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    Felicità
    Note moyenne
    3,6
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    104 critiques spectateurs

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    Guiguine
    Guiguine

    8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2020
    Un couple avec fillette dans la France de la débrouille.
    Travail précaire, commerce illicite, squatt...On fait passer la pilule en racontant des histoires aux autres et a soi-meme. Tellement d'histoires que la fillette ne marche plus. Face a l'hilarité de ses parents qui ont fait un bon coup, elle s'isole avec un casque antibruit. Elle a envie de normalité.
    Très bon jeu des acteurs qui donnent l'impression de scènes prises sur le vif.
    lionelb30
    lionelb30

    435 abonnés 2 590 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 juillet 2020
    Pas compris le scenario , si c'est la réalité ou du fantasme , pas de réelles cohérence entre les scènes , pas compris non plus ce qu'a voulu faire ou dire le réalisateur. Donc aucun attachement possible et donc ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juillet 2020
    Très joli film. De superbes acteurs pour incarner des personnages touchants et attachants. A voir !!
    Sylvain M.
    Sylvain M.

    11 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2020
    De la poésie, de la légèreté teintée d'une réflexion agréable à suivre, avec un casting au rendez-vous. Quelques facilités de scénario.
    oooooooooo
    oooooooooo

    101 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2020
    Alors oui, Pio semble un peu toujours jouer la même note, mais si sur cette note on ne peut que constater encore une fois qu'il excelle. Ses partenaires, peut être dans ce sillage portées (mais plus sûrement bien dirigées, on pense à la débutante) se hissent à sa mesure. Même la demoiselle dont on craint un moment qu'elle glisse vers cette minauderie bien commune des enfants mal traités au cinéma, trouve l'accord juste. Le trio à lui seul déjà suffit. Mais le film a son souffle, ses singularités qui se tiennent, correctement dosées. On est pas dans la garniture, la fantaisie tape à l'oeil qui fait parfois office de contenu. Non elle s'inscrit dans ce tout cohérent qui donne son titre au film. Un film réjouissant.
    Un très bon point de départ pour un déconfinnement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juillet 2020
    Petite bulle de poésie et de fantaisie Irrévérencieuse qui fait du bien Au sortir de ce confinement !
    Les critiques grincheux de tous poils ont dû rester confinés trop longtemps.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juillet 2020
    Coup de cœur post-confinement ! J'ai adoré ! Humour parfait, acteurs parfaits, les personnages sont vraiment attachants, la musique est chouette, tout est bien !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juillet 2020
    Magnifique voyage, drôle et poétique ! De superbes images, des comédiens magnifiques. On en ressort empli de Félicita.
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2020
    Felicita débute par une énorme blague qui donne le ton, d'emblée. Est-ce que ce monde est sérieux ? Visiblement, le couple du film de Bruno Merle a choisi de vivre libre, hors de la "normalité" et conséquemment de toute morale conventionnelle, sous l’œil perplexe voire consterné de leur fillette. Tout est là, dans ce contraste entre des parents irresponsables (?) et une enfant beaucoup plus adulte. Le scénario de Felicita est imprévisible, c'est son atout premier, et se découvre sur un rythme soutenu, pendant 82 minutes. Malgré cette brièveté, il s'agit tout de même de tenir la distance entre fantaisie et absurde, tout en ménageant des plages de suspense et d'émotion. Felicita y parvient assez souvent, grâce à quelques trouvailles narratives et à une mise en scène sans ampleur mais efficace. Peu de trous d'air à signaler en définitive, l'idée étant aussi de ne pas tout expliquer et de laisser au spectateur le soin de combler les vides. Le film peut bien patiner parfois ou sembler aller nulle part, l'interprétation haut de gamme de Pio Marmaï (qui aurait fait merveille dans la comédie italienne) gomme les temps faibles de Felicita et ses dialogues avec son rejeton, subtilement jouée par la propre fille du réalisateur, sont délicieux. Il ne faut pas demander à Felicita plus ce qu'il a à offrir : des moments de doux délire avec un doudou, une crique bretonne, un cosmonaute, un casque anti-bruits et un grenier mystérieux, entre autres ingrédients. Quant à savoir si ce monde est sérieux, la réponse est toute trouvée.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Tim et Chloé vivent une vie heureuse avec leur fille Tommy. Celle-ci porte un casque à réduction de bruit. Au restaurant, ses parents lui demandent de le retirer car ils ont besoin de lui faire une confidence. En réalité, Tommy serait la fille du chanteur Orelsan. Mais la vraie réalité, c’est que Tim et Chloé font beaucoup de blagues. Et Tommy en a conscience. Cette famille aimante et complice vit au jour le jour et le spectateur participe à ce quotidien fantaisiste et pas prise de tête. On sourit beaucoup, car c’est mignon et que le casting est séduisant. “Felicità” n’a cependant pas d’objectif. L’histoire ère nulle part, et finalement, on l’oublie.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Alors que « Héros » semble toujours attisé de la curiosité, Bruno Merle prend enfin son élan et nous régale d’une aventure qui renouvelle constamment ses enjeux. Le co-scénariste de « Le Prince Oublié » adopte ainsi un niveau de richesse qui ne se définit non pas par son intrigue, mais par ces moments de légèreté, où la mise en scène laisser rêver et laisser douter. Ainsi, sa narration s’axe essentiellement autour de ce concept de responsabilité et de décisions, déterminantes pour un avenir tout chaleureux ou tout le contraire. Le regard que l’on porte sur autrui reste toujours instructif et l’intervention impromptu de « Freaks » de Tod Browning nous le confirme.

