Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La cinéaste signe un incroyable premier long métrage hanté par la culture des années 2000, bardé de références cinéphiles et ponctué de tubes imparables.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Dans un premier long métrage follement fun et romantique, Alexis Langlois hybride les genres pour raconter, façon comédie musicale, la passion d’une pop star et d’une punk écorchée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Abus de Ciné
par Guillaume Gas
Le résultat, singulier et généreux à tous les degrés de fabrication, ne ressemble à rien de connu et sent déjà très fort le parfum du culte […] C’est vivant parce que ça vibre à l’écran, c’est vibrant parce que ça se vit sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
CinemaTeaser
par Renan Cros
Pour son premier long, Alexis Langlois mélange et ose tout. Une comédie musicale furieusement camp, punk, pop, queer, lyrique, qui explose la rétine et le cœur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Konbini
par Flavio Sillitti
Une folle lettre d’amour à la culture queer.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un mélo queer aux sentiments démonstratifs, où le trop est juste assez, et où les larmes scintillent comme des strass.
Le Point
par La Rédaction
Ce film a la saveur d'un conte de Noël enfiévré qui ne se prend jamais au sérieux. Une irrésistible romance trash.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Léon Cattan
a collision entre leurs deux mondes, efficacement mis en musique par Yelle et Rebeka Warrior, n’est qu’illusoire, Les Reines du drame étant, avant tout, un geste fédérateur entre le mainstream et l’underground, qui incite starlettes et révolutionnaires à s’unir contre la dictature du Bon Goût, le patriarcat, et ceux qui voudraient effacer les identités marginales. On en ressort en chantonnant, des strass plein les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par M.A.
Mise en scène délicieusement outrancière, casting formidable, bande-originale géniale... On aime tout de ce film en forme d'hommage joyeux à la culture pop et queer des années 2000.
Voici
par Daniel Bois
Les Reines du drame surprend et détonne.
Critikat.com
par Pierre-Jean Delvolvé
En faisant de son film terrain de jeu à la fois difforme et joyeux, libéré de l'hétéronormativité, Langlois n’égale certes pas encore ses modèles, mais partage déjà leur belle ardeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Couleurs saturées, rythme endiablé, décors et costumes acidulés… Le kitsch et l'outrance sont les maîtres mots de ce film qui ne laisse pas une seconde de répit au spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par M. Jo.
Ambition, casting, gloire et descente aux enfers : le film file le long d’une narration on ne peut plus classique de rise and fall movie pour mieux la dynamiter de l’intérieur par un fourmillement d’images, de pastiches et d’hommages : là un clip ressemblant à du Britney Spears, une parodie de télécrochet, une vidéo YouTube, un plateau télé, un concert de pop ou de metal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Le film séduit par sa forme très pop (décors fluo surchargés, image surexposée, visages « Instagramés »…), sa musique (« Pas touche » va vous rester longtemps dans la tête…) et son sens des dialogues (« Je fais la pluie et le Botox sur le monde de la musique », « C’est de la musique, ça ? On dirait le bruit de mon Epilady ! »…).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Louis Guichard
Un premier film réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
A mi-chemin entre Gaspar Noé et François Ozon, Les Reines du drame résonne comme un film choc qui réinvente l’écriture cinématographique et brouille les limites factices entre le masculin et le féminin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Mangeant à tous les râteliers, (...) Alexis Langlois s’amuse surtout avec des formes et des codes (téléréalité, youtubeurs, influenceurs) qui ont eux-mêmes très vite intégré le second degré et l’auto-parodie, si bien que la couche qu’il remet n’ajoute pas grand-chose.
L'Obs
par Nicolas Schaller
OK, il y a deux parodies de tubes pop bien troussées et Bilal Hassani détonne en youtubeur hystérique qui fait office de chœur antique. De quoi nourrir un sketch plutôt qu’étirer sur presque deux heures ce qu’un confrère inspiré compara à du Zulawski LGBTQIA+ revu par AB Productions. Pas mieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
La cinéaste signe un incroyable premier long métrage hanté par la culture des années 2000, bardé de références cinéphiles et ponctué de tubes imparables.
