’une famille dans l’impasse, brisée par le système et les dogmes d’un pays qui ne leur appartient plus.”

    “Le premier long-métrage de Steffi Niederzoll relève le défi d’immortaliser la détermination des femmes ou de quiconque embrassant ce deuil et cette lutte, pour que leur mémoire vienne intimement se mêler à l’histoire de l’Iran, dans toutes ses contradictions. Sept hivers à Téhéran n’est donc pas plus un reportage militant sur la révolte d’une nation qu’un documentaire qui porte ses martyrs, essentiellement féminins, comme porte-étendard d’une génération libre. Libre de se défendre et libre d’exister. Il s’agit d’une lutte contre la déshumanisation, que l’on dénonce bien évidemment, mais dont on n’adoptera pas le point de vue, afin de donner de l’impulsion à cet infime espoir de voir la jeunesse aller jusqu’au bout de ses convictions.”

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    Yves G.
    Yves G.

    1 456 abonnés 3 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 avril 2023
    Reyaneh Jabbari, âgée de dix-neuf ans, a poignardé en 2007 Mortez Sarbandi qui s'apprêtait à la violer après l'avoir attirée dans un appartement sous le prétexte de lui demander d'en refaire la décoration intérieure. Immédiatement arrêtée par la police, torturée pour lui arracher de fausses confessions, elle est condamnée à mort deux ans plus tard. Elle sera finalement exécutée le 25 octobre 2014.

    La documentaliste Steffi Niederzoll a découvert cette tragédie en voyant la video de la mère de Reyaneh, écrasée d'angoisse, devant la prison où la sentence va être exécutée, au moment précis où on lui apprend la mort de sa fille. Elle a longuement interviewé la mère et les deux sœurs de Reyaneh, toutes trois réfugiées en Allemagne, ainsi que son père, qui, lui, n'a pas obtenu le droit de quitter l'Iran. Elle a rassemblé les vidéos, les enregistrements téléphoniques, les courriers échangés entre la prisonnière et ses proches pendant les sept longues années de sa captivité, ainsi que les images tournées au Camescope de la joyeuse jeunesse de Reyaneh avant son incarcération.

    Le résultat est poignant. On y découvre une jeune femme riante, débordante d'énergie, qui continue envers et contre tout à clamer son innocence et qui, pendant sa captivité, prend sous son aile des prisonnières plus jeunes pour les défendre. On y découvre aussi la mère de Reyaneh, incarnation moderne de Clytemnestre, prête à tout pour sauver sa fille de la mort qui lui est promise.

    On y découvre surtout le fonctionnement scandaleusement vicié de la justice islamique iranienne. Loin d'être considérée comme la victime d'une tentative de viol agissant en légitime défense, Ryaneh est accusée de "relation illicite hors mariage" et de "meurtre avec préméditation". La façon dont l'instruction, à charge, est menée, est choquante. La dureté de la sentence l'est tout autant : la mort en vertu de la loi du talion. Mais la façon dont la sentence est appliquée l'est encore plus : la famille de la victime a le droit de pardonner l'accusée et de lui éviter la mort.
    Ainsi s'ouvre pour la famille de Reyaneh un espoir et se rassemblent toutes les conditions de la plus perverse des tortures : l'espoir d'obtenir la grâce de Reyaneh et la torture infligée par la famille de Sarbandi qui lui refuse ce pardon tant que l'accusée n'aura pas retiré son accusation de tentative de viol.

    La mécanique est dramatique, qu'on en connaisse par avance l'issue ou qu'on en ignore tout et qu'on espère jusqu'à la fin que Reyaneh sera libérée. On sort de la salle tétanisé et en colère. Seule note d'espoir : le portrait admirable de cette mère et de ces deux sœurs, exilées loin de leur pays, mais bien déterminées à tout faire pour que d'autres Reyaneh n'y soient pas à nouveau victimes de la violence des hommes.
    Tao Paul
    Tao Paul

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2023
    Où est donc passée la liberté ?
    Où est donc passée la paix ?
    Elle est partie avec Reyhaney JABBARI…

    Jeune femme iranienne condamnée à mort pour un meurtre qu’on lui reproche.
    En 2007, à l’âge de 19 ans, elle est sur le point de se faire violer.
    Pour se défendre, elle poignarde son agresseur.
    Voilà son crime.
    Pendant 7 ans, sa famille se bat pour qu’elle ne soit pas exécutée.
    En 2014, le verdict tombe.
    Elle va mourir.

    C’est un message d’espoir qu’elle donne au monde entier.
    Symbole de la lutte pour les droits des femmes en Iran.
    Exemple et modèle pour un combat plus juste, une justice plus juste…

    Elle est ce cri déchirant dans la nuit.
    Elle est cet écho international.
    Elle est cette onde de choc.
    Elle est cette voix porteuse d’espoir.

    Un film nécessaire pour mettre fin à la peine de mort.
    Bouleversant, émouvant, impressionnant, poignant, remuant, saisissant, touchant, traumatisant, troublant…
    À voir absolument !!!