    Ce qui nous est introduit avec confusion est en réalité greffé à l’humour touchante d’une famille qui a tout pour plaire. Mais il s’agit d’un jeu qui change brutalement de forme, car le récit ne semble pas vouloir s’imposer de frontières. Il explore de plus en plus les possibilités et nous en découvrons certaine avec un malin plaisir, mais qui possèdera toutefois ses limites. Entre Tim (Pio Marmai), un père fonceur, Chloé (Camille Rutherford), une mère généreuse, il subsiste une certaine Tommy, dont les arguments vont graviter autour d’elle. Rita Merle, fille du metteur en scène et fille de cette famille au capital sympathie ambiguë, fait valoir sa qualité de jeu pour mieux ingérer la mentalité d’une adolescente, en proie à de nombreux dilemmes intérieurs.

    La présence d’un cosmonaute, ou peut-être spationaute s’il existe un tel degré de précision, conforte cette idée d’évasion, mâtinée d’un silence évocateur. Dans l’esprit de Tommy, c’est une double peine qui se ressent et les sujets que l’on aborde alimentent justement cette douleur qui la hante. La présence d’Aurélien Cotentin, alias Orelsan, permet également de justifier le fait qu’elle se situe dans une phase d’exploration émotionnelle, tout comme l’intrigue, qui ne sait pas toujours comment expliquer la mutation de la fille. Il arrive un moment où l’émancipation se formalise, mais un épilogue à l’odeur d’ajout crée un conflit avec cette fuite perpétuelle. Une vie de vagabonds, c’est du mouvement et il ne s’agit pas d’une stabilité qui conviennent aux parents et qui s’acharnent pour survire et exister aux yeux d’une fille qui ne demande qu’à être aimer.

    Malgré tout, le film ne tente jamais plus, si ce n’est entrouvrir des portes, comme celle d’un grenier et qui resteront mystérieuses et affublées d’une symbolique exaltante. Mais à force d’en ouvrir, il en oublie d’avancer et pour cela, il faut permettre au récit de répondre à quelques problématiques, non pas au bout du parcours, mais à mi-chemin, là où il est encore temps de se forger une opinion plus mesurée et sans doute plus terre à terre. La fantaisie a beau enjoliver l’espoir, mais elle finit par tourner en rond, comme la plupart des astuces scénaristiques qui distinguent le faux du vrai. Mais c’est avec beaucoup de sincérité et d’amour que « Felicità », dont le titre s’assimile à la chanson italienne de Al Bano et Romina Power, sonde le bonheur d’une cellule familiale, tout en laissant l’imaginaire s’exprime du point de vue de Tommy, aussi sage qu’impatiente en découdre avec la dureté de la vie.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 juillet 2020
    Felicità a la crédulité de penser qu’il suffit de filmer la porte cadenassée d’un grenier ou les logorrhées verbales d’un astronaute sorti de l’eau et confortablement assis sur la banquette arrière d’une voiture pour susciter l’intérêt, mieux exciter la curiosité d’un spectateur qui n’a que faire de ces images construites sur du rien et qui n’enclenchent jamais sa rêverie. Voilà un film qui se plaît à brasser de l’air sous couvert de liberté, mettant en scène des révélations pour aussitôt les détruire – ce qui devient rapidement, très rapidement lassant – dans un jeu auquel personne ne joue, sinon les comédiens au talent indéniable. Et si la première partie divertit voire surprend avec un cadre familial rapidement déconstruit, la suite prolonge et radicalise ce procédé d’exploration des possibles avec une myopie terrible, empêchant la grâce parce que constamment raccordée aux caprices d’un réalisateur qui fabrique sa bizarrerie au lieu de la donner à vivre, raccordée à cette primauté du démiurge sur son œuvre, seul capitaine à bord d’un vaisseau qui prend l’eau de toutes parts.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 juillet 2020
    Pour ces trois là, a vie n'est pas simple, elle est fantasque, drôle, émouvante, surprenante et jouée par des comédien.nes extra-ordinaires.
    Yaes
    Yaes

