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La mise en scène de Yassine Qnia, tout en tension et en décrochages politiques, portée par la précision et le charisme de son acteur principal donne à ce portrait d’un homme toxique, d’un anti héros ordinaire, une vraie force de cinéma.
Nocturne, feutré et intimiste, De bas étage aurait pu être plein de bruit et de fureur. C’est tout le contraire d’un film qui creuse en profondeur des personnages pris en pleine mutation. Beau geste.
La chronique intimiste est tendue par le suspense du récit criminel aux ressorts codifiés, la mise en scène dynamique bénéficie notamment du clair-obscur photogénique des scènes nocturnes, et surtout, le travail avec les acteurs est toujours juste, convaincant, jamais schématique ni manichéen.
Ce premier long métrage frappe juste avec sa peinture inédite de la banlieue, où un petit voleur et une coiffeuse forment un couple désuni… et si séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un premier film fulgurant et sensible qui donne la parole à ces jeunes gens de banlieue d’origine maghrébine qui ne parviennent pas à activer l’ascenseur social et à sortir du stigmate qui pèse sur eux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
En se focalisant sur un anti-héros bloqué dans le passé, le premier long de Yasmine Qnia apporte un soupçon de fraîcheur dans sa façon d’aborder la banlieue. Il s’en dégage un sentiment de nostalgie qui rend émouvant un personnage a priori plutôt antipathique.
Si l’épure apparente de la mise en scène permet de prendre le temps de filmer les visages, à la surface desquels se matérialisent les fluctuations intérieures des personnages, elle n’échappe pas à une certaine artificialité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le sur-place scénaristique dit bien l’inclination à l’échec que se trimballe le protagoniste, mais ne fait pas beaucoup pour le spectateur. Mehdi reste un inconnu pour nous à l’issue du film, comme le reste des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
La mise en scène de Yassine Qnia, tout en tension et en décrochages politiques, portée par la précision et le charisme de son acteur principal donne à ce portrait d’un homme toxique, d’un anti héros ordinaire, une vraie force de cinéma.
Elle
Un film pudique et sans artifices.
Franceinfo Culture
Nocturne, feutré et intimiste, De bas étage aurait pu être plein de bruit et de fureur. C’est tout le contraire d’un film qui creuse en profondeur des personnages pris en pleine mutation. Beau geste.
L'Humanité
Si le récit patine ponctuellement, De bas étage n’en reste pas moins un attachant polar social en même temps qu’une romance contrariée.
Le Parisien
Le réalisateur Yassine Qnia signe là un premier film sombre, mais juste et très bien écrit.
Les Echos
Chaque plan de "De bas étage" respire une incomparable odeur de réalité.
Positif
La chronique intimiste est tendue par le suspense du récit criminel aux ressorts codifiés, la mise en scène dynamique bénéficie notamment du clair-obscur photogénique des scènes nocturnes, et surtout, le travail avec les acteurs est toujours juste, convaincant, jamais schématique ni manichéen.
Télé 2 semaines
Ce portrait pudique d’un homme qui tombe est magnifiquement porté par Soufiane Guerrab.
Télé Loisirs
Ce portrait pudique d'un homme qui tombe est magistralement porté par Soufiane Guerrab.
Télérama
Ce premier long métrage frappe juste avec sa peinture inédite de la banlieue, où un petit voleur et une coiffeuse forment un couple désuni… et si séduisant.
Voici
Un drame initiatique sobre, porté par un casting remarquable.
aVoir-aLire.com
Un premier film fulgurant et sensible qui donne la parole à ces jeunes gens de banlieue d’origine maghrébine qui ne parviennent pas à activer l’ascenseur social et à sortir du stigmate qui pèse sur eux.
L'Obs
Un coup d’essai prometteur, servi par l’époustouflant Soufiane Guerrab.
Le Journal du Dimanche
Un drame urbain maîtrisé, habilement éclairé mais trop dépouillé pour parvenir à susciter l’empathie.
Le Monde
De bas étage est un film délicat et juste, qui ne se pousse jamais du col, en quoi il suffit à sa peine et à notre constant intérêt.
Les Fiches du Cinéma
En se focalisant sur un anti-héros bloqué dans le passé, le premier long de Yasmine Qnia apporte un soupçon de fraîcheur dans sa façon d’aborder la banlieue. Il s’en dégage un sentiment de nostalgie qui rend émouvant un personnage a priori plutôt antipathique.
Les Inrockuptibles
Yassine Qnia réussit à moitié une sorte de fil noir contemporain crépusculaire et péri-urbain.
Première
Un film infiniment romanesque dont la modestie revendiquée traduit avec superbe la pudeur de son personnage principal.
Critikat.com
Si l’épure apparente de la mise en scène permet de prendre le temps de filmer les visages, à la surface desquels se matérialisent les fluctuations intérieures des personnages, elle n’échappe pas à une certaine artificialité.
La Croix
Comme son héros, le long-métrage, sobre et pudique jusqu’à l’austérité, semble hésiter sur la voie à suivre, ou s’y engage de manière trop louvoyante.
Le Figaro
Soufiane Guerrab fait ce qu’il peut pour rendre [son personnage] attachant, mais le scénario ne fait que l’enfoncer.
Libération
Le sur-place scénaristique dit bien l’inclination à l’échec que se trimballe le protagoniste, mais ne fait pas beaucoup pour le spectateur. Mehdi reste un inconnu pour nous à l’issue du film, comme le reste des personnages.