    Vous aimez vos mères, vos femmes, vos filles, vos sœurs, vos grands-mères, vos tantes…
    Les femmes qui sont importantes pour vous.
    Ne tardez pas, foncez en salles et allez crier haut et fort que vous voulez la liberté et la paix !!!
    Pour un monde où les femmes devraient vivre et non survivre.
    Traitdunion
    Traitdunion

    7 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2023
    C’est un album souvenirs construit, émaillé de témoignages et d’images clandestines, et enveloppé par la voix de Zar Amir Ebrahimi (prix d’interprétation féminine à Cannes en 2022, qui reprend les mots de Reyhaneh), que nous confie Mme Pakravan et la réalisatrice Stefie Niederzoll. Celui du combat d’une mère pour sauver sa fille de 19 ans accusée du meurtre d’un homme mûr et influent.
    On est en 2007, à Téhéran, et à l’issue d’une enquête mise en scène et d’une mascarade de procès, Reyhaneh Jabbari est condamnée, comme le prévoit la loi, à la loi du Talion: œil pour œil, dent pour dent. Elle sera exécutée 7 ans plus tard, sans que ni le combat de sa famille pour la faire gracier, ni le soutien populaire et international n’ait rien pu faire…
    Et peut-être pour que cette incompréhensible drame ait un sens, Shole Pakravan accompagne depuis la lutte acharnée que sa fille a commencé depuis sa cellule, contre la peine de mort et le sort des femmes en Iran, qui trouve aujourd’hui un écho brûlant.
    djami M.
    djami M.

    16 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 avril 2023
    Un documentaire qu'il faut voir pour rendre hommage à la vie et le combat de Reyhaneh et sa famille . Quel courage !
    Très prenant et très bien documenté.
    On en sort ému et en colère
    velocio
    velocio

    1 300 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mars 2023
    Il y a des films dont le sujet est très fort, très important mais qu'on a quand même le droit de considérer comme ratés d'un point de vue cinématographique. C'est le cas, à mon humble avis, du documentaire "Sept hivers à Téhéran". Ce sujet très fort, très important, c'est le combat d'une famille iranienne pour sauver de la pendaison une jeune femme condamnée à mort pour avoir poignardé un homme qui tentait de la violer. D'une famille et, particulièrement, la mère de la jeune femme. Pour réaliser ce film, Steffi Niederzoll disposait d'une quantité importante d'images d'archive sur support VHS ou cassettes mini DV, tournées par cette famille. L'usage qu'elle en a fait donne un résultat qui, manifestement, a enthousiasmé un grand nombre de spectateurs et de critiques. A titre personnel, je dois avouer que cela ne m'a pas enthousiasmé du tout. Peut-être parce que j'étais très fatigué !! Il faudrait peut-être que je le revois.
    Arthus27
    Arthus27

    92 abonnés 562 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 avril 2023
    Relatant l'histoire (vraie) de Reyhaneh Jabbari, jugée et exécutée suite au meurtre d'un homme qui tentait de la violer, "Sept hivers à Téhéran" est un documentaire à la fois âpre et touchant. Si l'histoire a de quoi émouvoir, et que le destin de cette femme semble immensément tragique, le film pèche par une réalisation un peu brouillonne. Il s'appuie notamment sur de véritables vidéos et enregistrements sonores. Mais le tout ne donne pas un film suffisamment cohérent et nous perd dans son récit et dans la temporalité de certains évènements.
    Flower 0478
    Flower 0478

    63 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 avril 2023
    J'ai été très touché, révolté et en colère de ce qui est arrivé à cette jeune femme j'espérai jusqu'au bout avec sa famille j'en ai pleurer c'est poignant ce documentaire mérite d'être vu car il y a toujours des pays malheureusement qui respect pas les droits je vous conseille fortement ce documentaire allez y.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 196 abonnés 7 501 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2023
    En 2007, Reyhaneh Jabbari à 19ans lorsqu’elle poignarde l’homme qui tente de la violer. C’est bien connu, l’Iran n’est pas un pays réputé pour le droit des femmes et il viendra nous le prouver en condamnant la victime qui a cherché à se défendre contre son bourreau. Incarcérée pendant de nombreux mois, sa famille tentera sans relâche de la faire libérer. Au sortir de l’adolescence, Reyhaneh Jabbari finira par devenir un symbole de la lutte pour les droits des femmes en Iran et ce, à travers le monde. Mais cela ne suffira pas à la sauver d’une justice impartiale, expéditive et corrompue, elle sera exécutée près de 7ans plus tard. Ce film est son histoire et le combat de ses proches…

    L’histoire de Reyhaneh Jabbari avait fait le tour du monde entier et il est difficile de ne pas s’en souvenir. Sept hivers à Téhéran (2023) revient sur ce terrible fait divers, en revenant point par point depuis le commencement jusqu’à l’exécution de la jeune femme. La réalisatrice allemande à pu filmer et interviewer ses proches (sa mère et ses sœurs ont pu quitter le pays pour s’installer en Allemagne tandis que le père reste bloqué en Iran faute de passeport, les autorités refusant de lui en délivrer un).

