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VIVE LA FRANCHE COMTE
15 abonnés
23 critiques
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5,0
Publiée le 24 juin 2022
ODE A LA NATURE ET A LA SIMPLICITE DE LA VIE - l'Ecole du bout du Monde est sans aucun doute l'un des meilleurs films que j'ai vu depuis pas mal de temps. Ce film est une véritable thérapie pour notre société qui gémit, qui grogne, qui se plaint pour rien. On est transporté dans la montagne et on s'attache très vite à ces gens qui nous apprennent ce qu'est la vie, la vraie. Les enfants sont magnifiques, ne connaissent pas le sacro-saint téléphone portable et vivent bien mieux que nos chérubins. A voir absolument
Le Bhoutan, vous connaissez ? Moi non plus...Royaume bouddhiste situé dans l’est de la chaîne de l’Himalaya, ce pays est réputé pour ses monastères, ses forteresses (ou dzongs) et ses paysages spectaculaires : on y trouve aussi bien des plaines subtropicales que des montagnes et vallées escarpées. Et formidablement mis en scéne dans ce petit joyau de film. L'histoire d'un instituteur qui part enseigner malgré lui au fin fond du Royaume et qui finit par se reconcilier avec lui-même. Naif, humain, et drôle, l'école du bout du monde est une parenthèse enchanteresse dans un monde de brutes.
Des paysages magnifiques, des personnages attachants, tout est réuni pour un beau voyage de deux heures au Bhoutan. La tentative de promouvoir ce petit pays peu connu est évidente, l'histoire en elle-même n'a rien de révolutionnaire, mais on se laisse facilement emporter par l'émotion et le dépaysement de ce jeune instituteur, envoyé enseigner dans un petit village de gardiens de yaks.
On peut comprendre pourquoi ce film venu du bout du monde a tant plu un peu partout. Que ce soit à l’Académie des Oscars qui l’a sélectionné pour la statuette du meilleur film étranger. Dans les festivals où il a dû apporter un vent de fraîcheur, de bonnes ondes et d’exotisme qui fait du bien en ces temps troublés. Et bien sûr au public qui a vu là un moyen d’évasion original qui réchauffe les cœurs. A l’instar de la critique spécialisée, on sera un peu plus timoré et moins emballé quant à l’appréciation de « L’école du bout du monde ». Difficile de ne pas aimer ou de critiquer ce voyage intérieur et physique à travers ce pays méconnu qu’est le Bhoutan, où on met en avant le fait que c’est la terre du bonheur national brut comme promotion touristique. Mais ce n’est pas non plus le chef-d’œuvre où le petit bijou annoncé partout.
Le problème principal que l’on peut reprocher à cette œuvre des antipodes est son déroulement narratif prévisible au possible. Ce type d’histoire où le personnage principal va changer du tout au tout au contact d’un nouveau milieu et au fil des rencontres, on l’a déjà vu mille fois. Dès lors, quand le film commence on en connaît déjà la progression presque à la minute près tout comme la manière dont il va se terminer, morale comprise. Et il faut avouer que le basculement des valeurs du héros est un peu facile et rapide. A peine arrivé, il va déjà presque changer du tout au tout. Cela fait perdre au film pas mal de crédibilité. Et comme on sait ce qui va se passer dans les grandes lignes, on trouve le temps un peu long. De plus, on se demande si plutôt qu’une fiction, le format documentaire n’aurait pas été plus adapté et intéressant pour découvrir ce pays et cette école représentée un peu trop facilement comme la plus reculée au monde.
Cependant, ne soyons pas trop durs. « L’école du bout du monde » fait son travail de film pansement. C’est un long-métrage pétri de sincérité, de bonnes ondes et qui fait vraiment du bien au moral. A ce titre, c’est le genre d’oeuvre qui devrait être montré aux personnes dépressives où à ceux qui oublient les valeurs essentielles de la vie. Il y a assez de péripéties et de moments iconoclastes pour garnir le récit. Et les paysages de ce petit pays enclavé entre la Chine et l’Inde, juste à côté du Népal, sont superbement filmés et permettent de s’évader le temps de la projection. A travers des séquences simples et justes, de belles valeurs et leçons de vie sont édictées sans être martelées. Les acteurs, pour la plupart non professionnels, sont justes et attachants. En somme, « L’école du bout du monde » n’a, cinématographiquement, rien de transcendant mais il met du baume au cœur et fait vraiment du bien. En ce moment, c’est déjà beaucoup.
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Dépaysement garanti avec cette véritable pépite venue du Bhoutan, qui est aussi et surtout, un magnifique récit d'apprentissage! Comment ne pas être charmé par la soif de savoir et la vitalité des enfants de ce minuscule village perdu dans les montagnes, qui révéleront à lui-même le jeune enseignant vissé à son portable? L'école du bout du monde allie avec brio authenticité et intensité.
