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    Retour à Séoul
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    102 critiques spectateurs

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 354 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2023
    Une Française d'adoption de retour en Corée du Sud pour découvrir ses origines. Un périple touchant porté par une actrice poignante.
    Camille Do
    Camille Do

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 février 2023
    Ce film était pathétique de bout en bout. Deux heures de vacuité, de scènes caricaturales vues et revues au cinéma : le personnage qui pleure sous la douche pour exprimer la tristesse (check), le personnage qui danse seul dans un bar pour exprimer son esprit de liberté (check), et j'en passe...Ce film était tellement mauvais qu'il m'a poussé à écrire ma première critique AlloCiné, c'est dire mon désarroi. Le jeu d'acteur est vraiment très mauvais au point que ça en est gênant. Plusieurs personnes ont quitté la salle avant la fin du film, sûrement la meilleure décision de leur journée. Je comprendrai jamais comment ce film a pu arriver sur un grand écran. Du vide.
    islander29
    islander29

    857 abonnés 2 352 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2023
    Si vous cherchez de l'émotion, au naturel, ce film pourrait vous plaire....C'est l'histoire qui semble vécue ?, d'une jeune femme. Une jeune femme revient à Séoul, sur un malentendu,. Elle est agressive, limite méchante avec les gens, spoiler: et le film nous montre sa réconciliation avec elle même, qui va lui prendre sept années..
    .Elle passe par tous les états, le film peut embarrasser, on pourrait la détester, spoiler: mais le film est aussi une leçon de tolérance dans une famille où elle a perdu ses racines , elle veut retrouver ses parents biologiques,
    et c'est assez éprouvant pour elle, comme pour le spectateur...C'est le genre de film qui ne laisse pas indifférent, inspiré par de grands metteurs en scène, certains passages font penser de manière sombre à la désillusion, d'un Jim Jarmusch, d'autre à la jovialité d'un Alexander Payne; d'autres au repas à la Hong Sang Soo...On passe par beaucoup d'émotions, de tristesses, d'incompréhension . La jeune femme est dans le déni, d'elle même , des autres , de l'amour, elle ne refuse pas des aventures sans lendemain.....Le film rend parfois perplexe sur une telle personnalité, mais in fine, il offre beaucoup d'émotions variées... Au final entre la France et la Corée, le cœur du spectateur balance, je conseille....
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2023
    Frédérique (Park Ji-Min) est née en Corée. Abandonnée à sa naissance, vingt-cinq ans plus tôt, elle a été recueillie par une famille française aimante et a grandi dans le Lot sans contact avec son pays d'origine. Elle y revient un peu par hasard en 2013 et, alors même qu'elle n'en avait pas formulé consciemment le projet, part à la recherche de ses parents biologiques.

    "Retour à Séoul" traite sur un mode romanesque d'un sujet qui a déjà fait l'objet de bien des documentaires : l'adoption internationale. Avec beaucoup de finesse, "Une histoire à soi" suivait cinq adoptés dans leurs voyages vers leurs pays de naissance pour y renouer avec une immense émotion les liens avec leurs familles biologiques. Un autre documentaire m'avait marqué, consacré au jeune directeur artistique de Balmain, Olivier Rousteing, né sous X qui racontait son parcours semé d’embûches à la recherche de sa mère biologique.

    Le stéréotype voudrait que l'adopté.e cache une blessure intime, une faille existentielle que la réunion avec ses parents biologiques viendrait soigner, la seule incertitude étant l'issue, fructueuse ou infructueuse, de cette démarche : l'enfant retrouvera-t-il ses parents ? cette réunion sera-t-elle apaisée ou conflictuelle ?
    Avec beaucoup d'intelligence, "Retour à Séoul" renverse ce stéréotype en mettant en scène une héroïne solide dans ses baskets, nullement tenaillée par la quête de ses origines. On me répondra qu'elle l'était peut-être inconsciemment. Je m'accroche à l'idée qu'elle ne l'était pas car son personnage me semble plus intéressant s'il ne reproduit pas le stéréotype que je viens d'évoquer.
    Je comprends les évolutions du personnage - dont hélas je ne dirai pas plus sauf à entamer la surprise qu'on aura à les découvrir - comme les conséquences des événements qu'elle vit non comme la révélation de son état préexistant. Cette phrase pourra sembler bien floue à qui n'a pas vu le film ; j'espère qu'elle le sera moins pour ceux qui l'ont déjà vu.