    On ne tarde pas à découvrir que rien ne va dans cette histoire, enquête à charge (fausses preuves et témoignages bidons), preuves détruites et procès manipulés, tout a été parfaitement orchestré pour que Reyhaneh Jabbari soit la coupable idéale avant même que son procès ne commence. On découvre aussi la maltraitance dont elle sera victime en prison, sans parler de la Loi du talion qui permet à la famille « de la victime » (à savoir, celle du violeur) de choisir la sentence, dans le cas présent, ce sera la pendaison.

    Par le biais d’archives vidéos, sonores et des prises de vues clandestines, Steffi Niederzoll dresse le portrait effarant (bien qu’il n’y ait rien de nouveau en soi, on le savait déjà) d’un pays où la légitime défense ne vaut rien si vous êtes une femme. L’Homme est au-dessus de tout, il a tout pouvoir et la femme reste une moins-que-rien. Le film met en lumière l'oppression des femmes iraniennes, la mobilisation de ses proches et l’indignation ressentie aux quatre coins du globe face à une justice de mascarade en s’obstinant à ne prendre fait et cause que pour la gent masculine

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    67 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2023
    Un documentaire puissant sur une jeune femme iranienne condamnée à mort pour s'être défendue contre celui qui essayait de la violer, après avoir été torturée pour obtenir des aveux.

    Outre le sentiment de révolte que l'on ressent forcément face à cette justice qui n'en a que le nom, j'ai été impressionné par l'intelligence et le calme de la mère, du père et des deux sœurs de cette jeune femme dont le courage et les capacités de résilience forcent l'admiration.

    Autour d'images volées de Téhéran, de vidéos, de photos de famille et de témoignages face caméra, la réalisatrice allemande a imaginé un dispositif original qui consiste à reproduire dans des maquettes très travaillées les lieux clés de cette affaire (l'appartement du drame, le tribunal, les cellules de prison).

    Jusqu'au bout, Reyhaneh Jabbari restera fidèle à ses convictions et à ce qu'elle croit juste, quitte à en payer le prix le plus cher... Jusqu'au bout, l'on espère qu'un retour à la raison soit possible, notamment grâce à la forte mobilisation des siens et de soutiens un peu partout dans le monde... Jusqu'à cette scène dans la voiture, devant la prison, d'une puissance émotionnelle renversante.

    A l'issue de la séance, ce qui est le plus glaçant est de se dire que, dans cette société patriarcale, à partir du moment où cet homme avait décidé d'asseoir son pouvoir sur elle, quoi qu'elle ait pu faire ou dire, cette jeune femme n'avait d'autre alternative que d'être condamnée, que ce soit par la loi ou la morale.

    Ma page ciné insta : fenetre_sur_salle
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    25 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2023
    Combat bouleversant de tristesse et de dignité face à une dictature. Le sort des femmes dans ce pays semble bien peu digne d'intérêt dans nos démocraties.
    Soquartz
    Soquartz

    20 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 avril 2023
    Ce film ... n'est pas un film, mais un documentaire. Il raconte une histoire terrible, sous la forme d'images vidéos prises avec des téléphones portables par des personnes non expertes, d'écoutes téléphoniques, d'interviews des proches de la victime. C'est évidemment bouleversant, on pressent la fin dès le début, on garde l'espoir jusqu'au bout d'un pardon accordé par la famille de l'homme qui a été tué. Nous sommes si éloignés des règles de vie, des moeurs sociétales iraniennes, que l'on ne peut qu'être atterré par la brutalité du système judiciaire de ce pays, où les droits de la défense semblent bafoués sans scrupule. Je suis sous le choc encore, et certainement pour longtemps encore. Cette histoire n'est pas un cas isolé, bien sûr, mais entrer dans l'intimité d'une famille nous la rend plus proche et plus poignante. À voir absolument!
    PLR
    PLR

    465 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2023
    Les cinéphiles qui ont vu « Yalda, la nuit du pardon » (2019), connaissent déjà ce pan du droit pénal iranien (d’inspiration religieuse : la loi du talion) qui permet à la famille d’une victime d’accorder la grâce à un(e) condamnée à la peine capitale pour un crime de sang. Et en raison de la fréquence de films iraniens sur nos écrans avec un contenu sociétal (on a à chaque fois des frissons !), les sujets d’explorations (social, judiciaire et carcéral) n’ont plus de secrets pour les spectateurs assidus d’ici avec, bien évidemment, le regard et le jugement critiques qui vont bien. Dans notre culture occidentale, nous en avons (normalement) la nausée. Mais avant d’aborder cet aspect, ce documentaire (une reconstitution avec des enregistrements sonores et des images volées entrecoupées de témoignages face à la caméra de la proche famille de la suppliciée) arrive à nous faire douter de savoir s’il y a bien eu viol ou pas. Compte tenu de ce que vise le propos, il semble assez maladroit et inopportun d’avoir instillé un doute dans le déroulé des faits. On va dire que ce n’est que maladresse et peut-être manque de matière (ou de volonté) pour autopsier davantage le système sous un angle davantage marqué et dénonciateur. Un opus de plus sur cet Iran mystérieux.
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