Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film d’une intelligence et d’une délicatesse infinies sur la puissance libératrice de la sensualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Zoé Adjani donne merveilleusement corps à cette histoire d'émancipation.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Zoé Adjani (nièce de), vibrante et fière, est la révélation bluffante de cet âpre récit d'émancipation.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
En dépit de ses limites, ce portrait d’une jeunesse en quête d’identité ménage une certaine singularité qui mérite que l’on s’y intéresse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Loin du titre à l’implicite appuyé et du générique lourdement évocateur, Cigare au miel se révèle un récit initiatique sensible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Joli récit d’émancipation que ce premier film personnel et féministe qui explore avec beaucoup de finesse les sentiments d’une jeune femme au caractère bien trempé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Fabien Baumann
À l’instar de Selma qui se dépatouille mal des injonctions contrariées de son époque, la réalisatrice Kamir Aïnouz voudrait narrer une émancipation mais se soumet bien volontiers aux dispositions obligées de notre décennie.
Première
par Thierry Chèze
Dans ce rôle, Zoé Adjani impressionne par son aisance à se balader dans la multitude des sentiments contradictoires traversés par son personnage. Elle rappelle la puissance tranquille de Lyna Khoudri dans Papicha et Zbeida Belhajamor dans Une histoire d’amour et de désir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Dans Cigare au miel, récit d’émancipation, la nièce d’Isabelle Adjani incarne, avec une aisance folle, une étudiante tiraillée entre sa famille berbère et le désir de contrôler de sa vie.
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout en se lestant de thèmes actuels abordés avec franchise, comme la fière revendication du plaisir sexuel, le film reste une chronique d’une grande douceur, parfois même un peu lisse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Pas totalement abouti, Cigare au miel se classe néanmoins honorablement parmi les multiples témoignages cinématographiques autour de l’émancipation féminine ici ou là-bas.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Kamir Aïnouz court trop de lièvres à la fois. Mais la jeune Zoé Adjani, de toutes les scènes, retient l’attention.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Le cinéaste peine à insuffler une quelconque vigueur à son récit d'émancipation féminine.
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Cigare au miel pourrait à la rigueur intéresser quand il se confronte à une certaine crudité du sexe, ou qu'i débusque ici et là des formes de domination patriarcale. Mais, souvent mal dirigé et pauvrement mis en scène, le film transpire avant tout la propension de la bourgeoise à se penser dans la catégorie de l'universel, ses valeurs indiquant le sens de l'Histoire.
Le Figaro
par La Rédaction
Le film embrasse plusieurs thèmes mais ne parvient pas à les cohabiter.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
De ce récit de l’émancipation d’une jeune Française d’origine algérienne, qui cherche sa voie entre sa sexualité naissante et des parents rivés aux traditions, on retient un scénario bancal, des répliques lourdingues et des séquences laborieusement filmées.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Sandra Onana
Entre le revival kitsch nineties (ça commence comme une fiction teen d’AB Productions, avec épreuve d’oral en école de commerce et coup de foudre au ralenti), l’imaginaire érotique à la ramasse, qu’on sent façonné par le cinéma français de la révolution sexuelle il y a cinquante ans, et le surtexte démago-laïque, le film frappe immédiatement par la naïveté de sa transgression.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une intelligence et d’une délicatesse infinies sur la puissance libératrice de la sensualité.
Ouest France
Zoé Adjani donne merveilleusement corps à cette histoire d'émancipation.
Télé Loisirs
Zoé Adjani (nièce de), vibrante et fière, est la révélation bluffante de cet âpre récit d'émancipation.
Critikat.com
En dépit de ses limites, ce portrait d’une jeunesse en quête d’identité ménage une certaine singularité qui mérite que l’on s’y intéresse.
La Croix
Loin du titre à l’implicite appuyé et du générique lourdement évocateur, Cigare au miel se révèle un récit initiatique sensible.
Le Journal du Dimanche
Joli récit d’émancipation que ce premier film personnel et féministe qui explore avec beaucoup de finesse les sentiments d’une jeune femme au caractère bien trempé.
Positif
À l’instar de Selma qui se dépatouille mal des injonctions contrariées de son époque, la réalisatrice Kamir Aïnouz voudrait narrer une émancipation mais se soumet bien volontiers aux dispositions obligées de notre décennie.
Première
Dans ce rôle, Zoé Adjani impressionne par son aisance à se balader dans la multitude des sentiments contradictoires traversés par son personnage. Elle rappelle la puissance tranquille de Lyna Khoudri dans Papicha et Zbeida Belhajamor dans Une histoire d’amour et de désir.
Télé 7 Jours
Dans Cigare au miel, récit d’émancipation, la nièce d’Isabelle Adjani incarne, avec une aisance folle, une étudiante tiraillée entre sa famille berbère et le désir de contrôler de sa vie.
Télérama
Tout en se lestant de thèmes actuels abordés avec franchise, comme la fière revendication du plaisir sexuel, le film reste une chronique d’une grande douceur, parfois même un peu lisse.
aVoir-aLire.com
Pas totalement abouti, Cigare au miel se classe néanmoins honorablement parmi les multiples témoignages cinématographiques autour de l’émancipation féminine ici ou là-bas.
L'Obs
Kamir Aïnouz court trop de lièvres à la fois. Mais la jeune Zoé Adjani, de toutes les scènes, retient l’attention.
Le Monde
Le cinéaste peine à insuffler une quelconque vigueur à son récit d'émancipation féminine.
Cahiers du Cinéma
Cigare au miel pourrait à la rigueur intéresser quand il se confronte à une certaine crudité du sexe, ou qu'i débusque ici et là des formes de domination patriarcale. Mais, souvent mal dirigé et pauvrement mis en scène, le film transpire avant tout la propension de la bourgeoise à se penser dans la catégorie de l'universel, ses valeurs indiquant le sens de l'Histoire.
Le Figaro
Le film embrasse plusieurs thèmes mais ne parvient pas à les cohabiter.
Le Parisien
De ce récit de l’émancipation d’une jeune Française d’origine algérienne, qui cherche sa voie entre sa sexualité naissante et des parents rivés aux traditions, on retient un scénario bancal, des répliques lourdingues et des séquences laborieusement filmées.
Libération
Entre le revival kitsch nineties (ça commence comme une fiction teen d’AB Productions, avec épreuve d’oral en école de commerce et coup de foudre au ralenti), l’imaginaire érotique à la ramasse, qu’on sent façonné par le cinéma français de la révolution sexuelle il y a cinquante ans, et le surtexte démago-laïque, le film frappe immédiatement par la naïveté de sa transgression.