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Thierry P
28 abonnés
10 critiques
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0,5
Publiée le 6 décembre 2024
Dialogues pitoyables. Musique et parole d'une rare indigence. Et alors qu'est-ce que c'est mal joué... Digne d'un cinéma à la Mandico. Il paraît qu'il y a des fans.
L'idée d'un film queer, joyeusement subversif me faisait envie, mais au final, je ne suis même pas certaine d'avoir vu un film. Plutôt un grand n'importe quoi, avec une histoire d'amour sans enjeu, dont on a déjà tout compris dés le début. J'aime bien le kitsch, mais là, on sature, d'autant plus que les images sont hideuses. Au final étonnement, seul Bilal Hassani tire son épingle du jeu, en livrant une prestation tout à fait honnête.
MERCIIIII Pour cette avalanche se kitcherie, de queer assumé et ses prothèses et ce maquillage et puis cette lumière et puis tout ! il mérite d'être vu !
GENIAL ! Ce film est absolument génial, hors du commun, décalé, à voir absolument. Une comédie musicale comme vous n'en n'avez jamais vue. Le scénario est original, et les chansons décoiffent !
Une très belle surprise, un film coloré, euphorisant auquel je ne m'attendais pas du tout. Des répliques qui font mouche et une bande-son détonante. On se prend au jeu dans cette histoire d'amour queer
comédie musicale queer de moyenne qualité mais avec une bonne bande-son un excellent jeu d'acteur pour bilal hassani (que j'adore)...je trouve le scénario assez plat mais l'ensemble se laisse regardé agréablement..
En 2055, Steevyshady (Bilal Hassani, le représentant drag de la France au concours Eurovision 2019) raconte la longue et toxique histoire d’amour qui, pendant un demi-siècle a réuni, Mimi Madamour (Luiza Aura), une jeune starlette révélée par un concours de chant télévisé, et Billie Kohler (Gia Ventura) une icone punk.
"Les Reines du drame" – un clin d’oeil à l’expression Drama Queen – est un film qui sort de l’ordinaire. Il explore une veine queer et kitsch qui résonne avec notre époque gender fluid. Comédie musicale remplie de tubes discos sucrés comme des bonbons ou des single punk acides, Les Reines du drame convoque Mylène Farmer, Britney Spears, Mariah Carey et "Buffy contre les vampires". J’étais de loin le plus vieux spectateur dans la salle du Marais qui le projetait hier – et sans doute le plus hétérosexuel.
"Les Reines du drame" est à la fois une éloge à la liberté sexuelle et au droit d’assumer sa différence, et une critique ironique du star system et de ses dérives.
Ce cinéma-là, dont on ne sait s’il faut le prendre au premier ou au énième degré, est sans doute rafraichissant. Le problème est qu’il est très mauvais. Car il échoue à raconter une histoire, se contentant de nous présenter deux héroïnes et une relation amoureuse dont les tenants et les aboutissants nous sont par avance connus. Car il échoue à mettre en scène un récit, filmant chaque scène comme la précédente, sans temps mort ni changement de rythme, donnant très vite à cette accumulation de chansons (la palme allant à « Je t’ai fistée jusqu’au cœur », répété ad nauseam), de costumes kitsch une tournure répétitive et ennuyeuse alors qu’on en attendait tout le contraire.
Un petit bijou ! Ce premier long métrage est un joyau de kitsch, d'intensité, d'audace. La photo du film est très belle, la réalisation est audacieuse et surprenante. On se laisse emporter dans cette histoire d'amour passionnée et destructrice, on adore ! Les chansons sont plus géniales les unes que les autres, c'est truffé de références aux années 2000, c'est puissant.
Qui a dit que le cinéma français était fâché avec la comédie musicale ? En attendant l'excellent Joli Joli, qui en est une vraie, Les reines du drame n'est jamais plus magnétique que dans ses moments chantés, avec notamment un tube en puissance (Pas touche). Mais l'univers outrageusement kitsch emballe aussi, entre les premiers Almodovar et Mandico, et fait oublier que le scénario en lui-même n'a rien de révolutionnaire. Pour cette fois, on préférera la forme au fond et le savoureux hommage aux années 2000, comme un éloge de la superficialité et des couleurs saturés, mais également avec ses dialogues et ses paroles de chanson qui usent sans abuser d'un langage cash et trash spoiler: (Je fais la pluie et le Botox ou encore Plus de peur que d'anal) . Pour queer sonne le glam, direz-vous, et Les reines du drame donnent un bon coup de pied aux préjugés et au bon goût, surtout, avec une énergie dévastatrice. Servi par un trio d'interprètes croustillant et inspiré : Louiza Aura, Gio Ventura et Bilal Hassani et des seconds rôles croquignolets, le film est assurément un exercice de style, mais du genre flamboyant, euphorisant et mélancolique, un peu. De quoi en faire un objet culte et honnis soient ceux qui mal y pensent.
Un film génial ! Je suis allé le voir par hasard, j'ai découvert un univers passionnant, et j'ai traversé toutes les émotions possibles et imaginables. Je recommande !!!
bon bah voilà je l'ai vu que dire de plus que oui c'est une folie sérieux c'est fun c'est queer (je serais curieux de savoir si tu peut aimer le film en étant pas queer) c'est génial quoi (j'ai pas mis 5* a cause de Bilal Hassani (pas son perso dans le passé qui est tout à fait respectable et plutôt correct mais son perso dans le futur qui casse le rythme à chaque fois c'est insupportable)
J'ai adoré ce film, je l'ai vu 4 fois en avant-première, en tant qu'Alliée j'ai vraiment adorée découvrir l'univers Queer, et le jeu d'acteur de Bilal Hassani est spectaculaire ainsi découvrir et m'attacher aux personnages principaux Mimi MADAMOUR et Billie Kohler ! N'empêche les chansons reste en tête ! *-* allez le voir !