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Paul Fejos est un rèalisateur à redècouvrir et on ne remerciera jamais assez Patrick Brion d'avoir prèsentè plusieurs de ses films au Cinèma de minuit! Surprenant de voir l'immense cinèaste de "Lonesome" (1928) s'atteler à l'univers de Fantômas (1932), d'après le cèlèbre roman de Souvestre et Allain! Celui d'un être insaisissable qui se glisse partout comme une ombre! La première partie est très fidèle à la sèrie avec ses bourrasques de vent, sa tempête orageuse et son atmosphère quasi inespirable!
spoiler:
Après on sort quelque peu des rails quand l'inspecteur Juve tente d'èclaircir le mystère « Fantômas » sur l'autodrome de Montlhèry! Vieux château, coucous d'antan et spectaculaires bolides sont au programme avec un policier qui traque Fantômas partout sans pouvoir l'attraper!
Jean Galland se fige avec efficacitè dans le personnage titre tandis que le grand et solide Thomy Bourdelle incarne l'inspecteur de sûretè! Une vraie curiositè...
Jean Galland se fige avec efficacitè dans le personnage titre tandis que le grand et solide Thomy Bourdelle incarne l'inspecteur de sûretè! Une vraie curiositè...
bsalvert
L'histoire est déjà là, mais ce film n'est à réserver qu'aux inconditionnels du cinéma, ceux qui veulent voir comment tout a débuté, quels effets étaient utilisés à l'époque.
La première est un petit bijou de réalisation, une belle photographie contribue à créer un climat inquiétant qui ne se dément pas jusqu'à au crime. On se dit que l'on va assister à un chef d'œuvre si cette qualité perdure ! Il nous faut hélas déchanter avec une seconde partie en forme de wodunit, exercice périlleux s'il en est et qui change complétement le film, des personnages pittoresques disparaissent de la distribution, des crimes ont lieu, l'inspecteur très futé arrive et résolut l'affaire alors qu'on y a rien compris. Résultat on a failli déterrer une pépite, mais il en manquait la moitié.
L'original par déf. des séries + tard faites sur le même thème; Fantômas pille, vole dans la haute-société, virevolte & punit le contentement abruti sans coup férir. Malgré quelques erreurs de raccord rajoutant d'ailleurs à la tension, on ne peut qu'aimer un film possédant moins d'humour que ses suiveurs mais + intense.
selenie
Le film débute dans un château dans la nuit et sous l'orage, instaurant d'emblée une atmosphère mystérieuse, voir gothique entre "La Chute de la Maison Usher" (1928) et les futures production de la Hammer. L'ambiance est au tragique, entre le drame entre Film Noir qui dénote avec l'onirisme et la fantaisie de Louis Feuillade, et qui reste singulier par rapport aux futurs films dont la comédie populaire de André Hunebelle des sixties. Cette adaptation reste sérieuse dans son traitement avec une violence inédite pour le genre. Le scénario surprend, car après avoir instauré un climax énigmatique en huis clos voici, qu'en quelques twists et rebondissements, l'enquête prend l'air avec une étonnante séquence de courses automobiles tragiques qui donne de l'ampleur à un récit jusqu'ici légèrement figé. Le scène de confrontation avec la bagarre est symptomatique de l'ensemble, un peu bancal car oscille entre l'audace et la maladresse. Le film se démarque encore jusque dans le dernier acte, avec une conclusion rythmée comme un dernier coup de panache qui évite le happy end de belle manière. A voir.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
weihnachtsmann
En guise de Fantômas, on entend des femmes crier, des hommes qui courent, des couloirs mystérieux, des trappes secrètes , des gens qui s’évanouissent et un criminel qui paraît bien tard.
Toute cette première partie est à part. Le château à l’ambiance Agatha Christie.
Puis l’homme se camoufle avec un chapeau et une écharpe et l’on a du mal à comprendre sa motivation…
Une curiosité intéressante.
Toute cette première partie est à part. Le château à l’ambiance Agatha Christie.
Puis l’homme se camoufle avec un chapeau et une écharpe et l’on a du mal à comprendre sa motivation…
Une curiosité intéressante.
De bonnes scènes avec une certaine ambiance, d'autres moins, quelques facilités, mais le film est assez court pour rester rythmé. Fantomas manque complètement de charisme même lorsqu'il est inconito. Mais le charme des années 30 compense.
étant petit on regardait les Fantômas d'André hunebelle avec Louis de Funès et Jean marais et ont étaient émerveillé, plus tard j' ai visionné toutes les versions cinématographiques du célèbre personnage de pierre souvestre et marcel allain.
la version de 1932 est intéressante déjà par les décors un château en pleine nuit ou sévit une tempête qui apporte un climat étrange et une forme de poésie et on a l'impression de suivre et participé à l'enquete avec l'inspecteur juve en déplaise à certains c'est mon Fantômas préféré .
un excellent film plus sérieux cette version antérieurede de Fantômas est bien plus imaginative que celle de jean Sacha qui viendra en 1947 ou il ne se pass rien de très bonnes scènes dans celui-ci la scène de la course automobile, de la pièce avec le second du commissaire en somme un excellent divertissement.
ps :viendra également une excellente adaptation pour la telévision en 1979 réalisé par claude chabrol .
la version de 1932 est intéressante déjà par les décors un château en pleine nuit ou sévit une tempête qui apporte un climat étrange et une forme de poésie et on a l'impression de suivre et participé à l'enquete avec l'inspecteur juve en déplaise à certains c'est mon Fantômas préféré .
un excellent film plus sérieux cette version antérieurede de Fantômas est bien plus imaginative que celle de jean Sacha qui viendra en 1947 ou il ne se pass rien de très bonnes scènes dans celui-ci la scène de la course automobile, de la pièce avec le second du commissaire en somme un excellent divertissement.
ps :viendra également une excellente adaptation pour la telévision en 1979 réalisé par claude chabrol .
La version de Paul Fejos est très éloignée des comédies avec Louis de Funes, mais aussi beaucoup plus respectueuse de l'esprit des romans. Le film a cependant terriblement vieilli. L'intrigue est très poussive et le jeu des acteurs très stéréotypé.
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