Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Daniel Toscan du Plantier
(...) il (Nabil Ayouch) retrouve la vérité et l'émotion du grand cinéma européen, qui fait se confronter le réalisme du thème et des héros avec l'émerveillement d'un univers poétique du côté de Jean Vigo et de Vittorio de Sica.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
(...) un film âpre sur l'enfance, une chronique des quartiers miséreux de Casablanca, lieux jamais vus, saisis ici dans un souci constant de vérité documentaire, décor tragique d'une histoire à la fois banale et extraordinaire (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par G.L.
Rien de manichéen, mais un conte saisissant qui dit l'âpreté du réel sans s'en satisfaire
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) en général en restant au ras des trottoirs, en conservant le point de vue des enfants, Ali Zaoua, prince de la rue parvient à l'invention poétique, comme par inadvertance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
On n'échappe pas tout à fait au sentimentalisme ni aux clichés, mais on ne peut pas ne pas être touché par cette émouvante épopée de la misère enfantine.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Philippe Azoury
Il (Nabil Ayouch) s'écarte de ce qui pourrait tenir du seul registre de la cruauté pour aller à la poursuite de la part d'enfance, la plus enfouie chez ces gosses. Parti pris casse-gueule, assumé, courageux parce qu'anachronique et décalé (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Pas sentimentaliste pour un dirham, le scénario cultive une violence choquante (...), traduction d'une réalité crédible. Ayouch n'enfonce cependant pas le clou aussi radicalement qu'Hector Babenco dans Pixote (81).
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Sandra Benedetti
La simplicité de l'argument cache un canevas tout en subtilité (...), où les références littéraires et pseudo philosophiques (...) ne seraient rien sans la troupe de très jeunes acteurs amateurs sur lesquels repose le film.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Cécile Berger
Du conte naît un regard, certes universel, mais pas moins saisissant sur l'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Ali Zaoua est traversé par la même tension qui tient en vie ces gamins, faite d'ironie cinglante face au malheur et d'une rage, aussi, qui leur arrache quelques larmes, jamais de plaintes. Ce sont de vrais héros de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) une oeuvre forte et rude, assez subtile parfois, notamment sur la représentation du deuil. Dans ses meilleurs moments, le film atteint une simplicité et une vérité désarmantes, d'où jaillit une émotion pure.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
On voit d'ici le chantage aux bons sentiments et l'on n'a pas complètement tort... mais pas complètement raison non plus.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) Nabil Ayouch peine à renouveler les histoires et péripéties consubtantielles à l'enfance (...). Malgré ces réserves, Ali Zaoua recèle en son coeur des trésors d'essence documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par R. Brio
(...) plaidoyer pour les enfants des rues.
Africultures.com
par Olivier Barlet
Ce projet très construit dépasse largement la réalité des enfants et casse le lien que nous pourrions établir avec eux. Et si la bonne distance avec eux était justement, comme l'ont montré Buñuel et les néoréalistes (...), de tenter de capter ce qu'ils sont ?
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Le Figaro Magazine
(...) il (Nabil Ayouch) retrouve la vérité et l'émotion du grand cinéma européen, qui fait se confronter le réalisme du thème et des héros avec l'émerveillement d'un univers poétique du côté de Jean Vigo et de Vittorio de Sica.
Chronic'art.com
(...) un film âpre sur l'enfance, une chronique des quartiers miséreux de Casablanca, lieux jamais vus, saisis ici dans un souci constant de vérité documentaire, décor tragique d'une histoire à la fois banale et extraordinaire (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Rien de manichéen, mais un conte saisissant qui dit l'âpreté du réel sans s'en satisfaire
Le Monde
(...) en général en restant au ras des trottoirs, en conservant le point de vue des enfants, Ali Zaoua, prince de la rue parvient à l'invention poétique, comme par inadvertance.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
On n'échappe pas tout à fait au sentimentalisme ni aux clichés, mais on ne peut pas ne pas être touché par cette émouvante épopée de la misère enfantine.
Libération
Il (Nabil Ayouch) s'écarte de ce qui pourrait tenir du seul registre de la cruauté pour aller à la poursuite de la part d'enfance, la plus enfouie chez ces gosses. Parti pris casse-gueule, assumé, courageux parce qu'anachronique et décalé (...)
Première
Pas sentimentaliste pour un dirham, le scénario cultive une violence choquante (...), traduction d'une réalité crédible. Ayouch n'enfonce cependant pas le clou aussi radicalement qu'Hector Babenco dans Pixote (81).
Repérages
La simplicité de l'argument cache un canevas tout en subtilité (...), où les références littéraires et pseudo philosophiques (...) ne seraient rien sans la troupe de très jeunes acteurs amateurs sur lesquels repose le film.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Du conte naît un regard, certes universel, mais pas moins saisissant sur l'humanité.
Télérama
Ali Zaoua est traversé par la même tension qui tient en vie ces gamins, faite d'ironie cinglante face au malheur et d'une rage, aussi, qui leur arrache quelques larmes, jamais de plaintes. Ce sont de vrais héros de cinéma.
Urbuz
(...) une oeuvre forte et rude, assez subtile parfois, notamment sur la représentation du deuil. Dans ses meilleurs moments, le film atteint une simplicité et une vérité désarmantes, d'où jaillit une émotion pure.
Aden
On voit d'ici le chantage aux bons sentiments et l'on n'a pas complètement tort... mais pas complètement raison non plus.
Les Inrockuptibles
(...) Nabil Ayouch peine à renouveler les histoires et péripéties consubtantielles à l'enfance (...). Malgré ces réserves, Ali Zaoua recèle en son coeur des trésors d'essence documentaire.
MCinéma.com
(...) plaidoyer pour les enfants des rues.
Africultures.com
Ce projet très construit dépasse largement la réalité des enfants et casse le lien que nous pourrions établir avec eux. Et si la bonne distance avec eux était justement, comme l'ont montré Buñuel et les néoréalistes (...), de tenter de capter ce qu'ils sont ?