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Joli récit d’émancipation que ce premier film personnel et féministe qui explore avec beaucoup de finesse les sentiments d’une jeune femme au caractère bien trempé.
À l’instar de Selma qui se dépatouille mal des injonctions contrariées de son époque, la réalisatrice Kamir Aïnouz voudrait narrer une émancipation mais se soumet bien volontiers aux dispositions obligées de notre décennie.
Dans ce rôle, Zoé Adjani impressionne par son aisance à se balader dans la multitude des sentiments contradictoires traversés par son personnage. Elle rappelle la puissance tranquille de Lyna Khoudri dans Papicha et Zbeida Belhajamor dans Une histoire d’amour et de désir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans Cigare au miel, récit d’émancipation, la nièce d’Isabelle Adjani incarne, avec une aisance folle, une étudiante tiraillée entre sa famille berbère et le désir de contrôler de sa vie.
Tout en se lestant de thèmes actuels abordés avec franchise, comme la fière revendication du plaisir sexuel, le film reste une chronique d’une grande douceur, parfois même un peu lisse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Pas totalement abouti, Cigare au miel se classe néanmoins honorablement parmi les multiples témoignages cinématographiques autour de l’émancipation féminine ici ou là-bas.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cigare au miel pourrait à la rigueur intéresser quand il se confronte à une certaine crudité du sexe, ou qu'i débusque ici et là des formes de domination patriarcale. Mais, souvent mal dirigé et pauvrement mis en scène, le film transpire avant tout la propension de la bourgeoise à se penser dans la catégorie de l'universel, ses valeurs indiquant le sens de l'Histoire.
De ce récit de l’émancipation d’une jeune Française d’origine algérienne, qui cherche sa voie entre sa sexualité naissante et des parents rivés aux traditions, on retient un scénario bancal, des répliques lourdingues et des séquences laborieusement filmées.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Entre le revival kitsch nineties (ça commence comme une fiction teen d’AB Productions, avec épreuve d’oral en école de commerce et coup de foudre au ralenti), l’imaginaire érotique à la ramasse, qu’on sent façonné par le cinéma français de la révolution sexuelle il y a cinquante ans, et le surtexte démago-laïque, le film frappe immédiatement par la naïveté de sa transgression.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une intelligence et d’une délicatesse infinies sur la puissance libératrice de la sensualité.
Ouest France
Zoé Adjani donne merveilleusement corps à cette histoire d'émancipation.
Télé Loisirs
Zoé Adjani (nièce de), vibrante et fière, est la révélation bluffante de cet âpre récit d'émancipation.
Critikat.com
En dépit de ses limites, ce portrait d’une jeunesse en quête d’identité ménage une certaine singularité qui mérite que l’on s’y intéresse.
La Croix
Loin du titre à l’implicite appuyé et du générique lourdement évocateur, Cigare au miel se révèle un récit initiatique sensible.
Le Journal du Dimanche
Joli récit d’émancipation que ce premier film personnel et féministe qui explore avec beaucoup de finesse les sentiments d’une jeune femme au caractère bien trempé.
Positif
À l’instar de Selma qui se dépatouille mal des injonctions contrariées de son époque, la réalisatrice Kamir Aïnouz voudrait narrer une émancipation mais se soumet bien volontiers aux dispositions obligées de notre décennie.
Première
Dans ce rôle, Zoé Adjani impressionne par son aisance à se balader dans la multitude des sentiments contradictoires traversés par son personnage. Elle rappelle la puissance tranquille de Lyna Khoudri dans Papicha et Zbeida Belhajamor dans Une histoire d’amour et de désir.
Télé 7 Jours
Dans Cigare au miel, récit d’émancipation, la nièce d’Isabelle Adjani incarne, avec une aisance folle, une étudiante tiraillée entre sa famille berbère et le désir de contrôler de sa vie.
Télérama
Tout en se lestant de thèmes actuels abordés avec franchise, comme la fière revendication du plaisir sexuel, le film reste une chronique d’une grande douceur, parfois même un peu lisse.
aVoir-aLire.com
Pas totalement abouti, Cigare au miel se classe néanmoins honorablement parmi les multiples témoignages cinématographiques autour de l’émancipation féminine ici ou là-bas.
L'Obs
Kamir Aïnouz court trop de lièvres à la fois. Mais la jeune Zoé Adjani, de toutes les scènes, retient l’attention.
Le Monde
Le cinéaste peine à insuffler une quelconque vigueur à son récit d'émancipation féminine.
Cahiers du Cinéma
Cigare au miel pourrait à la rigueur intéresser quand il se confronte à une certaine crudité du sexe, ou qu'i débusque ici et là des formes de domination patriarcale. Mais, souvent mal dirigé et pauvrement mis en scène, le film transpire avant tout la propension de la bourgeoise à se penser dans la catégorie de l'universel, ses valeurs indiquant le sens de l'Histoire.
Le Figaro
Le film embrasse plusieurs thèmes mais ne parvient pas à les cohabiter.
Le Parisien
De ce récit de l’émancipation d’une jeune Française d’origine algérienne, qui cherche sa voie entre sa sexualité naissante et des parents rivés aux traditions, on retient un scénario bancal, des répliques lourdingues et des séquences laborieusement filmées.
Libération
Entre le revival kitsch nineties (ça commence comme une fiction teen d’AB Productions, avec épreuve d’oral en école de commerce et coup de foudre au ralenti), l’imaginaire érotique à la ramasse, qu’on sent façonné par le cinéma français de la révolution sexuelle il y a cinquante ans, et le surtexte démago-laïque, le film frappe immédiatement par la naïveté de sa transgression.