Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Cinéma Présenté à Un certain regard à Cannes, ce film splendide explore le parcours d’une enfant adoptée française dans son pays d’origine, la Corée du Sud, et révèle une comédienne novice fabuleuse, Park Ji-min.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Davy Chou mène l’épopée virevoltante de cette jeune femme avec une époustouflante virtuosité, transcendée par les qualités de soliste de son actrice Park Ji-min.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur fait partager la quête de son héroïne avec une acuité exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Léo Ortuno
Davy Chou réussit un tour de force en réalisant ce long-métrage, qui épouse dans sa forme les caractéristiques de son héroïne imprévisible.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Après Diamond Island, Davy Chou confirme avec cette tempétueuse quête d'identité portée par une actrice formidable, Park Ji-Min.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
On se rend compte de la belle performance de Park Ji-min (...) quand on sait que c’est sa première apparition à l’écran – elle est artiste plasticienne. Car Freddie est un personnage fort, dense. Elle est énergique, offensive, agressive parfois, mais aussi repliée sur elle-même, souvent sur la défensive, mortifiée par son histoire personnelle et par ce qu’elle vit au Pays du Matin calme, glissant sur la pente de l’autodestruction.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un portrait de femme bouleversant.
L'Obs
par Sophie Grassin
Chou scrute Park Ji-min, une non-professionnelle, en gros plans pour tenter de percer son mystère. Elle est autant l’auteure du film que lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Dans le rôle de Freddie, Park Ji-min, plasticienne d’origine coréenne, contribue grandement à restituer toute la palette des sentiments qui traversent la jeune femme. Elle permet à ce film, plein de bruits et de fureur, de refuser les facilités liées à son sujet – l’adoption internationale – pour en explorer toute la violence et la complexité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par David Ezan
Davy Chou préfère sacrifier les liants du récit à une logique d’immédiateté émotionnelle, où de pures visions de cinéma se mêlent à quelques motifs ludiques.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film émouvant à rebour des clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Davy Chou signe un film bouleversant sur l'apprentissage et ce chemin sans fin qui conduit chacun à tenter de comprendre qui il est.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
L’excellent Davy Chou signe un beau et singulier portrait de femme porté par l’étonnante et magnétique Park Ji-min, véritable révélation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Davy Chou signe un beau film délicat et indocile, toujours travaillé par l’idée de l’abandon, aux deux sens du mot : une peur de l’abandon comme mode d’être aux autres qui consiste à les quitter avant qu’ils ne vous quittent, et l’abandon comme contre-poison au premier, en tant que seule façon de «lâcher l’affaire» et de cesser d’avoir peur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
À travers cet irradiant portrait de jeune femme, le réalisateur Davy Chou livre une réflexion pudique et sensible sur la quête des origines.
Paris Match
par Yannick Vely
La performance de Park Ji-min est incroyable et Davy Chou y est certainement pour quelque chose, donnant tout l'espace nécessaire à la jeune femme pour qu'elle brûle tout sur son passage. «Retour à Séoul» épouse son caractère indomptable et se refuse à être un film à thèse sur l'adoption.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Estelle Aubin
Le cinéaste de 38 ans semble déjà avoir trouvé son style, quelque part entre des ellipses ambitieuses et une caméra tourbillonnante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Âpre et romanesque.
Télérama
par Guillemette Odicino
Une quête enragée et captivante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film aux multiples modes de langage mais dénué de folklore et de victimisation, très elliptique, décidément déroutant et mystérieux en ce qu’il décrit peut-être une quête sans fin.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On ne peut être que touché par ce mélodrame qui traite de l’abandon, de l’adoption, de l’identité et des racines, à travers le portrait psychologique d’une héroïne en errance et en construction, qui tient pourtant à distance avec son tempérament imprévisible, à vif et en souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
A elle seule, Freddie est une insurrection, dont Davy Chou documente sur une dizaine d’années les secousses, tout juste adoucies par la musique pop et les fêtes omniprésentes de la jeunesse séoulienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
On retrouve dans le travail de Davy Chou cet art de condenser le flux des ans en une œuvre à la fois limpide et cohérente [...].
Télé 2 semaines
par S.O.
Confronté au choc des cultures, ce personnage en quête de racines se révèle peu à peu dans toute sa complexité, au long d'un film qui surprend par sa liberté de ton et de récit.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Malgré une froideur qui pourra rebuter, ce dernier film de Davy Chou propose un regard singulier et intéressant sur l’identité et les racines culturelles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Habitée par une colère inflammable, Freddie ne se laisse pas attendrir lorsque son père coréen déverse sur elle son chagrin de l’avoir abandonnée. Elle se débrouille pour mener la danse, quitte à se montrer dure ou insensible, reconfigurant les relations comme bon lui semble, changeant de métier et d’apparence, dans une quête d’identité sans résolution.”
Critikat.com
par Corentin Lê
Certaines scènes passent un peu en force, lorsque le montage vient souligner des silences « qui en disent long ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Il est vrai que le jeune cinéaste filme remarquablement et que ses images somptueuses nous en mettent encore une fois plein les yeux. On n’est moins convaincu par le récit de cette quête d’identité qui, à force d’hésiter, finit par nous laisser froid.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Humanité
Cinéma Présenté à Un certain regard à Cannes, ce film splendide explore le parcours d’une enfant adoptée française dans son pays d’origine, la Corée du Sud, et révèle une comédienne novice fabuleuse, Park Ji-min.