    Mais avant d'en arriver là, Davy Chou, un réalisateur franco-cambodgien qui, lui aussi, s'est construit à cheval entre deux cultures, filme une situation rarement décrite au cinéma : celle de l'étranger à son propre pays. Tout dans la physionomie de Frédérique la désigne comme une Coréenne. Mais ce pays, où elle est née en effet, mais où elle n'avait jamais remis les pieds, dont elle ne parle pas la langue, dont elle ne connaît ni la culture ni les usages, lui est totalement étranger. Suis-je d'ici (en Corée), se demande-t-elle muettement, alors que au tréfonds de moi, dans l'histoire personnelle de mes vingt-cinq années, j'appartiens à là-bas (la France) ?

    De chaque plan, Park Ji-Min prête ses traits à l'héroïne de "Retour à Séoul". C'est une actrice amatrice dont c'est le premier film. Elle y est parfaite. La variété de son jeu est aussi étonnante que celle de son apparence physique : j'ai passé tout le film à me demander si elle était belle ou banale. Son personnage m'a fait penser à celui de la jeune violoncelliste russe de Tár, vu la veille : l'une comme l'autre tracent leurs voies dans la vie sans regarder derrière elles, avec un mélange de fougue, d'absence de scrupule et de charme qui caractérise peut-être les "millenials".
    Joce2012
    Joce2012

    203 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2023
    Bon film qui parle de l’adoption et des souffrances que cela engendrent, surtout quand il s’agit de cultures différentes, très bien interprété
    laurab83
    laurab83

    17 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Très beau film sur la recherche d'identité des enfants adoptés
    Avec cette douce folie coréenne qui nous tient en haleine .
    Je le conseille vivement
    Joseph kévin
    Joseph kévin

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 janvier 2023
    Enlevez les paroles en coréen et ce film pourrait se passer n'importe tout autre ... On nous vend l'histoire d'une jeune femme à la recherche de ses origines mais on ne découvre rien de ce monde à part qu'il est mal polie de se servir à boire soit même... Le personnage principal passe sa vie à prendre des décisions dans un sens pour au final agir comme ci on lui avait imposé la chose, préférant agir de manière impulsive et destructrice pour ruiner sa vie et surtout celle des gens qui l'entoure , spoiler: vous attachez pas, personne ne reviens entre chaque ellipse à part le père qui joue le fil rouge de l'adoption
    haaa toxicité quand tu nous tiens...
    Des scènes d'une longueur parfois abyssale pour un intérêt incertain.
    Si vous voulez découvrir la Corée du sud ou une aventure d'adoption, économisez 2h de votre vie et regardez autres chose...
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    179 abonnés 2 265 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2023
    Cette quête de soi d’une jeune femme adoptée et écorchée vive est très riche : ce choc des cultures entre une française qui ne veut surtout pas se plier aux coutumes coréennes de ses origines et ce monde qu’elle découvre est très bien rendu, grâce à une excellente actrice, Park Ji-Min dont c’est le premier rôle, et grâce à une observation très précise par le réalisateur de ce pays, la Corée du Sud, que je connais tant. La subtilité des dialogues entre une française qui dit ce qu’elle pense et les traductions de ses propos à dessein non conformes par des coréens qui ne peuvent pas se départir de leur déférence culturelle envers les anciens, les situations mises au tamis du temps qui passe et qui transforme le caractère encore en construction de l’héroïne font que les émotions passent et qu’on est cueilli par cette histoire tellement bien traitée et aux très belles musiques d’accompagnement. Seulement 44 000 entrées en première semaine pour ce film destiné à un public exigeant.
    Mélany T
    Mélany T

    31 abonnés 559 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2023
    La mise en scène pop est très belle et l'actrice merveilleuse, le récit original, intriguant et émouvant. Il y a quelques longueurs mais l'ensemble reste excellent.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    159 abonnés 1 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2023
    Avant d’aller voir le film, je trouvais juste l’affiche très belle et cela m’a vraiment donné l’envie de le voir. Je n’ai pas été déçu car ce film est assez bien. Déjà, l’histoire est très chouette même si la réalisation a beaucoup de creux, mais ça se regarde.

    En effet, la réalisation est immersive dans le sens où nous suivons de très près le personnage principal dans beaucoup de moments importants. Les plans sont presque tous magnifiques ; la photographie est très travaillée, les images sont belles. Les mouvements de caméra suivent constamment notre protagoniste. Je trouve que la musique est très cool ; les basses sont surtout très puissantes dans les séquences de boîte. Selon moi, le gros point fort du film, c’est vraiment la lumière, que ce soit en boîte ou dans le Séoul nocturne, elles sont tellement oniriques et inspirantes.