De la modernité des villes aux contrées les plus retirées d'un même pays, il peut y avoir un choc culturel. Pour notre professeur, il s'agit presque d'une parenthèse initiatique, avec une sensibilisation aux traditions, aux croyances, aux choses essentielles, à la nature, avec comme trait d'union, l'éducation et le chant. Avec quelques hésitations, un aspect contemplatif, il n'est que trop peu montré la vie au quotidien des habitants du village. Mais certains passages de cette production Bhoutanaise simple et sincère sont touchants.
Prmeeir film du bouthan que je vois dans ma vie je ne connaissait aucun acteur ni rien du cinéma bouthanais (car oui c'est comme cela que s'appelle les habitant de ce pays ). Un film qui nous plonge au coeur de la campagne de ce beau pays dans des paysage et des décors époustouflant à couper le souffle. Des paysage qui donnerais envie de partir en vacances dans ce pays . Cette histoire est pltuto belle , intéressante et touchante par moment et en somme elle réchauffe Un peux les coeur car certain film qui fait du bien à voir et qui fait du bien à note âme. Le directeur de la photographie c'est fait plaisir dans cd film avec de super plan de vue sur le payaseg magnifique . La très belle réalisation aussi est à noter . Un film vue en version originale sous-titré français mais qui arrive quand même à être facile à lire est à suivre , le temps passe agréablement vite on ne s'ennuie pas . Ce film mérite largement la nomination qui a eu au Oscars. Un film qui fait réfléchir un peux aussi certes un film sur la vie , le sensé de la vie et le bonheur en général. Par contre le film est peut être baser sur une histoire vraie mais' on est pa rien sure car dans le film on a des doutes mais on ne sais pas forcément si cela est le cas où pas. Peut être un des meilleur film étranger de Ses dernier années en tous cas un ' des plus beau .
Rare sont les films tournés au Bouthan. Splendeur des paysages, histoire simple, au service de valeurs telles que respect de la nature, beauté de l'éducation, estime des autres. L'herbe est-elle plus belle en dehors de chez soi? Une réponse est peut-être donnée dans ce film.
Ce film est un diamant brut qui invite à l'éveil de notre vraie Nature !!! Les interprètes sont naturellement touchants et vrais. 1h50 de Bonheur brut tel la devise du Bhoutan. Mission réussie !
Le retour à la terre, à la nature, à l'essentiel. Il faut parfois être contraint et forcé pour s'ouvrir, abandonner nos préconçus. Ugyen n'a pas la vocation d'être maître d'école, il veut être chanteur. Il n'a aucune envie d'aller vivre dans la montagne loin de tout, il veut partir en Australie. Ce changement de mode vie, ce retour aux choses essentielles, dans un exercice de décroissance, lui ouvre les yeux sur les choses réellement importantes. Être maître d'école dans ce petit village c'est être un don du ciel. Il est dès lors "le seul être à toucher l'avenir". Ce proverbe des gens du village montre à quel point l'instruction est un privilège. Ugyen se prend vite au jeu de faire plaisir aux enfants en leur donnant la classe. Le peu de moyens matériels l'oblige à se montrer créatif. Et il finit par y prendre un réel plaisir. Les autochtones lui enseignent le fait de donner de la valeur, du sens, à chaque chose. Tout est important, rien n'est futile.
Ce film est absolument magnifique, poétique, plein d'émotions et de beauté. C'est une vraie claque sur l'absurdité de notre monde moderne, sa superficialité et ses déviances.
Comme cela fait du bien ce genre de film. Ce jeune homme de la ville ,rêvant de l Australie, découvre à son insu qu 'en laissant ses écouteurs des oiseaux chantent pour annoncer le printemps. Les paysages magnifiques. Des enfants dans une école , sans rien , pas de tableau, pas de crayons, mais leur rêves à eux c est apprendre. Ils sont tous beaux et la déléguée de classe très naturelle. spoiler: La fin reste ouverte. QUE VA T IL DÉCIDER ? Rester en Australie ou rentrer dans son pays ?
Encore un film ou j’ai du mal à comprendre les critiques si élogieuses… La première partie est assez depaysante et intéressante mais une fois que l’instit arrive au village, ca se met vite a tourner en rond et l’ennui s’installe… 4,2 de note moyenne ? J’avoue être perplexe..
Joli film sur un apprenti instituteur tiraillé entre ses racines familiales archi traditionnelles et son désir d'émancipation à l'occidentale. Ce dilème fait tout le film. Les acteurs non professionnels dans des paysages grandioses, en font le sel.
C'est un beau voyage que nous propose ce film qui m'a emmené, si ce n'est "au bout du monde", en tous cas loin du genre des films que je regarde habituellement. Même si tout n'est pas parfait (situations au trait un peu forcé), c'est un dépaysement total.