Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le résultat est à la hauteur de cette aventure hors norme : ce film, dont on sort avec une envie irrépressible de tout lâcher, de jeter son smartphone et de s’enfuir loin de tout pour aller caresser des yaks et partir à la rencontre d’enfants merveilleux et d’éleveuses solaires chantant divinement, fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Jean-Loup Bourget
Un petit bijou d’humanisme.
Voici
par La Rédaction
Un film au charme fou, touchant, spirituel et plein d'humour.
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Si l'intrigue du film en tant que telle est un classique récurrent, son contexte unique, majestueux, sublime (photographié avec beaucoup de sensibilité et d'élégance par Jigme Tenzing) fait de "L'École du bout du monde" un parangon du genre, une histoire qui, dans un sens, transcende tous les récits similaires qui l'ont précédée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un film initiatique de toute beauté, dont la vraie richesse est l’humilité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un voyage dépaysant, écologique et anticapitaliste pour partir à la découverte de la meilleure définition du bonheur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Et c’est dans la confrontation entre les aspirations d’une nouvelle génération mondialisée, attirée par les mégapoles occidentales, et les traditions ancestrales de ces lieux que le film prend tout son relief.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Benjamin Puech
Mais, plus que pour la prise de conscience du personnage principal montrée à l’écran, pas forcément bouleversante, L’École du bout du monde vaut pour ce bout du monde qu’elle nous fait découvrir, sans afféterie : les bols de bois dans lesquels se font les repas, le vent glacial sur les plateaux, jusqu’aux bouses de yaks séchées qui permettent d’allumer des feux de cheminée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Si le film est un ambassadeur du Bhoutan à l’international, il perd en force ce qu’il gagne en simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
Entre les formidables panoramas sur des cimes enrobées de nuages, des pâturages infinis, la modestie des habitats, l’Ecole du bout du monde offre une carte postale idéale pour qui rêve de quiétude et de frugalité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un récit initiatique attachant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Gracieusement interprété, cet hommage à la puissance des traditions et à l’énergie de la jeunesse laisse, comme le voyage à son héros, de jolies notes d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Déjà vue dans des cadres moins exotiques, son intrigue est sans surprise mais elle est touchante et pleine de bons sentiments, ce qui ne fait pas de mal ces temps-ci.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Mais ce film souffre cependant d’un arc narratif par trop prévisible pour convaincre pleinement. A cause de lui, les moments les plus saillants de ce récit initiatique intime ne déploient jamais totalement la puissance émotionnelle qu’ils avaient en eux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Le résultat est à la hauteur de cette aventure hors norme : ce film, dont on sort avec une envie irrépressible de tout lâcher, de jeter son smartphone et de s’enfuir loin de tout pour aller caresser des yaks et partir à la rencontre d’enfants merveilleux et d’éleveuses solaires chantant divinement, fait un bien fou.
Positif
Un petit bijou d’humanisme.
Voici
Un film au charme fou, touchant, spirituel et plein d'humour.
Culturopoing.com
Si l'intrigue du film en tant que telle est un classique récurrent, son contexte unique, majestueux, sublime (photographié avec beaucoup de sensibilité et d'élégance par Jigme Tenzing) fait de "L'École du bout du monde" un parangon du genre, une histoire qui, dans un sens, transcende tous les récits similaires qui l'ont précédée.
L'Obs
Un film initiatique de toute beauté, dont la vraie richesse est l’humilité.
aVoir-aLire.com
Un voyage dépaysant, écologique et anticapitaliste pour partir à la découverte de la meilleure définition du bonheur.
La Croix
Et c’est dans la confrontation entre les aspirations d’une nouvelle génération mondialisée, attirée par les mégapoles occidentales, et les traditions ancestrales de ces lieux que le film prend tout son relief.
Le Figaro
Mais, plus que pour la prise de conscience du personnage principal montrée à l’écran, pas forcément bouleversante, L’École du bout du monde vaut pour ce bout du monde qu’elle nous fait découvrir, sans afféterie : les bols de bois dans lesquels se font les repas, le vent glacial sur les plateaux, jusqu’aux bouses de yaks séchées qui permettent d’allumer des feux de cheminée.
Les Fiches du Cinéma
Si le film est un ambassadeur du Bhoutan à l’international, il perd en force ce qu’il gagne en simplicité.
Libération
Entre les formidables panoramas sur des cimes enrobées de nuages, des pâturages infinis, la modestie des habitats, l’Ecole du bout du monde offre une carte postale idéale pour qui rêve de quiétude et de frugalité.
Ouest France
Un récit initiatique attachant.
Télérama
Gracieusement interprété, cet hommage à la puissance des traditions et à l’énergie de la jeunesse laisse, comme le voyage à son héros, de jolies notes d’humanité.
Le Journal du Dimanche
Déjà vue dans des cadres moins exotiques, son intrigue est sans surprise mais elle est touchante et pleine de bons sentiments, ce qui ne fait pas de mal ces temps-ci.
Première
Mais ce film souffre cependant d’un arc narratif par trop prévisible pour convaincre pleinement. A cause de lui, les moments les plus saillants de ce récit initiatique intime ne déploient jamais totalement la puissance émotionnelle qu’ils avaient en eux.