Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Outre la grande maîtrise formelle du film, tout en fixités sculpturales et en profondeurs sonores nappant les scènes d’une tension indicible, il faut aussi et surtout saluer la distance parfaite que le réalisateur pose avec ses sujets, et le sentiment de pure vision qui se dégage du résultat.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Découvert à la Semaine de la Critique, L’Eden, fable politique centrée sur un camp d’internement, est un petit joyau.
Culturopoing.com
par La Rédaction
La qualité de la texture sonore, discrètement renforcée par une envoutante musique électronique, participe à la réussite d’un film inconfortable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
Ambitieux et maîtrisé.
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Andrés Ramírez Pulido réalise un premier film poignant, dans lequel la mise en scène est au service d’acteurs non professionnels bluffants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une première œuvre dense, belle et cruelle à la fois, qui rappelle ô combien que la jeunesse, la plus déstructurée soit-elle, est un joyau à préserver.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
L’intensité des cadrages, la sinistre apparence des lieux, le virilisme dominant et l’atmosphère sectaire laissent imaginer une immersion dans l’horreur, la corruption des esprits et la destruction des corps, que l’arrivée de l’ingérable complice d’Eliú ne fait qu’accélérer (...).. Heureusement, Ramírez Pulido suit sa « meute » (titre original de ce premier film, La jauría) vers un territoire tout aussi sombre mais plus abstrait.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Inattendu, déroutant, cette singulière histoire de violence ancrée et de rédemption incertaine impressionne par la précision de sa mise en scène et la prégnance de ses images entre zones d’ombres et puits de lumière.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) voilà autant de motifs qui se déploient davantage dans le souvenir de La Libertad (2001), de l’Argentin Lisandro Alonso, ou de L’Etreinte du serpent (2015), de Ciro Guerra. Appelons cela le réalisme magique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Le cinéaste affiche une maîtrise formelle impressionnante, cadres larges au cordeau, ambiance sonore fourmillante, couleurs sombres et denses, mais ce faisant n’accorde que très peu de place à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Mais une fois passée son entame mystérieuse à souhait, cette variation autour de la fabrique virile de la violence peine à trouver sa singularité face aux récents films sud- américains qui ont traité de ce sujet, avec plus de puissance tant dans leur mise en scène que dans la gestion du récit. L’ombre du Monos de son compatriote colombien Alejandro Landes se révèle particulièrement écrasante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
par La Rédaction
Une réflexion autour de la fabrication viriliste de la violence un peu trop scolaire.
Télérama
par Michel Bezbakh
À vouloir sonder les âmes et rien d’autre, il arrive qu’on ne filme plus grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Outre la grande maîtrise formelle du film, tout en fixités sculpturales et en profondeurs sonores nappant les scènes d’une tension indicible, il faut aussi et surtout saluer la distance parfaite que le réalisateur pose avec ses sujets, et le sentiment de pure vision qui se dégage du résultat.
Transfuge
Découvert à la Semaine de la Critique, L’Eden, fable politique centrée sur un camp d’internement, est un petit joyau.
Culturopoing.com
La qualité de la texture sonore, discrètement renforcée par une envoutante musique électronique, participe à la réussite d’un film inconfortable.
La Septième Obsession
Ambitieux et maîtrisé.
Les Fiches du Cinéma
Andrés Ramírez Pulido réalise un premier film poignant, dans lequel la mise en scène est au service d’acteurs non professionnels bluffants.
aVoir-aLire.com
Une première œuvre dense, belle et cruelle à la fois, qui rappelle ô combien que la jeunesse, la plus déstructurée soit-elle, est un joyau à préserver.
Cahiers du Cinéma
L’intensité des cadrages, la sinistre apparence des lieux, le virilisme dominant et l’atmosphère sectaire laissent imaginer une immersion dans l’horreur, la corruption des esprits et la destruction des corps, que l’arrivée de l’ingérable complice d’Eliú ne fait qu’accélérer (...).. Heureusement, Ramírez Pulido suit sa « meute » (titre original de ce premier film, La jauría) vers un territoire tout aussi sombre mais plus abstrait.
Le Journal du Dimanche
Inattendu, déroutant, cette singulière histoire de violence ancrée et de rédemption incertaine impressionne par la précision de sa mise en scène et la prégnance de ses images entre zones d’ombres et puits de lumière.
Le Monde
(...) voilà autant de motifs qui se déploient davantage dans le souvenir de La Libertad (2001), de l’Argentin Lisandro Alonso, ou de L’Etreinte du serpent (2015), de Ciro Guerra. Appelons cela le réalisme magique.
Libération
Le cinéaste affiche une maîtrise formelle impressionnante, cadres larges au cordeau, ambiance sonore fourmillante, couleurs sombres et denses, mais ce faisant n’accorde que très peu de place à ses personnages.
Première
Mais une fois passée son entame mystérieuse à souhait, cette variation autour de la fabrique virile de la violence peine à trouver sa singularité face aux récents films sud- américains qui ont traité de ce sujet, avec plus de puissance tant dans leur mise en scène que dans la gestion du récit. L’ombre du Monos de son compatriote colombien Alejandro Landes se révèle particulièrement écrasante.
Ouest France
Une réflexion autour de la fabrication viriliste de la violence un peu trop scolaire.
Télérama
À vouloir sonder les âmes et rien d’autre, il arrive qu’on ne filme plus grand-chose.