Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ce premier film a un romantisme et un charme fou.
Voici
par La Rédaction
A la fois chronique sociale sur fond de drame et de romance solaire pleine de tendresse. Une réussite.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Une fiction très inventive, où la fantaisie et la poésie viennent tordre le cou à la violence du réel.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La mise en scène de Chloé Mazlo renoue avec l’artisanat du cinéma avec des inventions bricolées, créatives et esthétiques. On pense à Michel Gondry. Des photos font office de décor, l’animation s’invite, le jeu minimaliste des acteurs donnent un ton libre et aérien au Ciel d’Alice.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Benjamin Puech
Avec Sous le ciel d’Alice, Chloé Mazlo, Française d’origine libanaise de 37 ans, lauréate en 2015 du César du meilleur court-métrage d’animation, signe un premier film audacieux, vif et coloré.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
La singularité du film repose sur la rareté des images animées que l'on découvre au détour d'un plan.
Le Parisien
par La Rédaction
Mais même lorsqu’il aborde la confrontation d’un couple à la violence de la guerre, le film reste romantique, gracieux et singulier… À l’image de son actrice principale, Alba Rohrwacher, accompagnée ici par le comédien et metteur en scène libano-québécois Wajdi Mouawad, très juste et émouvant lui aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un coup d'essai original et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Baptiste Roux
Maîtrisant les ruptures de ton et les intervalles de silence entre deux traumatismes, mâtinés de saynètes burlesques, la réalisatrice puise dans cette impossibilité d’un récit rationnel une belle force évocatrice, montrant que l’imaginaire peut, pour l’agrément du spectateur, suppléer parfois efficacement à l’Histoire.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un récit coloré et poétique qui entrelace histoire familiale et histoire nationale pour dénoncer l’absurdité de la guerre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Douloureux, le film crie sa foi dans la puissance du cinéma et regorge d’idées, à l’image de ces plantes qui séparent le couple dans son appartement, allusion à la partition de Beyrouth et sa ligne verte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un premier film statique et un brin redondant mais aussi charmant qu’inventif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Délicat, “Sous le ciel d’Alice” l’est à coup sûr. Si cette légère fresque de l’exil (extérieur et intérieur) peut séduire par son aplat pastel et sa poésie minimale, ce qui subsiste relève malheureusement de l’inconstance narrative et émotionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Sous le ciel d’Alice ambitionne de raconter sous le même cosmos d’artifices et de fantaisie le délitement d’une famille et d’un pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Et pour ce personnage si riche, Chloé Mazlo a eu la merveilleuse idée de faire appel à Alba Rohrwacher. Car elle est exactement à l’image de son film. A l’aise sur tous les terrains avec une puissance et une profondeur incroyablement naturelles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Sandra Onana
En recréant le paradis perdu de ses grands-parents, Chloé Mazlo se perd dans un univers guimauve qui donne l’impression d’une version opérette de la guerre du Liban.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Ce premier film a un romantisme et un charme fou.
Voici
A la fois chronique sociale sur fond de drame et de romance solaire pleine de tendresse. Une réussite.
Bande à part
Une fiction très inventive, où la fantaisie et la poésie viennent tordre le cou à la violence du réel.
Franceinfo Culture
La mise en scène de Chloé Mazlo renoue avec l’artisanat du cinéma avec des inventions bricolées, créatives et esthétiques. On pense à Michel Gondry. Des photos font office de décor, l’animation s’invite, le jeu minimaliste des acteurs donnent un ton libre et aérien au Ciel d’Alice.
Le Figaro
Avec Sous le ciel d’Alice, Chloé Mazlo, Française d’origine libanaise de 37 ans, lauréate en 2015 du César du meilleur court-métrage d’animation, signe un premier film audacieux, vif et coloré.
Le Monde
La singularité du film repose sur la rareté des images animées que l'on découvre au détour d'un plan.
Le Parisien
Mais même lorsqu’il aborde la confrontation d’un couple à la violence de la guerre, le film reste romantique, gracieux et singulier… À l’image de son actrice principale, Alba Rohrwacher, accompagnée ici par le comédien et metteur en scène libano-québécois Wajdi Mouawad, très juste et émouvant lui aussi.
Les Echos
Un coup d'essai original et poétique.
Positif
Maîtrisant les ruptures de ton et les intervalles de silence entre deux traumatismes, mâtinés de saynètes burlesques, la réalisatrice puise dans cette impossibilité d’un récit rationnel une belle force évocatrice, montrant que l’imaginaire peut, pour l’agrément du spectateur, suppléer parfois efficacement à l’Histoire.
aVoir-aLire.com
Un récit coloré et poétique qui entrelace histoire familiale et histoire nationale pour dénoncer l’absurdité de la guerre.
L'Obs
Douloureux, le film crie sa foi dans la puissance du cinéma et regorge d’idées, à l’image de ces plantes qui séparent le couple dans son appartement, allusion à la partition de Beyrouth et sa ligne verte.
Le Journal du Dimanche
Un premier film statique et un brin redondant mais aussi charmant qu’inventif.
Les Fiches du Cinéma
Délicat, “Sous le ciel d’Alice” l’est à coup sûr. Si cette légère fresque de l’exil (extérieur et intérieur) peut séduire par son aplat pastel et sa poésie minimale, ce qui subsiste relève malheureusement de l’inconstance narrative et émotionnelle.
Les Inrockuptibles
Sous le ciel d’Alice ambitionne de raconter sous le même cosmos d’artifices et de fantaisie le délitement d’une famille et d’un pays.
Première
Et pour ce personnage si riche, Chloé Mazlo a eu la merveilleuse idée de faire appel à Alba Rohrwacher. Car elle est exactement à l’image de son film. A l’aise sur tous les terrains avec une puissance et une profondeur incroyablement naturelles.
Libération
En recréant le paradis perdu de ses grands-parents, Chloé Mazlo se perd dans un univers guimauve qui donne l’impression d’une version opérette de la guerre du Liban.