    5 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2020
    Voilà un curieux film au ton singulier qui n’est pas dénué d’intérêt.
    L’histoire est assez simple : la petite Tommy finit ses vacances d’été et doit rentrer en sixième le lendemain. Elle a hâte de tout : retourner à l’école, revoir ses copines et celles qui ne le sont pas, grandir. De ce postulat basique, Bruno MERLE nous embarque dans une histoire plus complexe.
    Tout d’abord, il y a les parents, Tim et Chloé, légèrement immatures qui vivent au jour le jour, sans vraiment se poser les questions qui préoccupent les adultes au quotidien et bercés par un humour très, très particulier. Malgré cela, ils sont très impliqués dans le développement intellectuel de leur fille, plus que dans son éducation au sens traditionnel du terme. Il y a ensuite Tommy, gamine atypique et peu communicative, mais à la capacité de réflexion au-dessus de la moyenne et à la répartie… intéressante. Enfin, il y a le cosmonaute. Cette troupe de personnages évolue dans une Bretagne que nous connaissons tous, mais d’une façon particulière : ils squattent la maison d’une famille partie en vacances et sont obligés de partir parce que celle-ci rentre plus tôt que prévu.
    C’est ce grain de sable qui va dérégler la petite famille à la veille de la rentrée et risquer de les empêcher d’être à huit heures zéro, zéro devant le collège. Car tout l’enjeu de l’histoire est là : Tommy veut absolument et doit être à l’heure pour la sixième. En l’espace de vingt-quatre heures, sa mère va disparaître, son père va s’inquiéter, partir à sa recherche et Tommy d’être confrontée à ces choix dont elle tente de mesurer l’impact sur sa vie future.
    Le propos de cette histoire à mi-chemin entre le récit initiatique et le conte nous fait réfléchir sur le choix en général et le fait que nous y sommes confrontés à chaque instant de notre vie, ainsi que notre capacité réelle de libre-arbitre. Mais aussi, que chacun de nos choix influence nos actions futures. Enfin, comme le dit si bien ce «philosophe» chansonnier qu’est Patrick BRUEL, « il vaut mieux vivre avec des remords qu’avec des regrets », autrement dit, ayons parfois la sagesse de ne pas penser à ce que nous aurions pu avoir pour profiter pleinement de ce que nous avons. Sans oublier de remettre en cause la notion de « normalité » (avec un parallèle/hommage un peu appuyé à Freaks de Todd BROWNING) et l’art de cultiver sa différence.
    Voilà pour l’histoire. Côté technique, nous pouvons noter un très bon travail sur le son, qui joue un rôle à part entière dans la définition du personnage de Tommy, finement interprété par Rita MERLE. N’oublions pas Pio MARMAÏ, encore une fois fabuleux, car il passe d’une émotion à une autre avec une facilité déconcertante, mais il a la délicatesse de ne jamais voler les scènes aux autres acteurs, même quand il extériorise les sentiments plus qu’à l’accoutumée.
    Même si vous ne saurez pas ce qu’il y a dans le grenier, ni pourquoi Tommy porte un casque anti-bruits, ou qui est vraiment le cosmonaute (ami imaginaire ou réel, fantôme ou expression de la conscience de Tommy), n’hésitez pas à voir ce joli moment de cinéma, tendre et délicat.
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