    Par contre, le scénario a beaucoup plus de failles. Tout d’abord, l’histoire est originale, et j’ai aimé suivre le personnage principal ; l’idée est assez belle et les intrigues sont relativement touchantes. Malgré tout, le film n’est pas très bien rythmé car il y a de nombreuses ellipses mais, il y a quand même plusieurs moments dont on pourrait se passer. D’ailleurs, la psychologie du protagoniste est très dure à comprendre, pour ne pas dire incompréhensible. A part cela, les autres personnages sont suffisamment développés et ne sont ni caricaturaux, ni trop effacés. Le choc de culture est plutôt sympathique et la conclusion est très jolie.

    Je conseille ce film car il présente un vrai projet accompagné d’un bon propos (auquel je ne suis pas lié mais c’est bien raconté). Surtout que la mise en scène est très pure ; petit point à revoir sur le jeu de l’actrice principal qui n’est pas toujours juste.
    Muriel F.
    Muriel F.

    53 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    On retiendra déjà Park Ji-min (II) dans le rôle principal (Freddie) qui fait une entrée dans le cinéma de façon remarquable. Le Retour à Séoul de Davy Chou est aussi bien mis en scène que filmé. La recherche de ses origines en tant qu'enfant adopté venant de l'étranger est un propos universel. Là, le sujet est traité avec une singularité particulière spoiler: puisqu'on découvre un premier parent qui cherche à se racheter tandis que sa fille peu émue continue sa quête pour retrouver sa mère
    . Un film qui remue et touchant. A voir !.
    JB D
    JB D

    8 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2023
    It’s all about an actress.

    Mille angles peuvent orienter le regard et la critique d’un film ; quel sens veut-on faire ressortir, quel sentiment veut-on partager, comment peut-on continuer à faire vivre le regard personnel d’un auteur, et le relier à l’intelligence et la sensibilité du lecteur? Comment, en d’autres termes, donner envie?

    Alors voilà, parfois, on se confronte à un phénomène rare, peut-être l’un des plus beaux que le cinéma soit capable de nous offrir : la découverte d’un visage qui va grandir en nous. Une actrice, souvent. Quelque chose qui imprime, se laisse infuser mais se délite en permanence : l’impénétrable relation entre un monde intérieur et le bain chimique du cinéma. Une frontière avec une bouche, un nez, des yeux. « Retour à Séoul » est de ces expériences cinématographiques qui respirent par la découverte d’une actrice. Je veux dire que la question n’est pas d’envisager le talent de qui joue mieux la comédie que l’autre (tant d’actrices sont exceptionnellement douées aujourd’hui, la question n’est pas là), mais plutôt l’énigme pas si subjective d’une présence qui irradie, brûle, fond, contient, joue, surjoue, une présence traversée par tout et pour tout. Insolente, indomptable, infiniment triste, tendre, joyeuse.

    Cette semaine, on peut admirer la grande Cate Blanchett dans « Tár » et c’est bel et bien quelque chose, mais on peut aussi découvrir une actrice qui peut-être ne le sera déjà plus (c’est son premier film mais elle est plasticienne). C’est-à-dire, il y a des visages, des corps, des actrices qui ont cette capacité, quelque part entre le hasard et la malice, de pouvoir vous rappeler instantanément et précisément un film par le seul magnétisme de leur visage. Park Ji-Min est de celles-là ; parmi Garbo, Faye Dunaway, Vasilina Makovtseva, Zhou Xun… mieux que des actrices, des visages impossibles à capter, des visages qui déforment les cadres, des visages qui sont les cadres et le sujet à eux-mêmes. Elles ont un pouvoir de vie et de mort sur le film. « Retour à Séoul » est déjà en lui-même un beau film, un voyage émouvant et attentif, justement, à ce que Park Ji-Min peut donner : et quelle chance, elle peut tout lui donner.

    Il est difficile de définir ce qu’un film devient quand un comédien peut lui conférer une sorte de relation intime, prêt à être regardé, objet de fascination, luciole parmi les vivants. Il y a des actrices dont on tomberait amoureux si l’on ne rallumait pas les lumières, si la production ne défilait pas lors du générique. Territoire à explorer, le visage de Ji-Min/Freddie est comme le film : il s’arpente, à la découverte de quelque chose. Davy Chou cherche à découvrir son actrice comme le personnage de Freddie cherche à découvrir ses origines. Deux mouvements, un même regard. Beauté du film : faire confiance à l’actrice. La laisser déborder d’émotions contradictoires, jouées en conscience de ne pas être une actrice professionnelle, dans toute sa vulnérabilité - qui bien sûr est un trésor de cinéma.