Libération
Dans un premier long métrage follement fun et romantique, Alexis Langlois hybride les genres pour raconter, façon comédie musicale, la passion d’une pop star et d’une punk écorchée.
Abus de Ciné
Le résultat, singulier et généreux à tous les degrés de fabrication, ne ressemble à rien de connu et sent déjà très fort le parfum du culte […] C’est vivant parce que ça vibre à l’écran, c’est vibrant parce que ça se vit sur grand écran.
CinemaTeaser
Pour son premier long, Alexis Langlois mélange et ose tout. Une comédie musicale furieusement camp, punk, pop, queer, lyrique, qui explose la rétine et le cœur.
Konbini
Une folle lettre d’amour à la culture queer.
Le Dauphiné Libéré
Un mélo queer aux sentiments démonstratifs, où le trop est juste assez, et où les larmes scintillent comme des strass.
Le Point
Ce film a la saveur d'un conte de Noël enfiévré qui ne se prend jamais au sérieux. Une irrésistible romance trash.
Première
a collision entre leurs deux mondes, efficacement mis en musique par Yelle et Rebeka Warrior, n’est qu’illusoire, Les Reines du drame étant, avant tout, un geste fédérateur entre le mainstream et l’underground, qui incite starlettes et révolutionnaires à s’unir contre la dictature du Bon Goût, le patriarcat, et ceux qui voudraient effacer les identités marginales. On en ressort en chantonnant, des strass plein les yeux.
Télé Loisirs
Mise en scène délicieusement outrancière, casting formidable, bande-originale géniale... On aime tout de ce film en forme d'hommage joyeux à la culture pop et queer des années 2000.
Voici
Les Reines du drame surprend et détonne.
Critikat.com
En faisant de son film terrain de jeu à la fois difforme et joyeux, libéré de l'hétéronormativité, Langlois n’égale certes pas encore ses modèles, mais partage déjà leur belle ardeur.
Franceinfo Culture
Couleurs saturées, rythme endiablé, décors et costumes acidulés… Le kitsch et l'outrance sont les maîtres mots de ce film qui ne laisse pas une seconde de répit au spectateur.
Le Monde
Ambition, casting, gloire et descente aux enfers : le film file le long d’une narration on ne peut plus classique de rise and fall movie pour mieux la dynamiter de l’intérieur par un fourmillement d’images, de pastiches et d’hommages : là un clip ressemblant à du Britney Spears, une parodie de télécrochet, une vidéo YouTube, un plateau télé, un concert de pop ou de metal.
Le Parisien
Le film séduit par sa forme très pop (décors fluo surchargés, image surexposée, visages « Instagramés »…), sa musique (« Pas touche » va vous rester longtemps dans la tête…) et son sens des dialogues (« Je fais la pluie et le Botox sur le monde de la musique », « C’est de la musique, ça ? On dirait le bruit de mon Epilady ! »…).
Télérama
Un premier film réjouissant.
aVoir-aLire.com
A mi-chemin entre Gaspar Noé et François Ozon, Les Reines du drame résonne comme un film choc qui réinvente l’écriture cinématographique et brouille les limites factices entre le masculin et le féminin.
Cahiers du Cinéma
Mangeant à tous les râteliers, (...) Alexis Langlois s’amuse surtout avec des formes et des codes (téléréalité, youtubeurs, influenceurs) qui ont eux-mêmes très vite intégré le second degré et l’auto-parodie, si bien que la couche qu’il remet n’ajoute pas grand-chose.
L'Obs
OK, il y a deux parodies de tubes pop bien troussées et Bilal Hassani détonne en youtubeur hystérique qui fait office de chœur antique. De quoi nourrir un sketch plutôt qu’étirer sur presque deux heures ce qu’un confrère inspiré compara à du Zulawski LGBTQIA+ revu par AB Productions. Pas mieux.