Je trouve que ce film est très bien fait, les acteurs sont bons , le scénario est certes pas très original mais bon l'ambiance nous emporte du début à la fin , je recommande pour les fans du genre
Jay est violemment kidnappé dans sa maison alors qu'il se trouve avec sa femme et ses filles. Il se réveille enchaîné à un mur dans une pièce insalubre avec trois inconnus, dont un qui est gravement blessé. Il découvre que pour survivre, il va devoir suivre les ordres de son ravisseur et faire du mal aux autres. En parallèle de ça, on suit une autre histoire avec un jeune garçon apparemment enlevé qui est élevé par un vieil homme particulièrement dur envers lui. Bon, il ne faut pas être un génie pour faire le lien avec les deux, mais ça a au moins le mérite de ne pas nous enfermer dans un simple huis clos. En gros, on assiste à la naissance d'un monstre, mais même si l'histoire est simple, il y a quand même quelques bonnes révélations en cours de route. Le film s'inspire largement d'un "Saw" et flirte souvent avec le torture-porn, mais il est plus que ça. L'histoire est solide à défaut d'être originale et le film est efficace avec beaucoup de violence et de gore. En somme, un bon film qui plaira surtout aux amateurs du genre.
Richard Brake (Bingo Hell) toujours très fort dans le rôle du psychopathe taré . Par contre , Bart Edwards a un jeu si douteux ( exemple : regardez bien son jeu pourri lorsqu'il se fait assommer). Alexandra Evans et Richard Short sont déjà bien mieux. Les personnages sont de maudits clichés sans intérêt. Doublage d'émotions fortes parfois pas du tout convaincant. Effets spéciaux à peine suffisant. Dialogues parfois jouissifs mais en principal le scénario est mauvais/classique . Hallucinations banals des scènes de torture. L'histoire est d'un ordinaire , le seul truc bien c'est la lenteur sinon l'ambiance et le sentimentale sont pourris. Et puis le film est prévisible du début à la fin ! La simplicité du gore est naze , ne recherchant même pas un peu de nouveauté . Et quand je pense que la fin veut dire qu'il y aura peut-être une suite...
recu ce matin et zieuté à l'instant. Bon pour le démarrage le réal nous montre qu'il a bien vu "saw" (comme plein d'autres), et "halloween" pour le masque... l'intrigue a pas du donner de migraine au scénariste même si il l'a assemblée de façon un peu incohérente mais ça se laisse voir car ca bouge quand même pas mal. Quelques séquences un peu gores / crasseuses. 3 / 5
Bien ennuyeux ! Au fil du scénario, on se dit que peut-être l'édifice se tient, avec des comportements pragmatiques et non décérébrés ... erreur, il n'y a que çà jusqu'à la fin. Des situations simples comme fermer une porte : impossible ici ! Bref, uniquement pour les 20 premières minutes, ensuite plutôt gore et mise scènes catastrophique voir risible. 1.5/5 ! (juste pour l'entame).
Alors que la saga "Saw" tente lamentablement de s'éloigner du torture-porn dans laquelle elle s'est enfermée avec son spin-off actuel "Spiral: The Book of Saw", des petits rejetons continuent toujours d'émerger ici et là dans le but de lui ravir sa place de franchise-star en ce domaine. "The Dare" fait évidemment partie de ces candidats et ne s'en même cache pas avec son entrée en matière enfermant directement un père de famille et trois inconnus dans une salle où un tueur va leur faire subir des sévices bien saignants. Cependant, en parallèle de ces événements, le film de Giles Anderson va également raconter la genèse de ce mystérieux tortionnaire qui, finalement, au-delà des tortures violentes que celui-ci inflige, va peu à peu dévoiler les fondations psychologiques ultra-simplistes propres à tout bon croquemitaine de slasher. Et c'est peut-être là la meilleure idée de "The Dare": se servir du torture-porn racoleur comme d'un cheval de Troie pour poser les bases d'une nouvelle franchise de slasher à la violence plus prononcée.
Seulement, après une première partie horriblement plate à la fois par la banalité des souffrances infligées en captivité (une obsession pour les insectes essaie vainement d'y rajouter du piquant) et la construction de ce tortionnaire au sein de laquelle sa soumission et sa fragilité n'éludent pas une part très importante de bêtise (ça aura au moins permis à Richard Brake de passer en revue tout son catalogue de têtes de parangon psychopathe), la révélation des motivations du tueur, qui aurait dû être le tournant du film, n'arrivera même pas à élever le niveau tant elle trouvera sa source sur un des traumatismes les plus usés du slasher (aucune nouvelle fioriture ne cherchera en plus à en masquer la pauvreté si basique). Dès lors, "The Dare" ne pourra engendrer qu'ennui et indifférence, devenant carrément interminable durant son dernier acte et même involontairement drôle par la stupidité de son épilogue synonyme du retour d'un tueur que personne n'a déjà plus envie de revoir...
The Dare ne casse pas trois pattes à un canard, c'est le genre de petit film simplet et maintes fois déjà-vu avec un synopsis légèrement aguicheur.
The Dare est un film d'horreur sortie directement en DVD avec la plus grande des discrétions en 2021. Le style propose une histoire de type huis clos à la Saw (entre autres), une idée qui donne toujours très envie à première vue. Cependant, le film ne se limite pas pour autant à n'être totalement qu'un huis clos. Le fait d'offrir un lot de souffrance, donc de violence, cela va jusqu'à lui donner un l'allure d'un torture porn dissimulé dans un faux slasher. Il faut préciser qu'il a plus globalement deux parties distinctes, d'un côté l'aspect huis clos et de l'autre l'origin story du personnage.
Le concept va finir par s'épuiser à un moment, mais ce film démontre malgré tout qu'on ne s'en lasse pas, et ça même si c'est moyen dans l'ensemble. Il y a pas mal de défauts à commencer par un récit qui n'a rien de bien orignal, il est même plutôt banal. Il ressemble même beaucoup à "Amusement (2008)" ou encore à "Truth or Dare (2011)" (et j'en passe...) dans le fond, les films ont d'ailleurs les mêmes idées sans pour autant les aménager de la même façon, les raisons, le but et le résultat n'en sont pas moins identiques. Au bout du compte, ce film passe le temps même si on finira certainement par rapidement l'oublier.
Enfin bref, c'est le type de film correct et passable en cas de manque d'inspiration et rien de plus.