Les Inrockuptibles
Davy Chou mène l’épopée virevoltante de cette jeune femme avec une époustouflante virtuosité, transcendée par les qualités de soliste de son actrice Park Ji-min.
20 Minutes
Le réalisateur fait partager la quête de son héroïne avec une acuité exceptionnelle.
Bande à part
Davy Chou réussit un tour de force en réalisant ce long-métrage, qui épouse dans sa forme les caractéristiques de son héroïne imprévisible.
CinemaTeaser
Après Diamond Island, Davy Chou confirme avec cette tempétueuse quête d'identité portée par une actrice formidable, Park Ji-Min.
Culturopoing.com
On se rend compte de la belle performance de Park Ji-min (...) quand on sait que c’est sa première apparition à l’écran – elle est artiste plasticienne. Car Freddie est un personnage fort, dense. Elle est énergique, offensive, agressive parfois, mais aussi repliée sur elle-même, souvent sur la défensive, mortifiée par son histoire personnelle et par ce qu’elle vit au Pays du Matin calme, glissant sur la pente de l’autodestruction.
Elle
Un portrait de femme bouleversant.
L'Obs
Chou scrute Park Ji-min, une non-professionnelle, en gros plans pour tenter de percer son mystère. Elle est autant l’auteure du film que lui.
La Croix
Dans le rôle de Freddie, Park Ji-min, plasticienne d’origine coréenne, contribue grandement à restituer toute la palette des sentiments qui traversent la jeune femme. Elle permet à ce film, plein de bruits et de fureur, de refuser les facilités liées à son sujet – l’adoption internationale – pour en explorer toute la violence et la complexité.
La Septième Obsession
Davy Chou préfère sacrifier les liants du récit à une logique d’immédiateté émotionnelle, où de pures visions de cinéma se mêlent à quelques motifs ludiques.
Le Figaro
Un film émouvant à rebour des clichés.
Les Echos
Davy Chou signe un film bouleversant sur l'apprentissage et ce chemin sans fin qui conduit chacun à tenter de comprendre qui il est.
Les Fiches du Cinéma
L’excellent Davy Chou signe un beau et singulier portrait de femme porté par l’étonnante et magnétique Park Ji-min, véritable révélation.
Libération
Davy Chou signe un beau film délicat et indocile, toujours travaillé par l’idée de l’abandon, aux deux sens du mot : une peur de l’abandon comme mode d’être aux autres qui consiste à les quitter avant qu’ils ne vous quittent, et l’abandon comme contre-poison au premier, en tant que seule façon de «lâcher l’affaire» et de cesser d’avoir peur.
Marie Claire
À travers cet irradiant portrait de jeune femme, le réalisateur Davy Chou livre une réflexion pudique et sensible sur la quête des origines.
Paris Match
La performance de Park Ji-min est incroyable et Davy Chou y est certainement pour quelque chose, donnant tout l'espace nécessaire à la jeune femme pour qu'elle brûle tout sur son passage. «Retour à Séoul» épouse son caractère indomptable et se refuse à être un film à thèse sur l'adoption.
Première
Le cinéaste de 38 ans semble déjà avoir trouvé son style, quelque part entre des ellipses ambitieuses et une caméra tourbillonnante.
Transfuge
Âpre et romanesque.
Télérama
Une quête enragée et captivante.
La Voix du Nord
Un film aux multiples modes de langage mais dénué de folklore et de victimisation, très elliptique, décidément déroutant et mystérieux en ce qu’il décrit peut-être une quête sans fin.
Le Journal du Dimanche
On ne peut être que touché par ce mélodrame qui traite de l’abandon, de l’adoption, de l’identité et des racines, à travers le portrait psychologique d’une héroïne en errance et en construction, qui tient pourtant à distance avec son tempérament imprévisible, à vif et en souffrance.
Le Monde
A elle seule, Freddie est une insurrection, dont Davy Chou documente sur une dizaine d’années les secousses, tout juste adoucies par la musique pop et les fêtes omniprésentes de la jeunesse séoulienne.
Positif
On retrouve dans le travail de Davy Chou cet art de condenser le flux des ans en une œuvre à la fois limpide et cohérente [...].
Télé 2 semaines
Confronté au choc des cultures, ce personnage en quête de racines se révèle peu à peu dans toute sa complexité, au long d'un film qui surprend par sa liberté de ton et de récit.
aVoir-aLire.com
Malgré une froideur qui pourra rebuter, ce dernier film de Davy Chou propose un regard singulier et intéressant sur l’identité et les racines culturelles.
Cahiers du Cinéma
Habitée par une colère inflammable, Freddie ne se laisse pas attendrir lorsque son père coréen déverse sur elle son chagrin de l’avoir abandonnée. Elle se débrouille pour mener la danse, quitte à se montrer dure ou insensible, reconfigurant les relations comme bon lui semble, changeant de métier et d’apparence, dans une quête d’identité sans résolution.”
Critikat.com
Certaines scènes passent un peu en force, lorsque le montage vient souligner des silences « qui en disent long ».
Le Parisien
Il est vrai que le jeune cinéaste filme remarquablement et que ses images somptueuses nous en mettent encore une fois plein les yeux. On n’est moins convaincu par le récit de cette quête d’identité qui, à force d’hésiter, finit par nous laisser froid.