    Il faut la voir danser comme une sorte de Denis Lavant dans « Mauvais sang » lors d’une magnifique scène de bar, la voir ré-arranger le plan et les personnages à table dès la seconde séquence du film, comme un metteur en scène aux commandes. Il faut la voir en plein bad trip, sur la corde entre le gouffre de tristesse et la joie de l’oubli, dans une séquence de night-club que n’aurait pas renié HHH. Il faut la voir gueuler, se recroqueviller, blesser et être blessée, et surtout il faut la voir contenir pendant deux heures des émotions que l’on comprend sans les vivre dans notre chair : et se rendre compte qu’elle finit par les rendre réelles, tangibles, par un geste, une bouche à demi-ouverte, un mot de travers.

    Les larmes qui viennent à la fin du film sont celles d’une actrice indocile dont les digues ont lâchées, laisser-aller bouleversant où la vie se révèle telle qu’elle est : belle, triste, crue, injuste, riche de sens, illogique, impénétrable. Un piano abandonné au fond d’un hôtel miteux : quelques notes déchiffrées et le passé se fait lumière intérieure, silencieuse. Déchiffrer, comme elle le dit au début du film, c’est lire des signes et essayer de les comprendre. La peur et la tristesse agissent comme des révélateurs vers la tentation du bonheur - mais sans injonction. Un beau matin, on se sent mieux. Freddie renaît au monde, et le cinéma donne vie à une comédienne à qui il est déjà temps de dire au revoir.

    La vie est une actrice : Garbo, Dunaway, Park Ji-Min.
    lecinema_clem
    lecinema_clem

    45 abonnés 211 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2023
    J’ai trouvé qu’il y avait à certain moment dans ce film beaucoup de magie (comme cette première scène dans le bar). Et puis finalement, j’ai eu du mal à comprendre ce que le réalisateur voulait nous montrer et là où il voulait nous emmener. Au final, cela donne une œuvre assez inégale, aussi bien dans le rythme que dans les propos. Ce que j’avais imaginé nous suivre tout au long du film - la recherche de la filiation de Freddie - passe très souvent au second plan. C’est dommage car on sent un potentiel chez l’interprète principale. Certains personnages n’apportent rien à l’histoire.

    D'autres critiques sur le compte IG : lecinema.clement
    ffred
    ffred

    1 691 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 février 2023
    En fait, il y a longtemps que je n’avais vu un film asiatique. Je donc suis rentré complètement au hasard en salle. Au final, il s’agit d’un film français, même si l’intrigue se déroule entièrement en Corée du Sud. Davy Chou, jeune réalisateur français d’origine cambodgienne, nous offre un beau portrait de femme, inspiré de l’histoire vraie d’une de ses amies, partie à la recherche de ses racines, ses origines et de son identité dans son pays natal. Le récit, sur plusieurs années, est plutôt lent, parfois contemplatif et poétique. Dans différentes ambiances, des plus zen ou intimes, aux plus pops et psychédéliques. Malgré son côté un peu revêche et imprévisible, on s’attache assez vite au personnage, et avec elle on espère. La fin est aussi belle que déchirante et nous laisse sur un sentiment doux amer. Le tout est solidement mis en scène, finement écrit, et parfaitement interprété. Park Ji-Min, jeune actrice française elle-même née en Corée, est une belle révélation. Elle crève l’écran et porte tout le film sur ses épaules. Un très beau film donc, chargé d’émotion et d’un certain humour, pour une très belle surprise.
    Housecoat
    Housecoat

    121 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2023
    Une jeune femme se retrouve sur un coup de tête à vivre le voyage le plus important de sa vie sur la terre qui l’a vu naître. Davy Chou nous fait assister au déracinement de son héroïne qui fait table rase de ses repères à chaque bond temporel, ne regardant jamais derrière elle, à défaut d’ignorer ses origines. Étendre l’intrigue sur plusieurs années est la décision qui démarque Retour à Séoul, élargissant la vision personnelle de l’adoptée au-delà des frontières surmontables (linguistiques, géographiques…) et révélant une actrice extrêmement talentueuse et aux choix assurés sur son personnage. Étonnant et plein d’originalités.
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